Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Canard Enchaîné
par David Fontaine
Tourné en Roumanie avec une poignée d'acteurs fidèles, cet éloge du pétage de plombs renoue avec une certaine verve libertaire des années 70. Un ovni filmique hurluberlu au milieu de la pluie estivale de météorites américaines (grosses machines et autres horreurs calibrées).
Le Figaro Magazine
par C. G.
Une intrigue fait feu de tout bois et les acteurs, drôles et sincères, provoquent à la fois éclats de rire et frissons. Une comédie percutante.
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
La mise en scène, perforée d'images venues d'ailleurs (...) et de brusques accès de violence, ajoute au climat d'abrutissement généralisé sa touche maniériste, tandis qu'une soudaine et puissante chorégraphie façon Jeanne Mas, exécutée par l'héroïne accompagnée par deux jumeaux lobotomisés en chemise à carreaux au beau milieu de la cuisine, enivre l'imaginaire par sa grâce incendiaire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) que peut-on dire de ce film ? Qu'il met en scène quatre flics ripoux encerclés par leurs collègues du RAID dans un hôpital psychiatrique. Qu'il ambitionne visiblement de mélanger les genres et les tons dans une sorte de fable frénétique sur l'inanité et la folie de la condition humaine. Qu'il y parvient, au final, bien au-delà de ses ambitions, pour le dire poliment et tout à son avantage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
Si au moins on riait, mais non : cette chose est risible plus que drôle. Gérard Cuq torche une série B, Z (appelez-la comme vous voulez) hystérique, prétentieuse, navrante.
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Plus bête que délirant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
Dans ses constantes embardées, le film cogne ici Zulawski (voire Chéreau), là Dupontel (voire Mocky), et réinvente la série Z sous nos regards hébétés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
En découle un désordre qui erre entre film d'action, thriller et comédie, trop confus et violent pour être convaincant.
Le Canard Enchaîné
Tourné en Roumanie avec une poignée d'acteurs fidèles, cet éloge du pétage de plombs renoue avec une certaine verve libertaire des années 70. Un ovni filmique hurluberlu au milieu de la pluie estivale de météorites américaines (grosses machines et autres horreurs calibrées).
Le Figaro Magazine
Une intrigue fait feu de tout bois et les acteurs, drôles et sincères, provoquent à la fois éclats de rire et frissons. Une comédie percutante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Chronic'art.com
La mise en scène, perforée d'images venues d'ailleurs (...) et de brusques accès de violence, ajoute au climat d'abrutissement généralisé sa touche maniériste, tandis qu'une soudaine et puissante chorégraphie façon Jeanne Mas, exécutée par l'héroïne accompagnée par deux jumeaux lobotomisés en chemise à carreaux au beau milieu de la cuisine, enivre l'imaginaire par sa grâce incendiaire.
Le Monde
(...) que peut-on dire de ce film ? Qu'il met en scène quatre flics ripoux encerclés par leurs collègues du RAID dans un hôpital psychiatrique. Qu'il ambitionne visiblement de mélanger les genres et les tons dans une sorte de fable frénétique sur l'inanité et la folie de la condition humaine. Qu'il y parvient, au final, bien au-delà de ses ambitions, pour le dire poliment et tout à son avantage.
MCinéma.com
Si au moins on riait, mais non : cette chose est risible plus que drôle. Gérard Cuq torche une série B, Z (appelez-la comme vous voulez) hystérique, prétentieuse, navrante.
TéléCinéObs
Plus bête que délirant.
Télérama
Dans ses constantes embardées, le film cogne ici Zulawski (voire Chéreau), là Dupontel (voire Mocky), et réinvente la série Z sous nos regards hébétés.
Zurban
En découle un désordre qui erre entre film d'action, thriller et comédie, trop confus et violent pour être convaincant.