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    Signes
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    14caen
    14caen

    40 abonnés 1 087 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 mai 2008
    M. Night Shyamalan est carrement à côté de la plaque avec son "Signes". On n'y croit pas une seconde. En plus, c'est trés trés trés ennuyeux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 avril 2012
    Je me rappel encore la première fois que je l'ai vu ce film ! Avec un pote en pleine nuit... Très marquant ! Ce film est vraiment prenant ! Mel Gibson est très bon ! Bref un bon film !
    Karim A.
    Karim A.

    40 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2016
    Night Shyamalan, tu aimes nous hypnotiser l'esprit pour si bien qu'on arrive jamais à voir la vérité du film.
    spoiler: Mais là, tes histoires de verre d'eau tes aliens qui crèvent au contact de l'eau, ça fait déborder le vase, j'y crois pas, et pas grand monde n y a cru. Dommage, tu avais Gibson et Phoenix dans le film, de quoi faire autre chose.
    NammJones
    NammJones

    99 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2007
    Encore un film prenant de Shyamalan !
    Et pourtant c'est une histoire pas très compliqué. Il arrive quand meme a en faire un film interessant et intriguant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 septembre 2007
    Encore un Bon Film!!!Les Acteurs, Mel Gibson et Joaquin Phoenix, aussi dans la Village, sont Excellents!!!Ensuite l'Histoire, Surprenante!!!La Musique, Mystérieuse!!!Mais pas le Meilleur Shyamalan!!!
    Lord-Djiss
    Lord-Djiss

    19 abonnés 983 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2010
    Un très bon film à voir et à revoir. Mel Gibson et Joaquin Phoenix jouent à merveille.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 mai 2007
    Honnêtement on reste sans voix devant ce géantissime navet! une catastrophe, une honte pour le cinéma... Je suis restée dix minutes assise sur mon siège dans cette grande salle de cinéma désertée en me demandant si le but était de faire pleurer ou était ce une grande satire de la SF ?!! rien absolument rien de positif dans ce film le jeu des acteurs est étrangement nul la mise en scène brouillon, aucune émotion, aucun suspense, on rigole du début à la fin devant le ridicule de certaines scènes vaudevillesques, à éviter ou à voir pour connaître le pire du cinéma
    ned123
    ned123

    129 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2022
    J'ai vu un film... une sorte de parcours de reconstruction d'un prêtre qui ne croit plus suite à un drame familial, qui doit faire face à... au début, on ne sait pas, et à la fin, on ne comprend pas tout... Le film, malgré quelques lourdeurs ou effets de style qui font un peu datés, propose un spectacle de suspens et d'angoisse... La structure narrative, la finesse du scénario, les coïncidences éclairantes, pour un bouquet final grandiose donnent une dimension métaphysique à ce film. Night Shyamalan est un virtuose de la narration. On se rappelle de Incassable et de Sixième Sens, de très grands films... Ici, nous ne sommes pas sur le même plan mais on savoure tout de même. Et ce qui transparaît et qui contribue à renforcer l'horreur, c'est l'absence d'effets spéciaux de folie... Tout est nature, et la peur est plus forte. Très bien la BO.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 039 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2020
    Signes a un drôle d'effet sur moi, dans le sens où je n'arrive pas à déceler sa véritable nature. Sommes-nous en présence d'un film idiot écrit et réalisé par un petit espoir prétentieux trop ambitieux pour ce qu'il avait à proposer dans la durée d'une carrière, où s'agit-il d'une satire intelligente et discrète portée sur une Amérique profonde et pudibonde nourrie à la malbouffe et shootée aux émissions de télévision variées?

    Il est dur de trouver la limite entre ces deux extrêmes. L'hypothèse de la satire, si l'on doit séparer le traitement en deux, tient du contexte social, professionnel, environnemental et culturel des personnages : nos deux héros, Gibson prêtre et Phoenix ancien joueur de baseball trop virulent, représentent une Amérique rurale perdue dans ses champs qui vit tellement repliée dans sa carapace qu'elle rejette tout contact extérieur, particulièrement en ville (Gibson avec la pharmacienne, Phoenix avec un ancien collège de baseball).

    La rencontre avec le militaire en dit long : aussi halluciné que le professeur de lettres de The Faculty quand il sera passé du côté des aliens, cet officier si décoré qu'on le croirait issu d'un manuel de propagande de l'armée tient un discours autrement plus hallucinant qu'il profère tous les clichés possibles lorsqu'on se représente l'Amérique fière et victorieuse, étendard des opportunités d'avenir et dernière défense de la veuve et de l'orphelin.

