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    Breakfast Club
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    Audrey L
    Audrey L

    654 abonnés 2 596 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2019
    Culte, intimiste, reflet d'une société américaine qui ne prend plus soin de sa jeunesse (qui se révolte donc comme elle peut pour se faire entendre), Breakfast Club est l'un des titres qui reviennent le plus souvent comme référence cinématographique dans les autres films. Sans le savoir peut-être, vous en avez certainement déjà vu quelques scènes, placées comme clin d’œil dans d'autres films. Pour parler de Breakfast Club en lui-même, les jeunes acteurs sont parfaits dans leur rôle respectif : le loubard, la gothique, la belle, l'intello et l'athlète. Tous très différents, comme autant de portraits (un peu caricaturaux, il faut bien le dire) qui ont chacun leur coup de gueule à pousser : parents violents qui poussent le loubard à préférer se lever tôt chaque samedi (le "Club Petit-Déjeuner") pour rester en colle, père qui pousse trop l'athlète par procuration, un incompris par son intelligence, une belle qui a honte d'être vierge (comme si le premier empêchait le second... Formatage des idéaux sociétaux oblige), et la gothique qui ne peut exprimer son mal-être qu'au travers de ses tics étranges... L'image datée ne dérange pas tant, seules les longueurs dialoguées vers la fin perdent un peu en rythme après une excursion épique hors de la salle de colle ! Une belle brochette que l'on suit de A à Z dans ce huis-clos un peu bavard par moments, mais qui a tant de chose à dire...
    Nico F
    Nico F

    214 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2019
    THE Film culte! la film de notre génération les quadras. Plus le Don't you forget abat me des Simple minds. Le film lycée par excellence .A voir des millions de fois
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 décembre 2018
    Un huis clos de teen-ager à l’image des « 12 hommes en colère », une rencontre inconnue se réunisse par les circonstances non dramatiques, pas de situation délicate mais un motif, la punition générale et une colle excusée. L’ambiance musicale est superbe, je suis fan de l’année 1985, du romantisme wave et de l’électronique arcade. L’histoire des cinq collés est simple, on s’amuse des clichés et de la mise en scène, ils se trouvent des points en commun autour d’une conversation. Appréciation et dispute comme temps passé pour cette première journée de week-end, ce n’était pas du gaspillage mais un enrichissement pour ces jeunes gens, un film bien fait.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 084 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 novembre 2018
    D’un film générationnel la question est : n’est-il que cela ? Tel le Grease au cuir misogyne et à la bêtise chantée ? Assurément pas. The Breakfast Club constitue un tour de force parce qu’il convertit l’immobilité spatiale en microcosme cathartique où se redistribuent les cartes d’un même jeu, celui de la jeunesse volée, violée et corrompue par le monde adulte. La jeunesse est sacrifiée, conduite à s’interroger malgré elle sur une identité qu’elle doit figer avant même de l’avoir constituée ou vécue. Car ce coup de pistolet tiré au milieu d’un concert scolaire provient d’une arme de détresse, ultime cri d’alerte de la part d’un adolescent agonisant sous les coups répétés de la réussite, plutôt l’idée de réussite qu’une société et que ses délégataires parentaux matraquent aveuglement à longueur de temps. L’œuvre construit sa révolte par la parole et le mouvement des corps tantôt assis tantôt rampant dans les conduits d’aération pour enfin briser leurs chaines et danser, rassemble des types au front garni d’une étiquette – intello névrosée bobo tout musclé vermine – pour mieux les fusionner dans le portrait d’une jeunesse unie par sa même quête de liberté. Quoi de plus paradoxal qu’une si juste dissertation sur l’existence, ses futilités et ses beautés, dans l’école préalablement saccagée (entendons réappropriée), vidée de sa substance adulte destructrice ? Car The Breakfast Club chante un début malgré le cercle dans lequel il s’inscrit mais d’où sortent des jeunes grandis par leurs expériences et leurs erreurs, chante l’heure du déjeuner comme métaphore d’une vie à ne pas laisser filer. On prend des forces et la journée peut commencer, la lutte s’entamer, point levé contre vents et marées au formatage désolant. « It's my feeling we'll win in the end ». Chef-d’œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    Et bien, je ne m'attendais pas à ça.

