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françoise Devaux
34 abonnés
311 critiques
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2,0
Publiée le 29 mai 2022
Film d’arnaque comme le cinéma américain en compte tant. Cette arnaque-ci n’est pas transcendante, on a vu plus spectaculaire. Le casting ne sert pas vraiment le film, Edward Burns n’est pas vraiment sympathique, Rachel Weisz est quelconque comme à son habitude et Dustin Hoffman en caïd fait sourire. Andy Garcia est sous-utilisé. Le découpage des scènes est un peu pénible, il y a peu de scènes d’action. Film policier de série B à voir éventuellement un dimanche pluvieux
Confidence a droit a un bon casting, une floppée de bons acteurs. Une histoire prenante, classique sans grande originalité mais plutôt efficace. Les révélations sont intéressantes bien qu'elles n'aient pas le côté "spectaculaire" de la mise en scène. Il manque quelque chose pour que ce film soit mémorable...
4 708 abonnés
18 103 critiques
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2,0
Publiée le 25 février 2021
Le jeu d'acteur trop stylé était ennuyeux (Paul Giamatti en tête) et a failli en faire un film de série B de bas niveau. Mais c'est là que le dialogues sont entré en jeu pour terminer le travail. C'est un de ces films d'arnaque qui à la fin aurait pu avoir Dieu dans le collimateur pour sauver la situation. C'est une histoire si incroyablement mauvaise qu'ils ont dû utiliser près de 20 rebondissements pour essayer de tromper le public et faire en sorte qu'elle tienne la route. En fait, la seule chose qui a permis au complot de fonctionner était la participation d'Andy Garcia comme si nous ne nous en doutions pas. Le fait qu'ils aient dû comparer l'intelligence de leur plan à un jeu d'échecs compliqué pour convaincre le spectateur a rendu douloureusement évident que ce n'était pas le cas. La confidence aurait pu être un bon film s'il n'avait pas essayé si fort d'être ce qu'était l'océan11. C'est exactement comme l'a dit Dustin Hoffman parfois le style peut vous tuer...
septiemeartetdemi.com - Le mot "fuck" est dit 130 fois, nous dit IMDb. Une façon à la fois très juste et très fausse de résumer le film. Juste parce que cela reflète le niveau intellectuel des personnages et la teneur des dialogues qu'ils tiennent, et fausse parce qu'il y a aussi toute la manière dont cela est mis en scène. Tout est lié à la façon de traiter les choses, sinon à quoi bon séparer le ressenti de la critique ?
Le nombre de plans est astronomique. Pendant les discussions, ils durent parfois une demi-seconde à peine et s'enchaînent par dizaines de champs/contrechamps/contre-contrechamps. Avec ça, les dialogues sont débités comme de trois Amazones de l'éloquence pollués par trois Pékins d'inanité. Une plume abondante et rugueuse d'où s'écoule un océan, le contexte. Tellement d'eau qu'on pourrait le croire fertile, mais il y manque la terre pour y voir pousser des promesses artistiques. Alors on aura beau admirer la caméra énergique jouant au torero avec des faux raccords qui jamais ne l'atteignent, l'œuvre ne semble pas chasser de but particulier ni réussir un quelconque aspect secondaire (en ce qui concerne la musique, le single Clocks de Coldplay au générique est l'unique exception).
L'action distrait mais elle nous laisse beaucoup trop penser qu'on pourrait avoir un pot de pop corn entre les mains pour s'aider à fermer les yeux sur sa nature. Le film ne garde qu'une seule vraie qualité : il est diablement facile à suivre pour selon qu'il est si peu linéaire et si touffu.
Le début est prometteur, mais très vite le film devient confus et peu compréhensible, qui escroque-t-on ? Qui est avec qui ? Qui est contre qui ? Et plus ça avance plus c'est pire (à moins de prendre des notes, et encore !) Rachel Weisz est fabuleuse comme toujours et c'est elle qui nous fait regarder le film jusqu'au bout. Le réalisateur a choisi de laisser cabotiner Dustin Hoffman et Andy Garcia de façon éhonté dans leurs rôles secondaires et ils et ils en abusent jusqu'au ridicule. Tout cela ne vole pas bien haut, c'est réalisé platement et le twist final est complètement artificiel.
Un film d`arnaque hyper bien foutu et très riche en rebondissements de situation. Un scénario bien écrit, bien détaille et surtout bien maîtrisé entre tous les personnages du film. Un casting d`acteurs très satisfaisant avec un Edward Burns très classe, Une belle Rachel Weisz et un Dustin Hoffman très sensationnel. Rien qu`en regardant le début du film, on a déjà envie de regarder le film jusqu’à la fin pour voir la grosse arnaque. Le film se regarde aisément et la fin s`intensifie au suspense et devient inattendue. Arnaque, manipulation, piège sont des mots-clés bien utilisés dans ce film. Des décors et des costumes comme on peut voir en Amérique. Un des meilleurs films d`arnaque que j`ai jamais vu et il vaut le coup de le voir.
