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Legion666
23 abonnés
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4,0
Publiée le 8 janvier 2021
Ça fait 30 ans que je ne l'avais pas vu au moins, et la première fois il ne m'avais pas marqué. Mais bon, les années ont passées, ce film est devenu culte et j'ai pris le risque de l'acheter en bluray. Après un démarrage poussif, je me suis pris d'affection pour les personnages. Ajouter a cela l'ambiance des 80's et voilà, la magie a opéré et j'ai vraiment beaucoup aimé. Même si ma préférence reste a Pump up the volume, Breakfast club est un teen movie que je regarderai a nouveau. Et cette fois je n'attendrai pas aussi longtemps!
La narration tenant sur une journée est séduisante, on a l'impression d'être présent avec ce petit groupe composé d'ado dans cette salle de retenue. La diversité des personnages fait qu'on arrivera forcément à s'identifier à au moins un personnage.
Des lycéens collés un samedi - l'athlète, l'intello, la princesse, la freak et le rebelle - se détestent puis apprennent à se connaître. Si le film a pu être perçu comme un "film de génération" dans les années 80, difficile aujourd'hui d'être convaincu par ces personnages proprets dont on essaye de nous persuader qu'ils vont au-delà des clichés...
J’ai bien aimé ce film car je me suis identifiée aux personnages mais l’histoire du film est trop déjà vue et je trouve ça dommage.Le casting du film est génial mais je trouve ça un peu cliché et c’est dommage.
Toujours un film sur le lycée de Howard Deutch, le point positif est la critique des différences sociales des élèves, en revanche le huis clos devient vite même très vite lassant.
Un de ces films initiatiques pour les jeunes des années 80/90 (voir aussi "Pump Up the Volume") Mais tellement juste et bien visé, avec des acteurs et une réalisation bien cool. Une simple référence qui s'apprécie beaucoup avec le cœur ...
Je crois que je suis vraiment passée à coté de ce film. Il a reçu des critiques en moyenne assez bonnes, mais je me suis ennuyée du début à la fin. J'ai trouvé les personnages caricaturaux, les dialogues un peu simplistes, et l'histoire très artificielle. Cela a fait que je n'ai jamais été intriguée de tout le film, et que je n'ai pas réussi une seule fois à m'identifier à un des personnages. Je m’excuse réellement auprès des amateurs de ce film, mais pour moi c'est un "no go".
film culte et pour cause il aborde de façon très précise l adolescence avec certes bcp de clichés mais qui song plutôt juste la fille model le populaire le cancre l intelo et la fille flippante le film montre les personnages évolués et changer de comportement et donne notamment une morale sur l acceptation de l autre la complicité entre les personnages et parfait surtout andrew qui a une complicité avec tout les personnages la fin est genial les personnages ont vrm évoluer a la fin du film se film n a pas vieilli et est genial c est pour sela que je le met la note maximum
"Breakfast club" est considéré comme l'étendard des films pour ados des années 80. Les 5 personnages présentes tous une personnalité différente (très caricaturale mais c'est voulu) dans le but de pouvoir s'identifier à chacun d'entre eux. Le réalisateur alterne habilement les situations comique et mélodramatique. Le grand problème du film, c'est qu'il est tellement ancré dans son époque qu'il ne fonctionne plus aujourd'hui. Je serais curieux de savoir sur combien de jeunes actuels le film à eu un impact. Il faut reconnaître qu'on a tellement été gavé depuis par des films ou séries traitant de la vie des ados (avec plus ou moins de qualité), que "Breakfast club" peut paraître ringard. Par contre le film gardera toujours un impact sur ceux qui ont connu et grandi à cette époque. A signaler l'excellente B.O. de "Simple Mind" qui elle n'a pas pris une ride.
Ce film est un classique. Même s'il a été produit en 1985, il est encore frais et pertinent pour la lecture de la culture des jeunes. Le réalisateur John Hughes a réalisé plusieurs autres films mais celui-ci est le plus remarquable. Réunissant 5 jeunes acteurs et actrices dans un genre d'ensemble qui était populaire à cette époque, Hughes a tenté de saisir la complexité d'un adolescent aux États-Unis, qui peut également être l'histoire d'un adolescent en Europe ou en Asie. Les sentiments d'aliénation, de réalisation de la conscience et le besoin d'appartenir à quelqu'un ou à un groupe sont universels. Enfin, la bande originale a une bonne chanson de Simple MInds - "Don't you Forget about Me" - ironiquement est l'une des raisons pour lesquelles ce film sera toujours inoubliable.
