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    La Septième prophétie
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    20 critiques spectateurs

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    mistermyster
    mistermyster

    56 abonnés 1 271 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mars 2024
    Un film qui se rate complétement ou presque, c'est tellement prévisible, il n'y a rien dans la mise en scène qui soit à sauver, pas une once d'atmosphère, et pourtant l'idée était bonne, mais elle est mal traitée.
    C'est pas faute d'avoir un bon casting, et on reste jusqu'au bout uniquement pour Demi Moore, sinon, on peut se passer de ces 90 minutes d'enfer, car en plus les acteurs ne jouent pas super bien, il faut le dire.
    Alors qu'est-ce qu'il reste, pas grand chose, peut-être que le budget du film est partit dans les salaires des acteurs, et que le réalisateur n'avait plus les moyens de ces ambitions, mais quand même, c'est vraiment pas imaginatif, on frôle l'ennui à bien des reprises et, malheureusement, même si on se raccroche à Demi Moore, cela ne suffit pas à sauver ce film du naufrage, peut-être que la prophétie d'un échec annoncé a échappé à toute l'équipe.
    Raph
    Raph

    2 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    "Le septième sceaux !"

    En Haïti, un étrange personnage à l’aura à la fois inquiétante et prophétique brise le sceau d’un parchemin sur les bords de l’océan et l’impensable se produit. Dans le même temps, dans le désert du Negev, l’armée israélienne est confrontée à un phénomène extraordinaire. Bienvenue dans le prologue de «La septième prophétie» du réalisateur d’origine hongroise Carl Schultz. Celui-ci va recentrer son récit sur le jeune couple que forment Abby (Demi Moore) et Russell Quinn (Michael Biehn). Bientôt parents, Abby et Russell souhaitent louer une dépendance dans leur propriété car un apport financier serait le bienvenu. Et s’est alors qu’un certain David Bannon (le charismatique Jürgen Prochnow) frappe à leur porte. Au contact de David, à la personnalité à la fois plaisante et mystérieuse, la vie d’Abby et Russell va prendre une tournure des plus étranges. Instiguait par des long-métrages comme «L’exorciste», «La malédiction» ou encore «Holocaust 2000» dans les années 70, le cinéma fantastique à consonances religieuses et fanatiques revient en force au milieu des années 80. Les salles obscures regorgent de combat entre le bien et le mal, de démons, de réincarnations et de superstitions en tous genres. En cette année 1987, «La septième prophétie» n’échappe pas à la règle et joue des coudes avec des pellicules comme «Angel Heart» d’Alan Parker, «L’emprise des ténèbres» de Wes Craven et «Les envoûtés» de John Schlesinger. Sans jamais pouvoir rivaliser avec les 3 films cités ci-dessus, «La septième prophétie» contient tous les ingrédients du petit thriller biblique saupoudré d’apocalypse. Les effets spéciaux et autres trucages visuels s’insinuent parfaitement dans l’histoire. Les acteurs y sont convaincants, quel plaisir de revoir Michael Biehn (l’éternel Kyle Reese de «Terminator») et la toute jeunette Demi Moore, mais la palme revient à Jürgen Prochnow (David) et Peter Friedman (le père Lucci) dont l'ambiguïté de leurs deux rôles donne tout son mystère au long-métrage. Bref parfois un peu lourd et manichéen dans ses propos, «La septième prophétie» reste malgré tout un sympathique petit film fantastique.
    Clint B
    Clint B

    51 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 mars 2023
    J'avais loué ce truc tout début 90' dans le vidéo club que j'avais dans mon quartier. Le pitch m'intéressait, le casting également avec ce bon vieux Jürgen Prochnow et M.Biehn. mais que c'est mauvais ! S'en était comique. Bref, a fait partie de la longue liste de Z que j'ai pu louer à cette période, où les jaquettes de VHS et un pitch bien fait m'attiriraient comme un aimant. Et 9 fois sur 10, un "aimant" déçu 😉
    Ti Nou
    Ti Nou

