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    La Petite Voleuse
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    45 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 décembre 2007
    Chroniques des années d'apres guerre amorçant la lente mais sûre mutation de notre vieille france.Un regard lucide sur un feminisme etroitement lié à l'avenement du capitalisme en france,dont les ramifications liberales allaient engendrer le cataclysme ideologique de mai 68 quelques années plus tard...
    Antonin T.
    Antonin T.

    37 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2012
    Un des meilleur de Claude Miller. Charlotte Gainsbourg par sont talent, nous fait voyager loin, dans un élans de liberté.
    Pierre E
    Pierre E

    212 abonnés 665 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 avril 2008
    C'est toujours avec plaisir que l'on retrouve ce classique de notre enfance, que l'on savoure aujourd'hui, adultes, pour le bonheur cinéphile que représente la Nouvelle Vague dans chacun de nous. On ressent d'ailleurs la patte de Truffaut, qui à l'instar de son chef d'oeuvre «Les Quatre Cents Coups», nous fait retomber en enfance, pour nous rappeler les sales gosses que nous avons aussi été, à l'image de ses héros. En effet, Truffaut semble lire en nous comme dans un livre ouvert, et entreprendre la réécriture de ces petits jeux interdits que l'on croyait à l'époque sans conséquence... C'est sans aucun doute cela qui fait que le personnage de la transcendante Charlotte Gainsbourg soit si attendrissant, que ses méfaits apparaissent si inoffensifs dans une quête fondamentale de liberté, de croquer à pleine dents et de jouir des plaisirs de la vie... LA PETITE VOLEUSE c'est un peu de nous aussi, c'est une partie de notre enfance, celui du lent passage vers l'âge de raison.
    gabdias
    gabdias

    84 abonnés 1 797 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2021
    Le genre de films intournables en 2020, il y aborde la liberté, la sexualité et la liberté d’une adolescente de 16 ans pas farouche qui fait sa crise d’adolescence. C’est acerbe, aiguisé comme sait le faire le duo Miller / Truffaut, pour cela, ils reprennent l’effrontée fille de l’autre et elle éblouit l’écran. Une ode à la liberté qui fait du bien dans cette tendance rétrograde et conservatrice actuelle.
    Hotinhere
    Hotinhere

    545 abonnés 4 943 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 décembre 2020
    Sur un scénario de Truffaut, Miller signe un film touchant sur le récit initiatique de Janine, une ado ingénue au parcours chaotique, illuminée par une Charlotte Gainsbourg à la fois farouche et attachante.
    bsalvert
    bsalvert

    402 abonnés 3 574 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 juin 2011
    Un film dont on se passerait bien tant il manque de consistance.
    titicaca120
    titicaca120

    382 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 octobre 2007
    un des premiers films de charlotte gainsbourg et déjà son talent éclate au grand jour.les seconds roles aussi sont intéressants,vraiment l'on passe un agréable moment.
    Akamaru
    Akamaru