Une comédie d'arnaque bien construite,c'est toujours appréciable,d'autant que celle-ci dispose d'un casting plaqué argent et d'incessants rebondissements. "Confidence"(2003) aurait toutefois pu se passer de certaines afféteries stylistiques qui ne font qu'alourdir le côté déjà roublard de l'entreprise. On sent vraiment l'influence de Guy Ritchie chez James Foley,tant dans la caractérisation de petites frappes flamboyantes que dans le montage serré et les twists usuels. C'est pour cela que ce film est si fun,surtout avec un Dustin Hoffman excentrique à souhait et une Rachel Weisz miraculeusement habitée.
James Foley est relativement performant dans le polar, l'intrigue tient bien la route et particulièrement sur le montage du gros coup. Par ailleurs le casting est très bon.
Jake Vig (Edward Burns) arnaque, sans le vouloir, "The King" Edward Burns ressemble, vraiment, à Ben Affleck avec le même jeu d'expressions et presque son talent...
On a une chouette bande d'escrocs : Jake le cerveau, Lily en croqueuse de diamants, Gordo et Miles en fidèles associés , mais aussi deux flics miteux, un poil crétin mais qui marchent dans toutes les combines.
Dustin Hoffman joue "The King" en Parrain transpirant, vicieux et névrosé. Andy Gracia fait, aussi, partie de l'équipe , il est efficace dans son rôle de flic miteux .
L'idée c'est de monter le gros coup afin de solder leur dette avec le King mais l'histoire se joue à l'envers.
Un bon film plutôt sympa avec de bon acteur, le scénario est bien ficelé et bien mené même si ça reste classique pour un film sur une arnaque et assez prévisible au final.
Casting 4 étoiles pour film 3 étoiles. Que du beau monde dans cet arnaque rondement bien menée. Le cerveau de l'affaire (Edward Burns) a pensé à tout et à tout anticipé. Au final, on est surtout surpris par spoiler: Butan car pour le reste ça sent le déjà vu.
Encore un film où on se trahit, on arnaque, puis on se fait arnaquer en retour. C'est plutôt pas trop mal fait, mais je trouve les acteurs assez médiocre ce qui fait perdre pas mal de crédibilité au tout et qui le met bien en dessous de pas mal de film traitant du même thème.
J'ai vu un film... excellent film d'arnaque, s'il en est... On est constamment scotché, sous excitant, pris dans les méandres d'un scénario fin au possible, avec des comédiens exceptionnels, et une narration dynamique, vive et intense... La réalisation, nerveuse, enchaîne des clips sous speed à vitesse grand V, et réussi néanmoins à nous maintenir au niveau 1000% au fond de notre fauteuil Les flash-backs, les couleurs, la musique sont au service de l'histoire et des comédiens qui nous gratifient d'un jeu genre "grande classe internationale"... Les dialogues sont ciselés, et les répliques fusent... J'ai savouré tout au long du film le déroulement de l'arnaque... A voir...
Regardé par hasard, confidence est un film assez médiocre. Il s'agit une nouvelle fois d'une histoire d'arnaque qui tourne mal et où les rebondissements s'enchainent tant et si bien qu'on ne sait plus qui arnaque qui (mais à quoi sont payés les scénaristes ???). Je sais bien que c'est l'intention qui compte mais la rien ne fonctionne : l'intrigue est mal ficelée, les rebondissements sont foireux, le casting pas génial (mais que vient foutre Dustin Hoffman ici ??), les dialogues foireux … Du point de vue esthétique on est proche des productions est allemande de la fin des 70's et la caméra est à l'avenant. Bref un film vraiment moyen pour ne pas dire plus, à regarder une fin d'après midi pluvieuse histoire, sans plus.
Bien sûr l’atout d’une telle intrigue se doit d’être une trame bien ficelée mais dans cette jolie partie de poker, James Foley mise avant tout sur un système narratif plein de flash-backs pour mener le film vers son dénouement. Ce montage, donc aussi clipesque que sa photographie colorée, nous permet d’entrer dans un film bien mieux rythmé que les polars classiques, tel que L’Arnaque dont il semble indirectement inspiré. La brochette de stars offre une prestation irréprochable avec un Dustin Hoffman impérial et une Rachel Weisz envoutante. Si le suspense est défaillant, l’intérêt scénaristique repose essentiellement sur son twist final.