    497 abonnés 3 499 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 mars 2022
    Le mysticisme de ce thriller biblique sombre dans le ridicule. L’intrigue multiplie les rebondissements sans parvenir à surprendre et à éveiller l’intérêt. "La septième prophétie" s’avère plus embarrassant qu’effrayant ou inquiétant.
    Ghighi19
    Ghighi19

    67 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2022
    Je viens de découvrir ce film un peu au hasard et c est pas mal du tout . Bien sûr c est une époque mais le scénario est assez original pour assouvir la curiosité de ceux qui apprécient le fantastique.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 568 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 avril 2021
    La Septième Prophétie confond tellement l'éthique et les idéaux religieux qu'il ne parvient pas à créer un argument cohérent contre la peine de mort à quelque niveau que ce soit. En présentant l'exécution légale d'un meurtrier condamné par la fin apocalyptique de l'humanité il élève un parent tueur au rang de martyr. D'une certaine manière selon l'intrigue Dieu est indigné que la société ait choisi de se débarrasser d'un fanatique qui a tué ses propres parents en y mettant le feu alors qu'ils dormaient sans défense dans leur lit. Pourtant ce même dieu n'a aucune indignation pour les actes du tueur. Le personnage principal une femme non religieuse enceinte et suicidaire qui finit par donner sa propre vie dans une tentative provocante mais peu crédible de le sauver sans succès. L'incarnation moderne et terne du Christ ne fait pas que le déshumaniser elle se moque également de l'idéal messianique de toutes les religions. Il est incapable d'influencer l'humanité pour le bien et se contente d'effleurer la vie sans émotion en attendant que l'humanité s'autodétruise. Pendant ce temps avec un peu d'aide de Jésus la femme enceinte mentalement instable se retrouve avec la capacité de se réincarner dans son enfant ce qui d'une certaine manière sauve toute l'humanité de la colère du tout-puissant. Il soulève de nombreuses questions auxquelles il ne tente même pas de répondre. Il ne tient pas compte des valeurs religieuses de son public tout en essayant de dépeindre une version de leur épanouissement...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    L’avalanche de retournements scénaristiques finit par lasser, certes. Et le dénouement s’avère plutôt prévisible, d’accord. Pourtant, nous ne saurions nier la sincérité avec laquelle La Septième Prophétie enchaîne les péripéties à la manière d’un roman de Dan Brown – en moins bien écrit – et relance sans cesse son suspense jusqu’à ce point de non-retour où il tombe dans le n’importe quoi dommageable. Le film nous dit quelque chose de l’influence qu’exercent sur un être fragile les sources de manipulation alentours, à commencer par les médias et leurs nouvelles désastreuses : guerres, épidémies, attentats etc. La télévision est la somme des maux terrestres, la femme enceinte leur réceptacle. Dès lors, le parcours d’Abby s’apparente à celui d’une initiation, en ce sens où de spectatrice passive d’un versant du monde qu’elle ne connaît pas, elle prend progressivement conscience des signes qui le composent, n’hésite pas à enfreindre les usages religieux – voir à ce titre la salutation du prêtre, hilarante – afin de désamorcer la malédiction qui la condamne, elle et son bébé. Par plusieurs fois le film fait mal, pique l’aiguille d’une seringue dans le corps d’une femme enceinte, la fait tomber, la martèle de grêlons : le martyre de la mère aboutit au don de soi dans un acte de foi en l’humanité. Notons également une introduction bien troussée qui multiplie les plans étranges : un village désertique couvert par les glaces, des poissons par centaines s’échouant sur le rivage. Aidé par la partition musicale de Jack Nitzsche, le réalisateur réussit à créer une atmosphère d’Apocalypse à échelle individuelle, qui n’est due qu’à la perception d’une femme que personne ne veut croire, jusqu’au sacrifice ultime. Demi Moore la campe avec conviction. Si l’ésotérique frôle à de nombreuses reprises le ridicule prononcé, si l’entrelacs de deux temporalités ne fonctionne guère, La Septième prophétie reste un divertissement honnête qui tente de proposer à son spectateur un récit haletant et neuf. Pari pas vraiment tenu, mais pari quand même.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2019