    C'était de mon époque et je ne l'avais jamais vu. Pourtant, aimant les Simple Minds, la pochette de Maxi 45 « Don't you » me suggérait de le regarder au moins une fois dans ma vie. Javais vu, du même réalisateur, « Créature de rêve », « Maman j'ai raté l'avion », « La folle journée de Ferris Bueller » don't seul le dernier m'avait plu lors de ma prime jeunesse.

    C'est dont seulement parce que je le voyais souvent dans les films cultes que je m'y suis intéressé.

    Alors ce sont 5 stéréotypes (dans le sens sociologique), que tout semble opposer (appartenant à différentes « cliques ») mis à nu lors d'un huis clos autour d'un samedi de colle.

    Rien que ça et pourtant…

    Ce film est un tableau d'une belle justesse (pas forcément au niveau du jeu des acteurs) dans la construction des personnages. On a pas vraiment droit à une morale à l'américaine, mais surtout une définition du stéréotype : une étiquette pour classer nos individualités apparentes même si nous sommes tous plus proches les uns des autres que nous le pensons.

    Cela m'a fait penser à un autre film du même genre « The mean girl » qui traitait d'un autre stéréotype également lié au phénomène de « clique » (voir « The queen bee and the wannabes » de Rosalind Wiseman

    Ici, nous en avons 5 : La princesse (on en revient au film susmentionné), le sportif, l'intello, le rebelle et l'étrange. En résumé, des personnages comme nous en avons tous rencontrés dans notre scolarité (voir même après). Si eux sont crédibles, certaines situations le sont un peu moins. Mais passons ce détail car là n'est visiblement pas le sujet principal du film, mais plutôt l'occasion d'exposer leurs propos.

    Même si ce film sent les années 80, il n'est pas dépassé pour autant et devrait être montré à nos ados qui ont parfois du mal à trouver leur place dans ce petit monde.
     Kurosawa
    Kurosawa

    593 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2018
    Quelle belle idée de vouloir filmer quatre lycéens en retenue tout un samedi pour raconter leur mal-être, leurs craintes et leurs espoirs ! Le film tient ses promesses jusqu'à mi-chemin, quand rien ne se dit ou presque, quand les insultes et les bons mots fusent et masquent une vérité qu'il faut retarder à tout prix. Les acteurs peuvent exprimer leur potentiel comique (Judd Nelson est irrésistible) à travers des dialogues merveilleusement écrits et s'inscrivent dans une ambiance particulière (un établissement scolaire le week-end) qu'a su capter John Hughes : ces couloirs vides, la présence de l'homme de ménage, le temps qui s'écoule lentement, etc. On peut regretter que la légèreté du ton s'efface progressivement devant une psychologie explicite et stéréotypée qui fait du même coup perdre pas mal du mystère à ces adolescents. Si "Breakfast Club" a bien du mal à tenir sur la durée, il n'en demeure pas moins attachant, du fait de sa compréhension intime d'un âge où la rébellion n'a rien de gratuit – elle procède simplement d'un puissant sentiment d'incertitude de l'instant présent et du futur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juillet 2018
    Film culte qui condense les principaux traits du teen movie. Le principe est un peu facile mais efficace: cinq ados (le rebelle, le sportif, le premier de la classe, l'objet du désir et la marginale) se retrouvent collés un samedi matin. Chacun sort progressivement de sa coquille pendant que la figure de l'autorité en prend pour son grade. Scénario ultra-convenu mais intéressant par son minimalisme, et qui renouvelle (en partie) le genre. La fraîcheur du film tient surtout à sa manière de se tenir à hauteur de ses personnages, sans mépris ni fascination.
    Fabien S.
    Fabien S.

