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Caine78
6 853 abonnés
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3,0
Publiée le 27 juin 2013
C'est vrai qu'il ne paie pas de mines cet « Ange gardien pour Tess », n'ayant manifestement rien d'autre à offrir qu'un honnête divertissement. Cela dit, lorsque les choses sont claires dès le départ et le résultat fait avec professionnalisme, où est le problème ? Car s'il ne faut donc surtout pas attendre à monts et merveilles du film d'Hugh Wilson, celui-ci n'en est pas moins toujours agréable, souvent vif et même parfois assez drôle. Il faut dire que le duo Nicolas Cage - Shirley MacLaine s'avère remarquablement équilibrée, chacun dans un registre qu'il maîtrise parfaitement. De plus, sous l'aspect comédie familiale bien-pensante inévitable dans ce genre de productions, nous pouvons apercevoir quelque chose d'assez délicat, sensible, l'œuvre ne se permettant jamais un quelconque jugement. Ajoutons à cela une galerie de seconds rôles sympathiques et rapidement familiers, et vous obtiendrez une œuvre aussi mineure que plaisante, s'oubliant vite mais laissant paradoxalement un bon souvenir.
Nicolas Cage dans la peau d'un agent secret qui en à sa claque de protéger la femme du précédent président des Etats-Unis et qui petit à petit va changer son point de vu sur cette femme d'exception, prestation de l'excellente actrice Shirley MacLaine, film avec un humour mordant agrémenter d'une légère intrigue.
En 1994, le monde du 7e Art est bouleversé, retourné, par l'arrivée sur les écrans d'une comédie hors du commun réalisée par l'auteur de Police Academy et Pie Voleuse. Un film tellement original qu'il possède un duo d'acteurs de dingue (Nicolas Cage et Shirley MacLaine) pour mettre en scène un agent de la sécurité obligé de protéger la femme de l'ex-Président des États-Unis, capricieuse et tyrannique mais incapable de se passer de cette élite de la protection rapprochée. Un ange gardien pour Tess a bouleversé l'Amérique avec ses séquences cocasses et son fond touchant, frôlant par la même occasion les Oscars... Plus sérieusement, le film de Hugh Wilson fait partie de ces petites comédies sorties dans les années 90 mises en boîte rapidement avec un budget confortable pour mettre en scène un pitch simple comme bonjour alourdi pour sortir en salles. Alourdi par des situations répétitives, de petites longueurs, des baisses de rythmes malvenues et des échanges de répliques ennuyeuses. Téléfilm à gros budget ne valant le coup que pour la présence des deux stars qui siègent au sommet du long-métrage, à savoir le passe-partout Nicolas Cage (dans sa période je signe dans des comédies en attendant le film à Oscar) et la pimpante Shirley MacLaine, elle aussi habituée aux comédies aussitôt vues aussitôt oubliées, Un ange gardien pour Tess aurait pu être bien plus déluré entre d'autres mains. Nous suivons donc de façon pépère la relation conflictuelle entre cet agent intraitable et cette fausse-pimbêche capricieuse jusqu'à un retournement de situation quasi-final, prévisible et exagéré mais bien mené. Le duo d'acteurs est heureusement convaincant (Shirley MacLaine a même été nominée aux Golden Globes pour sa prestation) mais le tout manque de punch, de folie, le film étant plus réussi dans ses moments dits 'dramatiques' que dans sa légèreté humoristique. On aurait donc limite préféré un film plus sombre, les rires étant dans les deux cas aux abonnés absents. En somme, une comédie pas franchement drôle mais pas désagréable non plus, que l'on ne peut regarder qu'un dimanche après-midi pluvieux.
Avis personnel. Bah... Si ce n'est pas un chef-d'œuvre, c'est un film très agréable qui fait un très bon divertissement selon moi. C'est chouette de temps en temps de se trouver face à une histoire sans vulgarité, avec des personnages (presque tous) sympas et qui se suit sans se poser mille questions. Nicolas Cage, personnellement, c'est dans ce genre de registre de comédie que je le préfère. Je trouve qu'il y est parfaitement à l'aise. Shirley, comme toujours, c'est le top. Elle est toujours géniale quand elle joue les chipies et elle réussit cela aussi bien à 60 ans qu'à 30. Les autres protagonistes nous sont rapidement familiers, ce qui participe au plaisir de suivre l'aventure. Un petit regret? Je trouve qu'on aurait pu exploiter un peu plus le personnage tout à fait particulier de Kimberly (Susan Blommaert) en secrétaire bourrée de complexes qui adore sa patronne (Shirley) tout en étant littéralement paralysée chaque fois qu'elle se trouve devant elle. S'il vous arrive aussi d'apprécier une réalisation relax au service d'une histoire simple faite plus d'une succession de scènes que d'un gros scénario travaillé, n'hésitez pas.