    Le film aurait pu être sympathique, l’accroche est séduisante et le trio d’acteurs (Demi Moore, Michael Biehn, Jurgen Prochnow) donne quelques garanties, mais le résultat est ultra brouillon et n’a clairement pas les moyens scénaristiques de ses ambitions, l'histoire aurait sans doute tenue la route dans un format mini-série, que là en 1h40 tout est tellement survolé que s’en est juste cliché. Dommage.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    986 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2013
    Film fantastique de la fin des années 80, La Septième Prophétie est hélas un joli ratage qui partait d'une bonne idée pour se vautrer dès les premières minutes. Le casting était pourtant alléchant (la magnifique Demi Moore avant sa consécration dans Ghost, le badass Michael Biehn échappé des productions Cameron et l'imposant Jurgen Prochnow), le pitch de départ aussi mais la mise en scène faiblarde du peu connu Carl Schultz et les rebondissements plats comme de l'eau de roche ne viendront jamais titiller notre intérêt... Une femme enceinte suscite l'attention d'un étrange inconnu qui sème peu à peu autour de lui les sept plaies d'Égypte. Face au déni de l'Église et à l'incompréhension de son propre mari, la jeune femme va devoir se battre pour préserver son bébé et ce qu'elle croit être un enfant normal... Dit comme ça, c'est intéressant. Malheureusement, on n'y croit jamais et surtout, au bout d'une bonne grosse demi-heure, on s'en contre-fout, l'intérêt du film tombant à l'eau à travers chaque scène, certaines étant soit ratées (les apparitions quasi-fantomatiques mais vaines de Prochnow) soit chiantes, en témoignent les enquêtes ennuyeuses du Père Lucci. Ce personnage central est hélas sous-exploité, libérant ses révélations dans un dernier acte attractif mais lui aussi bien pauvre. Ainsi, l'intrigue se façonne lentement pour amener le spectateur à un constat effarant : le film ne raconte pas grand chose et s'arrête à son seul sujet pour n'aboutir qu'à un final au-delà de toute prévisibilité. Est-ce donc la faute aux scénaristes, auteurs de ce script de court-métrage inutilement rallongé pour le cinéma ? Celle des acteurs qui s'efforcent de donner un semblant de crédibilité à la simplicité de leurs scènes ? Ou bien est-ce la faute du réalisateur, soucieux de présenter une refonte de Rosemary's Baby version ésotérique sans atmosphère ? Dans tous les cas, La Septième Prophétie n'apporte qu'un ennui profond et un oubli total après visionnage alors qu'il y avait matière à faire un film fantastique sincèrement réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 juin 2013
    Ce film d'une stupidité sans nom réunie malheureusement pas mal de bons acteurs. Mais comment ceux-ci ont-ils été capables d'intégrer un tel projet ??? Grande question... Je ne serais pas étonné d'apprendre que certaines carrières aient été fusillées par ce "monument". Quand l'Amérique sombre dans ce qu'elle sait faire de mieux en termes de propagande religieuse...
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 mars 2012
    La fin du monde revisitée par le cinéma hollywoodien a souvent un aspect très spectaculaire, mais ici au contraire c’est à travers le pouvoir de suggestion que le réalisateur veut effrayer son public. Après un début prometteur rappelant celui de L’EXORCISTE, on entre dans le quotidien anodin d’un jeune couple composé d’une femme enceinte campée par une Demi Moore, encore inconnue du grand public deux ans avant GHOST, et d’un avocat interprété par Michael Biehn, qui venait d’être découvert dans TERMINATOR. La trame débute dès lors qu’elle commence à s’interroger sur leur locataire, un illuminé joué par l’impressionnant Jürgen Prochnow. Après une heure de doutes accompagnés de quelques interprétations bibliques, on entre enfin dans la demi-heure purement ésotérique pendant laquelle va naitre un semblant de suspense. Les révélations mystiques vont alors se multipliés pour construire les pièces d’un puzzle d’une conclusion qui s’avère malheureusement être prévisible et décevante.
    Henrico
    Henrico