    Son regard perdu, surjoué, très intense puisque ses yeux ne font que s’écarquiller place le spectateur dans une posture étrange, située entre le rire moqueur et l'embarras de son mauvais jeu d'acteur : serait-ce volontaire de la part de Shyamalan, lui qui fut si longtemps si sérieux dans ses deux premiers films à performance (de réalisation, d'écriture et d'acting), qu'il se serve de l'excès, du trop plein pour dénoncer une culture basée sur l'apparence, la manipulation, l'embrigadement?

    Serait-il ainsi possible que les chapeaux en aluminium, pour le fou rire irrépressible qu'ils provoquent, s'érigent à l'écran en guise de dénonciation d'une Amérique qui croit tout ce qu'elle entend, voit (du moins croit voir), au point de faire référence à La Guerre des mondes, oeuvre à l'origine d'une manipulation générale connue de tout un chacun? Serait-il même possible que le statut de ce prêtre dégoûté de Dieu en veuille directement au manque de communication de cette Amérique du peuple pour laquelle il faut soigner les apparences, et ne surtout pas parler de ce qui ne va pas avec ses proches?

    Ce rêve d'une famille modèle échoue cependant dès les cinq premières minutes de leur introduction : présentés comme des attardés, des hommes seuls à l'attitude peu constructive, les deux protagonistes semblent même guidés dans la vie par le comportement responsable (mais perché) de leurs enfants : découverte des signes par le fils, qui découvrira ensuite le langage alien à l'aide d'un baby-phone (c'est une astuce), théories au sujet des aliens proposées, une nouvelle fois, par le fils, et initiation à la télévision, dont le traitement ridicule dans l'intrigue prête plus à rire qu'à réfléchir.

    C'est donc dans la forme que Shyamalan pêche; pas niveau esthétique, c'est globalement irréprochable : ses plans, tous très bien choisis, témoignent de la personnalité unique de ses cadrages, très proches des acteurs en laissant une place importante aux décors ainsi qu'à leur signification symbolique. La photographie y ajoute une âme des années 90, donnant à l'oeuvre cette personnalité un peu vieillotte pleine de charme et de sympathie.

    Non, le problème vient de la représentation de ses idées par son écriture bordélique : là où la satire semblait totale, la propension de Shyamalan à toujours trop en dire pour mettre en avant ses qualités réflexives et philosophiques placent l'oeuvre dans une branlette intellectuelle stérile (comme les termes l'indiquent, c'est souvent la finalité de la démarche) dont ne ressort en conclusion qu'une vision étriquée et ridicule des conséquences du deuil et de la recherche d'un but perpétuelle à la vie de l'homme, que "l'auteur" résume bêtement en deux catégories de gens (c'est si simpliste qu'on croirait la citation parodique), non pas ceux qui creusent et vous savez qui, mais bien ceux qui croient au miracle et les autres aux coïncidences.

    L'on aurait pu le considérer comme entièrement parodique et fin s'il n'avait pas tenté d'ajouter à sa prétendue critique sociale et culturelle un versant insupportable de réflexion métaphysique mal menée, à peine organisée, qui ne fait qu'effleurer à la surface de la surface la large et passionnante thématique d'un religieux qui rencontre une présence de vie extérieure à la Terre : le simple fait de l'avoir placé en phase de doute plutôt qu'au sommet de sa foi fait office de façon de simplifier le chemin narratif et réflexif d'un film qui n'avait finalement rien d'autre à proposer à son spectateur qu'un traitement comique du mythe de l'alien, saupoudré d'une introduction majestueuse, presque christique, de l'égocentrique Shyamalan, obligé de jouer dans son film et d'y trouver un rôle principal (qu'il tentera de justifier comme il le peut).

    Croire que Signes s'interroge sur l'humanité, la religion, la présence d'une vie au delà de notre planète, c'est jouer le jeu de Shyamalan, entrer dans ses pistes brouillées, qui enjolivent souvent le fond de ses films par des propositions de thématiques profondes mais jamais approfondies : le véritable sujet de son long-métrage concerne en fait la famille, la place d'un père dont la femme, décédée, a été remplacée à la maison par un frère un peu marginal, asocial (rien de bien illogique à cela, il est interprété par Joaquin Phoenix) mais gentil dans le fond.

