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Synopsis
Akwélé, une Africaine de 28 ans, aime son surnom d'antilope incommensurable. Son rêve est de devenir "mannequin topless". En attendant, elle tient un salon de coiffure à Barbès et économise en vue de prendre des cours de déhanchements voluptueux et de solfège.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Jean Odoutan exprime sa satisfaction d'avoir réalisé un film avec une équipe unie autour d'un projet bénéficiant de peu de moyens : "j'ai fait le film que je pouvais faire, avec les moyens dont je disposais, et avec des gens passionnés qui étaient prêts à se lancer dans cette aventure humaine sans le sou. Pour le moment c'est presque une torture que de bosser avec Odoutan. Mais les choses vont littéralement changer dans un avenir très proche."
Un réalisateur aux multiples projets
Le réalisateur de La Valse des gros derrières, Jean Odoutan, a plein de projets : il finit son premier documentaire sérieux Réfugiés Ogonis à Ouidah, qui retrace la vie de 5000 réfugiés nigérians de la communauté des Ogonis. Il va également s'atteler à un autre documentaire, Abikou, qui permettra aux non-initiés de cerner un pan du vaudou à Ouidahan Jean Odoutan travaille également sur son album de reggae saï-saï : Reviens au bercail, ma caille :
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La promotion du cinéma en Afrique
Grâce aux droits d'auteur obtenus avec Barbecue-Pejo et Djib, Jean Odoutan a contribué à la promotion du cinéma dans son pays. Il a ainsi créé Quintessence, le Festival International du Film de Ouidah, qui est, selon lui, " une modeste manifestation culturelle destinée aux analphabètes du 24 images/seconde du Bénin et de la sous-région subsaharienne. Il a également réalisés quelques-uns de ses rêves d'enfant : il a construit une salle de cinéma e
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