The Breakfast Club est un teen movie plutôt sympa. De là à en faire un film culte pour toute une génération (surtout de l'autre côté de l'Atlantique, il faut reconnaître), je n'irais pas jusque-là. Les personnages sont tout de même des archétypes des films d'adolescent : l'intello, l'excentrique, le voyou, la fille d'aristo et le sportif (stéréotypes que l'on retrouve systématiquement dans tous les teenage movies). C'est sans doute le point faible du film. Une fois ce problème passé, la comédie arrive à fonctionner même si je la rangerais presque plutôt dans le registre de la comédie dramatique. J'ai finalement assez peu ri (ça m'a fait sourire, tout au plus) et j'ai été beaucoup plus sensible aux scènes dramatiques où chaque personnage révèle ses fragilités et ses peurs ; qu'aux scènes comiques qui ont un peu vieilli spoiler: (à l'image de la scène où les 5 ados sont sous l'emprise de la drogue, genre de scène particulièrement éculée aujourd'hui) . Les jeunes acteurs jouent très correctement et l'alchimie entre les 5 personnages fonctionnent bien dans l'ensemble. On ne rit jamais aux éclats mais ça passe bien.
Je ne m’attendais pas, mais alors pas du tout à cela. J’avais entendu dire que Breakfast Club était le summum de la comédie de lycée américaine, mais ce film s’il reprend les stéréotypes que l’on retrouve dans ces films: le marginal, la pom pom girl, l’athlète, la grosse tête, la fille mal dans sa peau; ce film disais-je n’a rien d une comédie. C’est une étude de ces stéréotypes pour mieux les surpasser. Car chacun des personnages qui ne se rencontrent qu’au hasard d’un jour de colle va au fur et à mesure se fissurer et laisser apparaître qu’il ne correspond pas à l’image qu’il renvoie. Ce film montre une jeunesse angoissée, vivant sous la pression que leur imposent les adultes, leur groupe d’amis, et les autres en général qui les éloignent de ce qu’ils voudraient être au fond d’eux au risque de devenir rapidement des vieux c. s’ils renoncent trop rapidement à s’affirmer. C’est un film que reprend les codes d’un genre pour mieux les exploser, les dépasser et au final arriver à tout autre chose.
Ma note doit tout aux acteurs, en particulier Judd Nelson évidemment, aux dialogues et à l'écriture de la première partie, qui développe un huis clos de 45 minutes où jamais l'ennui ne s'infiltre. C'est quasi à considérer comme une référence en la matière et fait beaucoup penser à du théatre très vivant. Mais sur le global je ne suis décidément pas client de ce qu'a voulu faire Johnn Hugues avec ce film ainsi qu'avec Ferris Bueller day off, je pense que le public visé est définitivement trop adolescent, ou bien englué dans la nostalgie. En regardant ce film je me disais parfois en écoutant les personnages "oui c'est vrai mais... seulement pour le moment, ça ne durera pas". Autrement dit ça manque un peu de profondeur pour un adulte, mais on passe malgré tout un bon moment. A choisir, la folle journée de Ferris Bueller, plus délirante, moins raisonnable, me semble plus intéressante en tant qu'objet de cinéma.
La jeunesse américaine de 1984 par John Hughes. Quatre adolescents bien campés : le voyou, l'intello timide, le sportif, la bourgeoise coincée, la mythomane silencieuse. J'ai eu un faible pour la dernière. Au premier abord, on pourrait se dire : "ouais, ils sont punis, une journée entière de colle un samedi, on en a tous fait autant à quinze ans". Hughes, à travers ces quatre jeunes, dresse un portrait de cette jeunesse américaine du milieu des années 80. Une jeunesse ne sachant pas trop d'où elle vient (ils sont tous en conflit avec leurs parents), subissant l'influence de leurs copains, ne sachant pas trop où elle va mais, une chose est certaine, elle est déterminée à ne pas devenir comme leurs parents. Des adultes dépeints de manière pathétique : des parents absents, qui se fichent de leurs enfants ou au contraire trop exigeants, qui les battent. Un CPE magouilleur. Il n'y a que le concierge vers qui va notre sympathie. Ça donne des moments très drôles (le déjeuner de midi) d'autres beaucoup moins (les confessions sur leur bêtise). La question qui me tarabuste, c'est qu'est ce qu'ils ont pu devenir depuis. Ça laisse place à l'imagination. Bender s'est peut-être calmé spoiler: dans les bras de Claire . Claire s'est probablement dévergondée spoiler: sous l'influence de Bender . Brian est peut-être devenu un grand chercheur et Andy un athlète de haut niveau. Ou peut-être que c'est totalement différent.