Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
Le chanteur Pagny et la danseuse Pietragalla, duo insolite, arrive pourtant à faire oublier son " étiquette " showbiz. Le premier est touchant en mari dévoué et infirmier, davantage d'ailleurs que la seconde, trop cérébrale. Aux petits soins pour ces deux fortes personnalités et personnages aux forts tempéraments, un réalisateur qui en a tout autant, Jacques Cortal.
Obejctif-Cinema.com
par Nicolas Villodre
Malgré quelques maladresses inhérentes au genre mélodramatique (...), le cinéaste parvient à produire un film attachant, poétique, singulier.
Obejctif-Cinema.com
par Nicolas Vilodre
Malgré quelques maladresses inhérentes au genre mélodramatique (pour être lyrique, la danse n'a besoin ni du ralenti ni de la pompe musicale (...)), le cinéaste parvient à produire un film attachant, poétique, singulier.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Corine Renou-Nativel
Pour son premier film au cinéma, Jacques Cortal a choisi un thème difficile, voire scabreux. Il ne nous épargne ni les crises de désespoir, ni les échappatoires sexuelles sordides de Raphaël, ni les enregistrements vidéo que Margot laisse à sa fille "pour après". Mais la grâce de Marie-Claude Pietragalla et la sincérité indéniable du réalisateur font mouche.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Plus que des maladresses du réalisateur, qui sont le signe d'une évidente pudeur (voir le personnage de François Cluzet, le plus beau et le plus en retrait du film), c'est évidemment au jeu de Florent Pagny que le film doit de sombrer pour de bon.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Parisien
par Sébastien Catroux
Cette pseudo-réflexion sur la maladie et le couple est surtout un prétexte pour exposer la danseuse sous toutes les coutures, profitant de sa somptueuse photogénie. Mieux vaut avoir le moral au beau fixe pour apprécier.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Gilles Renault
Car Jacques Cortal, au four et au moulin (scénario, dialogues, réalisation), n'y va pas par quatre chemins pour charger la barque du pathos à un point difficilement imaginable. (...) Quant à Florent Pagny, qui revient au cinéma après dix ans d'absence, il rappelle qu'il sait être un comédien fiable. Y compris dans un pareil traquenard.
Première
par Nicolas Schaller
Un film qui balance entre l'austère froideur descriptive et la surchauffe du mélo cracra le plus indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Première
MCinéma.com
Le chanteur Pagny et la danseuse Pietragalla, duo insolite, arrive pourtant à faire oublier son " étiquette " showbiz. Le premier est touchant en mari dévoué et infirmier, davantage d'ailleurs que la seconde, trop cérébrale. Aux petits soins pour ces deux fortes personnalités et personnages aux forts tempéraments, un réalisateur qui en a tout autant, Jacques Cortal.
Obejctif-Cinema.com
Malgré quelques maladresses inhérentes au genre mélodramatique (...), le cinéaste parvient à produire un film attachant, poétique, singulier.
Obejctif-Cinema.com
Malgré quelques maladresses inhérentes au genre mélodramatique (pour être lyrique, la danse n'a besoin ni du ralenti ni de la pompe musicale (...)), le cinéaste parvient à produire un film attachant, poétique, singulier.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Pour son premier film au cinéma, Jacques Cortal a choisi un thème difficile, voire scabreux. Il ne nous épargne ni les crises de désespoir, ni les échappatoires sexuelles sordides de Raphaël, ni les enregistrements vidéo que Margot laisse à sa fille "pour après". Mais la grâce de Marie-Claude Pietragalla et la sincérité indéniable du réalisateur font mouche.
Chronic'art.com
Plus que des maladresses du réalisateur, qui sont le signe d'une évidente pudeur (voir le personnage de François Cluzet, le plus beau et le plus en retrait du film), c'est évidemment au jeu de Florent Pagny que le film doit de sombrer pour de bon.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
Cette pseudo-réflexion sur la maladie et le couple est surtout un prétexte pour exposer la danseuse sous toutes les coutures, profitant de sa somptueuse photogénie. Mieux vaut avoir le moral au beau fixe pour apprécier.
Libération
Car Jacques Cortal, au four et au moulin (scénario, dialogues, réalisation), n'y va pas par quatre chemins pour charger la barque du pathos à un point difficilement imaginable. (...) Quant à Florent Pagny, qui revient au cinéma après dix ans d'absence, il rappelle qu'il sait être un comédien fiable. Y compris dans un pareil traquenard.
Première
Un film qui balance entre l'austère froideur descriptive et la surchauffe du mélo cracra le plus indigeste.