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AMCHI
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1,0
Publiée le 14 avril 2007
Un film à sketches très moyen malgré la présence d'acteurs de renom, l'histoire sur la plante et celle sur le vaudou sont totalement ratées ; la meilleure est sans aucun doute celle sur la main vengeresse ou Christopher Lee nous livre une excellente prestation en critique d'art arrogant et imbu de sa personnage. Les séquences entre chaque sketches sont pas mal notamment l'introduction mais l'ensemble reste malgré tout décevant.
Si l'on est encore éloigné des histoires plus contemporaines qui sortiront dans les années 70, l'aspect classique, empreint d'horreur gothique, sans doute amplifié par la présence au casting de Christopher Lee et Peter Cushing, tous deux irréprochables, donne un précieux charme à l'ensemble. La critique complète : http://www.terreurvision.com/2019/01/le-train-des-epouvantes-19651971-de.html
Ce film britannique à sketches a terriblement vieilli mais demeure divertissant, même si ces histoires sont cousus de fils blancs... La présence de Peter Cushing, de Christopher Lee et de Donald Sutherland ne relève malheureusement pas le niveau d'un scénario parfois désuet...
Spécialiste des films d'épouvante à sketches des années 60 face au cinéma gothique de la Hammer, les britanniques d'Amicus sortent en 1965 "le train des épouvantes". Un très grand cru mené par Sir Christopher Lee soi meme, qui est aux films de genre ce que Sean Connery est aux films d'action en terme de classe british et je pèse mes mots (environ 600 grammes). Une fois encore j'ai trouvé les skecthes d'une grande régularité dans la qualité quoique très variés. Bien sur les quelques effets peuvent sembler desuets mais ca colle tellement avec le film que ce n'ai absolument pas gênant. Je rajoute qu'aux côtés de Christopher Lee on trouve Peter Cushing (autre tete ultra célébre dans les films d'horreur outre manche à cette époque) et un Donal Sutherland tout jeunot. A avoir dans sa videotheque parmi les classiques. 4 / 5
Les sketches sont à proprement parler guère intéressants, excepté peut-être celui joué par Christopher Lee, rappelant le cocasse "La main du cauchemar" avec Michael Caine. Les autres vont du grotesque (la plante tueuse) au bâclé (la femme vampire et ses chauve-souris en carton) en passant par le soporifique (la musique vaudoue). L'intérêt principal du film est son fil conducteur: quel sera le destin des cinq passagers, et qui est ce mystérieux Dr Shreck, joué par le "taulier" Peter Cushing affublé de faux sourcils achetés au magasin de farces et attrapes du coin?
Plutôt déçu par ce film, moi qui suis friand des films d'horreur à sketchs je pensais vraiment que celui ci allait me plaire, notamment avec la présence au casting de monstres sacrés du genre comme Christopher Lee et Peter Cushing. Il raconte l'histoire de cinq voyageurs dans un train qui sont abordés par un homme mystérieux qui va leur révéler leur avenir grâce au tarot. Le début du film est bon, les personnages sont bien introduits et le concept se dessine clairement, les deux premières histoires sont un peu décevantes, les trois autres un poil meilleures, celle de la main avec Christopher Lee est d'ailleurs réussie. Mais à un moment donné on a vraiment un sentiment de redondance, et au final je pense que les scènettes ne sont pas assez élaborées et construites, cinq ça fait tout de même beaucoup (même si "Creepshow" que j'apprécie possède le même nombre de sketchs), trois aurait suffit dans ce genre de format classique. Un autre soucis c'est l'esthétisme qui souffre souvent d'originalité et de singularité, par exemple pour l'histoire du vampire j'aurais aimé voir des artifices un peu plus poussés pour ajouter une touche mystique (et ainsi faire oublier la pauvreté des effets spéciaux), tout reste un peu trop sobre. Cependant la réalisation et la mise en scène conservent quelques qualités et surtout la fin est très maligne, j'ai beaucoup aimé comment le film se conclu, avec cette touche occulte et sombre, pour le coup l'atmosphère est excellente, dommage que le long métrage n'ai pas été de la même veine. "Le Train des Épouvantes" est un film d'horreur correct mais qui déçoit tout de même de part son manque de profondeur scénaristique et visuelle.
Cinq curieux dans un train consultent leur avenir dans les tirages d'un cartomancien qui ne leur promet que du néfaste... L'un des moins bons Amicus, on a été vraiment déçu par la tiédeur et le manque d'imagination des sketches qui composent Le Train des épouvantes, dont seule l'historiette du critique d'art (délicieux Christopher Lee en homme imbu de sa science) est intéressante. Les autres mésaventures ennuient profondément car elles sont plates, n'ont pas le palpitant des bons sketches de l'Amicus (on se rappelle de ceux de La Maison qui tue, nettement plus incisifs et satiriques !) et encore moins la chute ironique qui va avec. L'historiette du Dieu Vaudou offensé par le musicien est certainement la pire (longue, avec des morceaux musicaux qui durent inutilement, et un final décevant : spoiler: un homme vient reprendre la partition sacrée pour la détruire, et le musicien s'évanouit ... On est loin d'un bouquet final et d'une note grinçante !), de même que celle de la plante intelligente qui est mollassonne au possible et n'a pas de vraie fin, et les deux restantes (celle du loup-garou et du vampire) sont sans idée. La courte durée (1h30) ne nous a pas empêché de nous ennuyer, les histoires étant, pour quatre sur cinq d'entre elles, vraiment barbantes. On aura aussi tiqué sur les tirages des cartes du tarot qui est faite n'importe comment (Le Pendu aurait dû être tiré à l'envers pour signifier que l'intrigue se finit très mal... Même sans être cartomancien, on repère que les tirages sont absurdes). Le twist final qui conclue l'intrigue "longue" est très prévisible, on se souviendra au moins de la réunion de Christopher Lee et de Peter Cushing (l'un des films où ils partagent réellement l'écran, et n'ont pas des histoires à part), et de l'histoire du critique d'art comme étant la seule qui a un brin d'intérêt, les autres sont bonnes pour la corbeille de l'Amicus.