A vrai dire, je ne m’attendais pas vraiment à ce genre de film. Bon, d’accord, je ne m’attendais pas vraiment à quelque chose de bien précis non plus. Mais j’ai rapidement compris que nous avions droit à une dualité Nicolas Cage / Shirley McLaine. La première partie est plaisante, l’entrée en matière se faisant assez rapidement. On assiste à une guerre latente entre les deux personnages principaux, opposant une soudaine et stricte obéissance au règlement d’un côté, aux caprices d’une vieille dame nantie qui se sait condamnée de l’autre. Evidemment, ça défrise un peu et on sent une certaine tension monter peu à peu. Puis arrive la seconde partie, amorcée par le tournant du film, et c’est à partir de là que les choses dérapent. On perd tout à coup le fil humoristique, pour prendre plus ou moins une direction dramatique. C’est vraiment dommage, d’autant plus qu’on ne sait pas vraiment pourquoi il y a ce retournement de situation, pourquoi les deux personnages se prennent d’affection autant après s’être pour ainsi dire détestés mutuellement. Bien sûr, il y a eu une discussion d’ordre privé, mais au fond, concrètement, qu’est-ce qui a amené ce changement ? Le fait que M. Nicolas Cage ait réussi enfin à se faire plus ou moins respecter par une intrépide Mme Shirley McLaine ? Le fait est qu’à partir de cette deuxième partie, le film perd de son essence et tombe complètement à plat. Je suis simplement déçu, déçu de Nicolas Cage qui n’est pas toujours dans le bon tempo, spoiler: notamment le moment où il pète les plombs à l’hôpital, mais pas étonné de la prestation de Shirley McLaine qui nous avait offert une copie conforme en chipie capricieuse aux côtés de Clint Eastwood dans "Sierra Torride". Ne pas voir "Un ange gardien pour Tess" n’est pas une grande perte, maintenant… à vous de voir.
ça aurait du etre un téléfilm que m6 adore passait les soirs de vacances scolaire , ça démontre ce que endure les services de garde rapprochés les gardes du corps , les agents secrets au prés de pétasse gatée pourrie parce que leur mari ont été prédisent une grosse claque dans sa gueule à cette pute .pour qui ils se prennent ces personnes de la politique et leur entourage je leur chie à la gueule ce ne sont que des être humains
Une fable charmante,bien qu'un peu limitée sur l'amitié naissante entre un agent secret et la veuve de l'ex-président américain.L'intérêt principal repose bien évidemment sur la confrontation gentiment envoyée entre un Nicolas Cage plutôt sobre et qui s'ouvre progressivement,et une Shirley MacLaine toujours adorable en chipie capricieuse."Un ange gardien pour Tess"(1994)a pour seule vocation de capter la tendresse entre ces 2 âmes aussi esseulées l'une que l'autre,et dont le rapporchement est improbable(différente d'âge,de milieu et de caractère).La dernière partie avec le kidnapping n'est guère convaincante,et n'est qu'un prétexte à une réconciliation en bonne et due forme.On préfère quand les 2 personnages principaux s'envoient des vannes,ou se toisent avec un mélange de respect et d'exaspération.Shirley MacLaine est passée maîtresse dans cet art de rendre sympathique,voire émouvante ce genre de tête de mules.Le film,lui,est anodin,ne laisse pas un souvenir impérissable,tant il ne creuse pas les situations ou la veine sentimentale.
Contrairement à ce que l’on pourrait s’attendre au vu de l’affiche et de la bande-annonce (ainsi que par la présence du réalisateur du premier Police academy, Hugh Wilson), Un ange gardien pour Tess n’est pas véritablement une comédie (malgré quelques éléments humoristiques) mais plutôt une comédie dramatique qui prend même une tournure assez inattendue dans sa dernière demi-heure. Le film de Hugh Wilson sert surtout à offrir une sympathique confrontation entre Nicolas Cage et Shirley MacLaine (dont la nomination pour le Golden Globe de la meilleure actrice dans un film musical ou une comédie semble malgré tout peu justifiée). Celui-ci permet de ne pas avoir une œuvre ennuyante mais ne la rend pas pour autant passionnante. Un ange gardien pour Tess peut donc être considéré comme une petite déception malgré ses interprètes principaux.
Sorti en 1994, ce divertissement du dimanche après-midi matérialise une fois encore la sous-exploitation des talents d'acteur de Nicolas Cage. Interprétant cette fois-ci un garde du corps au service de l'ex-première Dame des United States of America, le neveu de F.F. Coppola cherche un semblant de sérieux dans cette farce incommensurable réalisée par Hugh Wilson. Le scénario est misérable tout comme le sont d'ailleurs la mise en scène ou encore l'ambiance stéréotypée à l'américaine qui ne cesse de nous jeter à la figure des airs de grandeur et de beauté là où l'on ne trouvent que désastre et puanteur. Les gags sont quant à eux rebutants et les quelques sourires qu'ils obtiennent ne proviennent que de la nullité qui les a inspirés. En clair, "Un ange gardien pour Tess" demeure dans le domaine des films ratés qui n'eurent pas les moyens ou peut-être tout simplement pas l'envie de péter le box-office.
Un Ange gardien pour Tess, 1994, de H. Wilson, avec Shirley MacLaine et Nicolas Cage. Redoutable navet. La veuve d’un ancien Président des USA entretient des rapports orageux avec son garde du corps. Ce qui ennuie beaucoup ce dernier, et nous, plus encore ! Scénario creux, dialogues nuls. Enorme qualité de ce type de médiocrité : on va se coucher de bonne heure !
film génial , au debut on sent pas trop dans quel registre est le film , mais sans nicolas cage ce film serait vraiment barbant au contraire ce film avec lui est un delice , moi j'ai adorer personnellement je le classerai dans emotion et humour