    567 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2018
    Un très bon film sur l'adolescence. Une bonne comédie des années 80. De l'humour , de jeunes acteurs talentueux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 janvier 2018
    Un excellent teen movie plein d’humour et d’émotion avec un scénario brillamment écrit et un très bon casting.
    Noé T
    Noé T

    11 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 décembre 2017
    Comédie culte sympa en huis clos ! Le rythme est assez lent et peut provoquer l’ennui par moment mais ça reste tout de même sympa.
    velocio
    velocio

    1 325 abonnés 3 167 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 novembre 2017
    Peut-être le film le plus démagogique de l'histoire du cinéma. Film totalement invraisemblable dans lequel on ne rit jamais et qui génère un ennui incommensurable. A fuir !
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    13 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 septembre 2017
    J'ai beaucoup de mal à trouver pourquoi ce film est culte. Les personnages sont très caricaturaux, les situations sont souvent stupides et irréalistes et les dialogues sont sans aucun intérêt. Quand aux situations qui se veulent drôles comme le siège en papier collé aux fesses du prof, la poursuite dans les couloirs du lycée ou le gamin qui devient surexcité après avoir fumé de la marijuana, elles sont complètement débiles.
    Davynch Lid
    Davynch Lid

    1 abonné 84 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2017
    On doit cette petite perle au réalisateur John Hugues (R.I.P), le mec qui a réinventé le" teen movie" dans les années 80. Hughes, décédé en 2009, était considéré comme le pape du film d'ado avec des films comme La folle journée de Ferris Bueller, Une créature de rêve (qui a inspiré la série Code Lisa) et The breakfast club. C'est également grâce à cet homme que la plupart d'entre nous a découvert au cinéma le film le plus drôle du monde lorsque l'on est enfant : Maman j'ai raté l'avion. Il en était le scénariste et le producteur. 15 ans avant la déférlante des American Pie, des Road Trip ou des Collège Attitude, John Hughes a su écrire un scénario digne de ce nom où les ados ne sont pas que des attardés mentaux libidineux. La qualité des dialogues et l'interprétation sans failles des acteurs contribuent selon moi à faire de The breakfast club le meilleur teen movie jamais réalisé. Le cinéaste ne se base pas sur le comique de situation, il s'intéresse à la psychologie de ses personnages. Le huis-clos permet à chacun d'exprimer les fêlures que son âme contient. Les carapaces de ces cinq jeunes s'effritent lentement et ces derniers se retrouvent métaphoriquement à nu face aux autres. Hughes crée une atmosphère où les langues peuvent se délier. The breakfast club est un travail d'orfèvre dans la description des colères rentrées de l'adolescence. Le film commence sur une citation de David Bowie : "Et ces enfants sur lesquels vous crachez alors qu'ils essaient de changer leur monde, n'entendent plus vos conseils. Ils ont pleinement conscience de ce qu'ils traversent..."Pour Hughes, les cinq lycéeens étouffent sous la pression sociale et les attentes de leurs parents. Les projections qu'effectuent les géniteurs sur leurs enfants sont tout simplement intolérables. Chacun à leur manière, ils souffrent des mêmes maux. The breakfast club est le film culte de toute une génération. Les hommages à cette oeuvre sont légions, que ce soit au cinéma où dans des séries télévisées. Un épisode de Dawson reprend le même pitch et se nomme carrément "the breakfast club". Dans Friends, Chandleur n'a de cesse de passer la chanson "Don't you" de Simple Minds, générique du film. John Hughes a souvent situé l'action de ses films dans une ville imaginaire appellée Shermer. L'action de Jay and silent Bob de Kevin Smith se déroule à Shermer. Voilà quelques exemples qui montrent l'influence de ce film dans le milieu de l'audio-visuel. Vous ne regarderez plus jamais une bibilothèque de la même façon après The Breakfast club. Un film qui reste en mémoire pour longtemps.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 août 2017
    Tout simplement génial, incontournable, supers acteurs, une histoire aussi drôle que touchante, très intéressant
    iamameloche
    iamameloche

    25 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juin 2017
    Un huis clos sur l'adolescence, toujours aussi mordant malgré les années. De belles réflexions sur l'Amérique, la pression de groupe, les clichés et la difficulté à gérer la transition qu'est l'adolescence. À voir !
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