    165 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 octobre 2010
    Si les productions télévisuelles de Carl Schultz, ne sont pas tout à fait inintéressantes, ses incursions pour le grand écran sont franchement navrantes. Les ressorts dramatiques de cette « Septième prophétie » manquent cruellement d’originalité. Le thème des signes de l’imminence apocalyptique, étant déjà si rabâché, il eût fallu approfondir de nouveaux éléments. Or les nouveaux éléments présents dans le film sont désespérément bâclés. Jésus est rendu par un Jürgen Prochnow, peu charismatique, exagérément ambigüe, et aux pouvoirs étonnamment limités. Le représentant du malin, lui semble avoir des pouvoirs supérieurs, et l’héroïne un passé historique et un destin brouillonnement expliqués; et pour cause : les références bibliques du scénario sont bien trop confuses et inexactes. Tant sur Abigaïl (dont le prénom, de l’héroïne, « Abby », est dérivé), femme de David (prénom donné au personnage sensé incarné Jésus), que sur les plaies naturelles, signes avant coureurs de la fin du monde. A ces faiblesses référentielles, s’ajoute de l’incongruité. Si l’inceste est un crime, tuer son prochain en est un aussi. Comment donc un homme qui tue ses parents incestueux, pour s’ériger en exécuteur de la vengeance divine, pourrait-il être un martyr ? En faisant preuve de compassion, on pourrait concéder un intérêt au film : révéler les qualités d’actrice extraordinaires de Demi Moore. Mais hélas, même les cinéphiles les plus charitables rétorqueront que l’on pouvait s’en rendre compte dans un autre film, qui lui, n’est pas un navet : « Ghost ».
    Tedy
    Tedy

    250 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juillet 2009
    Un film fantastique plat, ridicule et ringard.
    dahbou
    dahbou

    205 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2009
    Reprenant à son compte tous les élèments connus du film fantastique/ésotérique, La 7me prophétie se pose entre l'exorciste et Rosemary Baby tout en prenant à contre pieds ces derniers puisque ici il n'y a point de Malin c'est même tout le contraire. Seulement voila il n'égale jamais ses prestigieux modèle, la faute à une réalisation inégale et à un scènario qui devient vite paresseux se croyant pourtant rusé. Le film se suit sans deplaisir et on retrouve aussi avec plaisir Jürgen Prochnow, acteur sous estimé qui s'est perdu dans de bien mauvais film alors qu'il a une présence vraiment à part.
    Caine78
    Caine78

    6 716 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 juillet 2008
    On a beau la trouver bien sympathique, cette Demi Moore, sa filmographie n'en sera pas sauvé pour autant. Pourtant, elle démarrait plutot bien cette "Septième prophétie", une ambiance intéressante semblant s'installer, le réalisateur ayant alors l'intelligence de laisser place à quelques détails insolites. Mais c'est alors qu'au bout de vingt minutes, patatra!! Le film se transforme en sorte de trip mystique incroyablement ringard et moche. On se demande d'ailleurs si le réalisateur a simplement cherché à suggérer, ou au contraire se montrer ambitieux esthétiquement, mais qu'elle que soit la réponse, c'est raté, et pas qu'un peu!!! On s'en retrouve même navré devant tant de grossièretés au niveau du scénario, qui se révèle en définitive totalement prévisible et passablement ridicule, cette évocation biblique étant la cerise sur le gateau pour un film qui ne manquait pourtant déja pas de bêtises jusque-là. Bref, tout ceci est navrant, s'offrant en plus le luxe de se prendre très au sérieux pour un sujet qui aurait au minimum demandé ne serait-ce qu'un tout petit peu de recul. On aura beau être assez sensible à la présence inquiétante et puissante de Jurgen Prochnow : rien n'y fait, c'est à fuir...et à mourir.
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