    Il s'agit d'une quête de rédemption basée sur une invasion alien à petite échelle censée propulser la destinée des personnages vers la meilleure fin possible, quitte à bâcler le dernier acte en dévoilant un alien mal filmé, aux CGI minables, à l'éclairage minimal pour cacher la mauvaise finition des textures, le tout afin de renvoyer à ce que disait Phoenix un peu avant : il est impossible que le personnage de Gibson ne croit en rien, qu'il ne redevienne pas religieux. Cette rencontre ne pouvant être qu'un signe, Shyamalan enferme son personnage principal, que Gibson interprète en deux phases, soit inintéressé soit en surjeu complet, dans le stéréotype attendu du religieux fier de son parcours, et qui a enfin trouvé la rédemption tant recherchée.

    La bêtise finale du raisonnement du réalisateur inscrit, après mure réflexion, son film dans les deux cases : Signes est à la fois une critique acerbe et cynique d'une Amérique profonde perdue et marginale, dans laquelle clichés et jugements règnent, ainsi qu'un bon gros nanar hilarant à la stupidité qui tâche (les deux frères, devenus pères par la force des choses, gâchent des repas puis se forcent à se serrer dans les bras, larmes à l'oeil, oublient l'inhalateur pour l'asthme du gosse, préfèrent se crêper le chignon que s'occuper de leurs deux enfants), au jeu d'acteur parfois excessif et au ton beaucoup trop sérieux pour ne pas se dire, au bout d'un moment, que Shyamalan pensait une nouvelle fois réinventer la soupe après les succès consécutifs de Sixième Sens et Incassable.

    Il est dommage que son talent n'ait finalement tenu que sur deux ou trois films, et pas de la façon escomptée, sur sa carrière entière.
    Jonathan M
    Jonathan M

    115 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2021
    Dans la science-fiction, comme tout autre genre, le suggéré est beaucoup plus fort que le montré. Notion évidente qu'il faut remettre au goût du jour. On en voit peu, mais on a peur. En çà, Signes est une oeuvre aboutie. Visuellement également, la haute définition apporte une lumière étincelante dans les champs de maïs. C'est un film inventif, qui joue sur le mythe des agroglyphes combiné avec la venue des extra-terrestres. Il fallait y penser, et ça donne un scénario crédible. Sans révolutionner le genre, M. Night Shyamalan garde néanmoins un esprit enfantin dans la façon d'écrire son scénario. Il prouve ici qu'il un très bon raconteur d'histoire et que Mel Gibson nous manque un peu quand même.
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    49 abonnés 1 438 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2018
    Autant le dire tout de suite : si vous cherchez de la SF grand spectacle à renforts d'effets spéciaux et de vaisseaux spatiaux, vous pouvez dors et déjà passer votre chemin. Ici tout est lent, suggéré mais si bien dosé que ça en devient l'attrait principal du film. Tout prend son sens à la fin du film, comme sait si bien le faire shyamalan. Il faudra supporter le rythme, le côté très rural de l'intrigue, et le fait de ne quasiment pas voir les visiteurs pour apprécier pleinement ce bon long métrage aux plans et à la construction novateurs.
    Julien D
    Julien D

    1 118 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 septembre 2012
    Le tout premier film fantastique post-11 septembre (le tournage ayant même du commencer le jour de l’attaque et donc remanié du fait d’un report) donne une image très nette de l’idéologie américaine de cette période historique. L’histoire commence en effet dans un cadre où les valeurs familiales et religieuses sont dissoutes avant de devoir, face à une menace venu de l’extérieur, se recréé tout en s’isolant pour devenir plus forte. C’est difficile de dire si M. Night Shyamalan a réalisé une allégorie de la politique en place ou bien s’il s’agit d’une véritable propagande pro-républicaine. Quoiqu’il en soit, le casting brillant (dont Mel Gibson en véritable symbole de cette Amérique endeuillée) et la mise en scène bien codifié pleine de symboles font de ce matraquage de traditionalisme conservateur une approche intéressante de l’invasion extraterrestre dans l’esprit des classiques du genre (ceux où les martiens ne symbolisaient des talibans mais des communistes…).
    Benito G
    Benito G