    3 075 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mars 2009
    3 ans après "L'effrontée",Claude Miller retrouvait Charlotte Gainsbourg dans "La petite voleuse"(1988).Une histoire qui se voulait le prolongement,mais qui en réalité lorgne du côté de François Truffaut.Pompe allègrement pourrait-on dire.Les 400 coups d'une jeune kleptomane qui fait sa crise d'adolescence.Conséquence de l'abandon de ses parents?Envie de se distinguer?Révolte contre le monde qui l'entoure?On ne saura pas les motivations de Janine Castang,à l'air triste,mais goûtant la vie à pleines dents.La dernière phrase du film nous dit qu'il faut suivre son propre chemin,quel qu'il soit.On flirte avec la démagogie.Charlotte Gainsbourg,savant mélange de douceur et de fort caractère,retrouve son côté insaisissable.Claude Miller sait la filmer,c'est indéniable.Il laisse libre cours à la nostalgie de sa France provinciale des années 50.Néanmoins,il ne parvient jamais à décoller du fait divers,et on a bien du mal à s'intéresser à cette adolescente rebelle.Des petits riens qui auraient pu faire un grand tout.Un rendez-vous manqué avec sa jeunesse.N'est pas Truffaut qui veut.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 375 abonnés 4 414 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2016
    Claude Miller retrouve pas mal d’acteurs de L’Effrontée dans ce film, notamment son héroïne, Simon de la Brosse, lequel a un plus grand rôle que dans le sus-nommé. Le film n’est pas désagréable mais ça reste une chronique assez fade.
    Le casting apporte pas mal de substance, Charlotte Gainsbourg reprenant un rôle assez similaire en fait à celui qu’elle avait dans L’Effrontée. Sa prestation est assez similaire, et elle convainc encore, entouré d’acteurs solides. Raoul Billerey est très à l’aise, Simon de la Brosse trouve un rôle consistant et qui lui convient bien, tandis que Didier Bezace aurait mérité une place plus importante. Si les personnages sont plutôt classiques et attendus en fait, ne sortant pas de l’ordinaire du genre, les acteurs apportent de la consistance à l’ensemble, et il en résulte un certain intérêt positif, même si plus d’originalité n’aurait pas été de refus.
    Car en effet, sur des personnages classiques le réalisateur signe un film lui aussi assez classique. Les rebondissements ne surprendront pas beaucoup, le rythme est correct mais lui aussi est assez linéaire, et si La Petite voleuse bénéficie d’une narration agréable il n’y a pas de gros moments forts qui donne le sentiment que la machine s’emballe franchement. En sommes, le film est proprement conduit, mais c’est une chronique qui, alors qu’elle prend sur le papier des tournants plus intenses, dramatiques, vrais, garde la tonalité de L’Effrontée. Mais la tonalité qui pouvait convenir à un film sur le passage de l’enfance à l’adolescence est un peu juste pour un film comme La Petite voleuse.
    Formellement Claude Miller emballe son film avec une certaine conviction, mais là aussi j’ai trouvé son film un peu plus fatigué que L’Effrontée. Décors un peu faibles pour ce qui ressemble parfois à un road-movie. Peut-être le reconstitution d’époque a handicapé les scènes d’extérieurs, peu présentes. Reste une mise en scène qui sait être ingénieuse, une photographie assez fraiche. Par contre musicalement ce n’est pas très emballant. Il aurait réellement fallu une bande son plus punchie, ou plus profonde, pour suivre cette histoire.
    Finalement, La Petite voleuse est un petit Miller qui se laisse voir mais ne se force guère. C’est trop peu original et d’un traitement trop basique pour vraiment convaincre. Il reste un métrage pas désagréable, mais plutôt quelconque. 2.5
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2011
    Excellente Charlotte qui sauve le film d'un ennui certain. Même si le scenario et l'écriture des dialogues sont très bons ("Vachement meuh meuh!"). Un bon petit film.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    236 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 avril 2008
    Le paradoxe truffaldien se trouve résumé dans un seul film : «La petite voleuse» (France, 1988) de Claude Miller. Dernier scénario écrit par Truffaut, avec Claude de Givray, il invente à son Antoine Doisnel un analogue féminin. La grandeur naturelle de Jean-Pierre Léaud laisse place à la candeur juvénile de Charlotte Gainsbourg. Il est question en l’occurrence de l’étrangeté du paradoxe truffaldien. Qu’est-ce que ceci ? Truffaut, digne représentant d’un cinéma du milieu, a cultivé cette dialectique artistique entre son statut de grand auteur de la Nouvelle Vague, faisant des films singuliers comme «Tirez sur le pianiste» ou «L’Enfant sauvage» et cette bourgeoisie enfouis définitivement dans la paralysie d’une certaine tendance du cinéma français. Dénigré le cinéaste au profit de cette dualité serait omettre qu’il apporta beaucoup au cinéma à une époque. Venons au film, œuvre qui nous concerne et qui est le fruit du travail de Truffaut. Retraçant les péripéties d’une fille cleptomane, Miller fait le portrait d’une jeune en mal-être, souffrant d’un mal universel : la crise d’adolescence. Donnant crédit à cette période injuste, Miller dessine la détresse de l’âge ingrat comme un cri alarmant. Une fourchette qui se plante dans le dos d’une main, voilà l’image étalon qui donne la couleur au tout. Gros plan sur les petites fourches enfoncées dans la chair, dès lors parsemée de sang, Miller fait tout gratuit, tout innocent, tout frivole. C’est la chronique d’une jeune fille qui rêverait d’être femme. Les chroniques fait-divers ne sont en elles pas de mauvaises choses, voyez Van Gogh qui nous peint le commun d’un prolétariat avec des teintes sublimes, lisez Zola qui écrit la vie des mineurs avec majesté, voyez Truffaut à ses débuts qui déjà dans «Les Mistons» faisait du néo-réalisme la pratique parfaite d’un cinéma intime. Miller lui n’a rien de l’esthétique de tous ceux-là. Ne reste plus que l’écume de leurs historiettes, la lie de l’anecdote, le moins intéressant.
    rogertg2
    rogertg2

    28 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 avril 2008
    Un film des plus ennuyeux : une jeune voleuse quitte sa tante qui l'élevait pour devenir bonne à tout faire. Elle rencontre un homme marié qui a le double de son âge et devient sa maîtresse, puis elle le remplace par un jeune de son âge... Je ne peux pas en raconter plus car je suis allé me coucher tellement je m'ennuyais. J'ignore quel est le message donné par ce film ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 novembre 2007
    Charlotte Gainsbourg est épatatante dans ce rôle de jeune fille paumée qui se cherche, entre l'enfance et l'adolescence, rebellion et obéissance et qui rêve de gagner sa vie.Voleuse, menteuse mais tellement attachante! Un excellent film qui rappelle l'effrontée, du même réalisateur.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 613 abonnés 12 377 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2021
    Elle vole de la marchandise dans les magasins, elle chaparde de la lingerie, des chaussures, des clopes! Elle fauche aussi l'argent du Bon Dieu! Bref, Janine fait dans le mensonge très grave et c'est aussi une bonne menteuse! Eclosion de Charlotte Gainsbourg qui fait les 400 coups chez Claude Miller, d'après un film fantôme de François Truffaut, ècrit avant sa mort! Audacieuse et timide, candide et dèsinvolte, Charlotte confirme son talent d'actrice après son Cèsar du meilleur espoir pour "L'effrontèe" du même Miller! Un film èmouvant, portè par la hardiesse, la fèminitè fremissante et le tout en contraste de son actrice principale! On apprècie ègalement Didier Bezace et surtout le jeu naturel du regrettè Simon de La Brosse qui joue le petit copain passionnè de moto-cross dans la seconde partie! Un ècorchè de la vie parti trop tôt...
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 133 abonnés 5 096 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2020
    Miller filme les 400 coups au féminin avec une actrice qui crève l’écran.
    Superbe Charlotte dans ce drame de la jeunesse où les désirs sont battus par la société.
    Les meilleurs films de tous les temps
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