Malgré un casting très classe, un scénar qui semblait captivant. Les sketchs tombent un peu à plat, ou semblent parfois mal joués. On s'attend à de meilleurs rebondissements. Le sketch vaudou est le plus faible
Pour l'époque, ce film à sketches horrifiques a dû faire frissonner dans les chaumières ! En revanche, en 2021, ça le fait beaucoup moins ! La faute avant tout aux effets spéciaux qui semblent bien dater, la palme revenant à la maquette volante de la chauve-souris, proprement pitoyable ! Néanmoins, même si les protagonistes ne sont pas assez brossés, les acteurs sont vraiment bons, notamment Christopher Lee dans un rôle à contre-emploi et Peter Cushing, même si ce dernier est affublé d'un accent allemand des plus ridicules dans la version française ! On retiendra donc cinq histoires intéressantes avec des thèmes différents (du loup-garou, du vampire, du vaudou, etc.) et une personnification de la mort elle-même relativement sympathique, mais désormais cela fera plus sourire qu'autre chose, même si on passera tout de même un assez agréable moment pendant 1h35 !
Dr. Terror’s House of Horrors ne vaut que pour deux choses : la réalisation du récit-cadre, à savoir le voyage en train, qui propose des mouvements de caméra, une photographie mémorable et un certain sens du cadre apte à susciter l’oppression – les personnages paraissent enfermés dans le plan comme ils le sont dans leur destin et dans le wagon –, et le choix d’un enchâssement d’histoires correspondant chacune au devenir des passagers qu’interprète le mystérieux Doctor Schreck (Peter Cushing) via son jeu de tarot.
Lorsque les récits enchâssés interviennent et se suivent, entrecoupés de retour dans le train, le château de cartes s’effondre et laisse place à un amateurisme confondant : les segments utilisent la brièveté pour masquer les limites budgétaires d’une production incapable de représenter l’horreur en termes techniques – tout se passe hors-champ – mais également incapable de nous faire ressentir une quelconque peur due, cette fois, à l’élaboration d’une ambiance absente. Nous n’attendons qu’une chose : revenir dans le wagon central dans l’espoir que l’histoire à venir sera plus immersive ; aussi allons-nous de désillusion en désillusion, quoique la partie intitulée « Voodoo » apporte un semblant de dépaysement – nous sommes aux Caraïbes – et d’originalité – dans un club de jazz – guère suffisant pour rattraper le reste.
Un film à sketches bien dans l'esprit britannique, on retrouve d'ailleurs l'excellentissime Christopher Lee et Peter Cushing qui joue la Mort qui avertit par des cartes de tarot le destin de quelques voyageurs curieux. C'est en fait un précurseur de Creepshow de 1983. Pourquoi une assez bonne note ? Déjà j'aime beaucoup le genre film à sketches (des histoires indépendantes de la narration principale), ensuite parce qu'elles sont plutôt réussies notamment celle avec le loup garou, celle avec la main du mort qui poursuit le coupable et la dernière avec le médecin vampire. Les autres sont plus fades et moins réussies : celle avec la végétation tueuse et celle de l'épisode avec le musicien qui copie l'air vaudou. Donc une curiosité à voir pour les fans de film d'épouvante comme moi.
Je ne sais pas quoi penser de ce film, il n'est pas bon c'est sur, ce n'est pas un nanar, ni un navet. En fait il est terriblement prévisible, les sketch sont tous plus nuls les un que les autres et hyper prévisible, une véritable caricature. On prend plaisir à regarder ce film. Les acteurs sont pas bon, mais Lee dégage une prestance, une présence. Je ne me suis pas ennuyé un seul instant et je me suis même divertis, d'ou le 2 étoiles malgré la nullité du film. Mais je ne qualifierais quand même pas ce film de nanar pour autant.
Ce film souffre de l'inégalité des sketchs qu'il propose. Il faut dire que ça commence assez mal avec un médiocre "Loup-Garou", puis avec une "Vigne mutante" complètement ratée. Les trois derniers sketchs relèvent heureusement le niveau, "Vaudou" est assez déjanté et peut même se regarder comme un intermède musical. "La main baladeuse" avec un très bon Christopher Lee est excellent, et "la Vampire" est sauvé par son humour noir et par Donald Sutherland. Quant à Cushing qui n'a pas grand-chose à faire et qui joue hors sketch, il déçoit un peu.