    598 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2023
    Le nouveau puzzle de Shyamalan est arrivé... et on est encore un peu déçu. Déçu car le réalisateur à trop voulu, sans grand intéret, élargir sa scène principale au monde. 1ère inutilité. Déçu car il a préféré oublié le mystère au profit, par ailleurs excellent, du « que va-t-il se passer ? » et nous ramener à une honnète série B très Guerre des mondes. On aurait aimé se poser la question plus longtemps, même si le sujet du film n’était pas là. Et puis, on ne peut nier que le film est truffé de scènes lourdes –au milieu d’autres magnifiquement poignantes-, étirée et inutiles. La fin par contre est superbe, clautrophobique et orienté uniquement sur la ferme, comme on aurait aimé tout le film ; explicite, concise mais jamais survolée. Le puzzle se remet divinement en place avec les morceaux eparpillés tout au long du film ; un film sur Dieu. Le réalisateur a signé son film de sa griffe unique : la construction de la conclusion, la peur basée sur les hors-champs, les longs silences, les bruits étranges, la nuit, le vent et une foule de détails anodins mais qui ramènent à des peurs enfouies de l’enfance. La réalisation est implacable quoique parfois un peu rigide. Après libre à vous, la fin venue, de vous inclure dans le 1er ou le 2ème groupe... Mais dans tout les cas cela reste Shyamalan et ne pourra plaire a tout le monde. Dans la grande majorité de ses productions, on retrouve ; sans quelle soit parfaite (sauf peut être exception mais faut que je me souvienne) ; toujours bons éléments et d'autres malheureusement un peu moins. Un réalisateur qui a tout de même un certains talent.
    Nyns
    Nyns

    191 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 avril 2017
    Utiliser un fait divers inexpliqué (quoique facilement explicable), pour en étayer une intrigue de fiction SF est une très bonne idée, on peut compter sur le savoir faire du maître de l’angoisse Shyamalan qui y dressa son troisième succès ciné en 2000. Ce film est risible en tous points malheureusement. Soit on joue le jeu et décide de se laisser berner et bercer par la situation angoissante dans laquelle se retrouve cette famille rurale. Soit on laisse le bon sens prendre le dessus à se demander ce que l’on fait en compagnie du réalisateur de sixième sens nous débiter toutes ces inepties… Au vu de la note, vous comprendrez dans quelle catégorie j'ai chaviré. Mel Gibson en mono expression se voit revêtu du costume du bon citoyen américain, ancien prêtre ayant perdu la foi suite à la mort accidentelle de son épouse, le vrai gentil. Déjà à partir de là ça ne va pas, les personnages sans défauts à qui on espère qu'il va vraiment rien arriver car ils ne méritent tellement pas… juste marre. Allé j'arrête avec Melou car le principal problème vient des extraterrestres. À quoi bon laisser planer le mystère tout ce temps pour en faire de bonnes vieilles caricatures du méchant alien ? Bon et puis le coup de l'eau… sans commentaires. Finalement le seul bon point reste le suspens du début, l’ambiance est bien tendue comme on peut l’imaginer, tout ce qui en découle n'est pas à retenir.
    NeoLain
    NeoLain

    4 335 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Si M. Night Shyamalan fait l’unanimité quelque part, c’est bien dans le fait que personne n’est d’accord à son sujet. Génie de la mise en scène, le cinéaste a fait couler beaucoup d’encre et fait toujours noircir des pages et des écrans à chaque nouveau film. Si on se résume, surtout deux éléments ont déçu bon nombre de spectateurs amateurs du « petit maître ». En premier lieu, le contexte du récit. Un révérend bouleversé par la mort accidentelle de sa femme a aussitôt perdu la foi. Depuis, secondé par son petit frère, il mène sa barque tant bien que mal sur un océan de souffrances. Beaucoup de spectateurs sont réfractaires à toute allusion religieuse au cinéma. Mel Gibson en saura quelque chose en tournant La Passion du Christ. Bref, la crise de foi s’est changée en crise de foie pour certains. Et il faut bien avouer que certains passages sont assez durs à digérer tellement ils sont lourds. L’autre « défaut », plus embêtant pour tout le monde celui-là, c’est le choix assez gonflé du cinéaste d’expédier sa chute alors qu’il reste encore une heure de film. Ici pas de twist final qui vous laisse comme deux ronds de flanc. Trois petits quarts d’heure sont à peine écoulés et la parano galopante devient réalité. Ce qui explique que pas mal de monde décroche à partir de ce moment là. Et pourtant… C’est là que le film se débride enfin, paradoxalement par le biais de longs plans-séquences d’une grande intensité. Au final, Signes s’impose comme un film majeur du cinéaste. On peut toutefois regretter certaines choses. Par exemple que le mystère des « crop circles » serve juste de prétexte au récit. Le souci, si l’on peut dire, c’est que Shyamalan fait avant tout des films de genre. Maîtrisés de bout en bout, mais ça reste des films de genre. On est alors forcément déçu qu’il n’essaye pas de creuser un peu plus ou bien dans une meilleure direction. En tout cas, malgré ces défauts, le film est franchement agréable, ne serait-ce que pour la leçon de mise en scène...
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