Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Libération
par Philippe Azoury
Le film le plus féministe d'Odoutan. Celui où le cinéaste-acteur-producteur-musicien endosse sans sourciller le rôle du grand connard macho fier de son mangana. Cette souplesse est la preuve, encore une fois, de l'intelligence d'Odoutan, de sa capacité à tirer à la fois les fils du baroque, de la caricature et de la chronique de société, en se marrant plus fort que tout le monde. Ce mec tient à lui seul tout le cinéma béninois, et il a visiblement encore le moral.
Télérama
par Louis Guichard
Sans retrouver l'élan euphorique (et narratif) de Barbecue-Pejo ou de Djib, le cinéaste signe une comédie tonitruante, évoquant Mocky par sa facture désinvolte, et charriant des torrents de dialogues ubuesques. Mais, sous la dérision, une rage, un désespoir politiquement incorrects affleurent puisque l'ennemi du Noir est moins le Blanc que le Noir lui-même, comme conditionné pour faire son malheur...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Et peu importe si les films de Jean Odoutan sentent le rafistolé, le bric et le broc, l'inabouti et l'approximation, le tout c'est de les faire pour exister. Le Béninois poursuit son chemin plein d'" antilopes incommensurables " , d'apprentis loubards, de titis africains, de musiques épicées... Et d'une perpétuelle revendication : pourquoi n'y aurait-il pas de place pour les Blacks dans la société du spectacle ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Cinématographiquement parlant, c'est loin d'être un chef d'oeuvre, mais la réflexion sur la place de la femme africaine dans le Paris d'aujourd'hui tire vers le haut.
MCinéma.com
par Camille Brun
Dans ce qui a parfois les allures d'une " sitcom " black, un FRIENDS made in Barbès, on est charmé par la bonne humeur générale et les dialogues truculents qui renvoient Audiard au rang de penseur métaphysique. Avec Odoutan, un " mec à la bite débroussailleuse " peut envoyer une " négresse au cul dévastateur ", " belle qu'on dirait un travelo ", au " septième sky sans faille ". Et ça, ça vaut bien toutes les maladresses du monde !
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Ici, sans un minimum de légèreté et de grâce anarchique, il ne reste qu'un fatras de scènes sans idées, agencées entre elles sans le moindre effort ne serait-ce que de continuité narrative.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
On ne retrouve que par éclairs ce qui fait la rage de filmer et l'amour de la déclamation bien tournée d'Odoutan. Il lui faudra maintenant trouver les moyens de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
Le film le plus féministe d'Odoutan. Celui où le cinéaste-acteur-producteur-musicien endosse sans sourciller le rôle du grand connard macho fier de son mangana. Cette souplesse est la preuve, encore une fois, de l'intelligence d'Odoutan, de sa capacité à tirer à la fois les fils du baroque, de la caricature et de la chronique de société, en se marrant plus fort que tout le monde. Ce mec tient à lui seul tout le cinéma béninois, et il a visiblement encore le moral.
Télérama
Sans retrouver l'élan euphorique (et narratif) de Barbecue-Pejo ou de Djib, le cinéaste signe une comédie tonitruante, évoquant Mocky par sa facture désinvolte, et charriant des torrents de dialogues ubuesques. Mais, sous la dérision, une rage, un désespoir politiquement incorrects affleurent puisque l'ennemi du Noir est moins le Blanc que le Noir lui-même, comme conditionné pour faire son malheur...
Aden
Et peu importe si les films de Jean Odoutan sentent le rafistolé, le bric et le broc, l'inabouti et l'approximation, le tout c'est de les faire pour exister. Le Béninois poursuit son chemin plein d'" antilopes incommensurables " , d'apprentis loubards, de titis africains, de musiques épicées... Et d'une perpétuelle revendication : pourquoi n'y aurait-il pas de place pour les Blacks dans la société du spectacle ?
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Cinématographiquement parlant, c'est loin d'être un chef d'oeuvre, mais la réflexion sur la place de la femme africaine dans le Paris d'aujourd'hui tire vers le haut.
MCinéma.com
Dans ce qui a parfois les allures d'une " sitcom " black, un FRIENDS made in Barbès, on est charmé par la bonne humeur générale et les dialogues truculents qui renvoient Audiard au rang de penseur métaphysique. Avec Odoutan, un " mec à la bite débroussailleuse " peut envoyer une " négresse au cul dévastateur ", " belle qu'on dirait un travelo ", au " septième sky sans faille ". Et ça, ça vaut bien toutes les maladresses du monde !
Chronic'art.com
Ici, sans un minimum de légèreté et de grâce anarchique, il ne reste qu'un fatras de scènes sans idées, agencées entre elles sans le moindre effort ne serait-ce que de continuité narrative.
Le Monde
On ne retrouve que par éclairs ce qui fait la rage de filmer et l'amour de la déclamation bien tournée d'Odoutan. Il lui faudra maintenant trouver les moyens de son cinéma.