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    Quarante tueurs
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     Kurosawa
    Kurosawa

    582 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2015
    Un western au pitch original mais au scénario trop confus, la faute à un montage peu rigoureux et à une faible attention portée aux personnages. Difficile de s'intéresser à cette histoire peu claire et au faible potentiel dramatique; seuls quelques moments intéressants en terme de mise en scène (la scène d'ouverture, la tornade, etc.) viennent me sortir de ma torpeur. "Forty Guns" est donc dans l'ensemble assez ennuyeux, la faute à une non-maîtrise absolue de la narration.
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2009
    Certainement pas le film le plus connu de Samuel Fuller... Et pourtant, il signe ici un western qui ne ressemble à aucun autre, créant en plein coeur de l'ouest américain une tragédie grecque baroque et intense. Certes, le film souffre durant toute sa première partie d'un montage cruel (des coupures de la production sans doute), mais la dernière demie-heure est à couper le souffle, loin des clichés habituels du genre, faisant preuve d'une inventivité insolente et d'un sens aigu du récit où rebondissements se mêlent étroitement à la tragédie. Un pur bijou, hélas trop méconnu.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 janvier 2009
    Pas terrible, ce western ! Le film adopte résolument un ton très manichéen, avec un scénario construit autour de Barbara Stanwyck qui est belle, riche et dominatrice. Le réalisateur va même jusqu'à inclure au début du film une chanson écrite sur elle où il est question de "femme au fouet" : il ne manque plus qu'une combinaison en latex ! Le petit soucis est que Barbara Stanwyck, excellente actrice au demeurant, n'est déjà plus jeune et peine à incarner avec crédit une femme fatale. Son jeu n'est vraiment pas convaincant dans ce film. Les acteurs qui incarnent les frères Bonnell sont assez peu charismatiques. Plusieurs scènes sont longuettes ou faciles (le mandat que se font passer de main en main les convives autour de la longue table...). La mise en scène est peu inventive, et le film a beaucoup vieilli. Il a été réalisé sept ans avant "Pour une poignée de dollars" de Sergio Leone, mais on dirait que quarante années les séparent ! Pour moi, le compte n'y est pas.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 063 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2014
    C'est un film sympa mais un peu confus. Je m'explique, on a ces trois personnages qui débarquent dans la ville, on ne sait pas qui ils sont, ce qu'ils veulent, pourquoi ils sont là et je n'ai pas trouvé de réelle explication. Et on a ces 40 types à cheveux, j'ai trouvé ça assez long pour que tout ceci s'accorde parfaitement ensemble. Ce qui me fait dire que c'est sans doute un film qui sera mieux lors d'un second visionnage (que je ne ferai pas).

    En fait ce que je reproche au film c'est que malgré sa "beauté", elle se trouve entachée par une histoire que je trouve trop fouillis, ça manque de simplicité dans l'exécution. Ce n'est pas High Noon. Il y a plein de personnages, on les voit 30s et après j'ai déjà oublié leur tête qui ils sont, etc. Il manque une scène d'exposition des personnages plus claire.

    Enfin, comme je le disais ça n'empêche pas le film d'être très beau par moment et cruellement bien foutu. Il y a plusieurs scènes qui font que le film mérite d'être vu, cependant vu que la sauce n'a pas trop pris ces scènes je les trouve moins touchantes et belles qu'elles auraient pu l'être.

    Dans ces scènes il y a bien entendu toute la fin du film vraiment grandiose, sommet de mise en scène, avec ce petit chant sur le final. D'ailleurs le chant est bien géré dans le film, on a également une superbe scène un peu avant, vers l'heure de film où ça chante pour un événement particulier et on a cette caméra qui s'avance vers le chanteur, reste sur lui, avant de reculer à nouveau pour montrer une femme. C'est un putain de plan, il y a tout là-dedans.

    Et bien sûr il y a la classe du personnage principal, cette scène tout au début où il s'avance vers son adversaire, sacrément classe.

    C'est un film qui déborde d'idée et qui je pense aurait dû gagner en simplicité, j'aurai aimé être plus touché, le potentiel était pourtant là, mais c'est ce qui différencie un grand film d'un bon film.
    Bref il ne faut pas bouder son plaisir.
    Estonius
    Estonius

    3 335 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 décembre 2017
    Considéré par de nombreux cinéastes (de Godard à Scorsese) comme techniquement parfait, le film pèche néanmoins dans néanmoins dans deux domaines fondamentaux : le scénario qui se déroule tellement vite que ça en devient confus, parfois on ne sait plus qui est qui, qui est avec qui, qui est venu pourquoi, c'est tout de même gênant. Et puis il y a cette fin où spoiler: Stanwyck grièvement blessée, courre comme un lapin jusqu'à rattraper la carriole du héros
    ! L'autre domaine c'est la direction d'acteurs, Barry Sullivan qui interprète le héros est aussi charismatique d'une bouteille de Badoit, Barbara Stanwyck s'en sort pas trop mal, mais elle a 50 ans et la comparaison avec ce qu'elle était avant reste inévitable. Alors évidemment côté technique on a que du bon, une photographie d'artiste, des plans de folie, quelques scènes chocs dont une introduction d'anthologie, une reconstitution d'une ville de l'ouest au cordeau et une musiquette d'enfer. Alors comment noter ça, brio technique contre narration mal maîtrisée ? On dira donc que c'est moyen.
    Plume231
    Plume231

    3 882 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2009
    Un western élégiatique, insolite et imprévisible qui bien que souffrant parfois d'un manque de clarté dans le déroulement de son histoire n'en est pas moins remarquable. Grâce à une bonne distribution, dominée par Barbara Stanwyck, et surtout grâce à l'immense savoir-faire de Samuel Fuller sur le plan ce film est très grande réussite. La photographie en noir et blanc est magnifique et le réalisateur ponctue son oeuvre de très belles séquences notamment la scène de la tornade très réaliste. Certainement un des westerns les plus originaux jamais réalisés.
    soulman
    soulman

    85 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2015
    Un western magnifique, qui participe à faire entrer le genre dans les films "pour adultes".
    En effet, le scénario est plutôt complexe, impliquant plusieurs personnages de premier plan et à forte personnalité. Le noir et blanc est superbe et la mise en scène de Fuller exceptionnelle. Les scènes de combat sont filmées sur un ton presque documentaire, avec beaucoup de sécheresse.
    En outre, l'idée de l'intervention d'un chanteur est géniale, notamment lors de la séquence du cimetière où la caméra se déplace de la jeune veuve jusqu'à lui pour ce qui est peut-être l'un des moments les plus intenses du cinéma américain. A signaler enfin la performance de Barbara Stanwyck, débordante à la fois d'autorité et d'humanité, qui rejoint dans le grand Ouest les inoubliables Marlene Dietrich et Joan Crawford (dans "L'ange des maudits" et "Johnny Guitare").
    Bruno François-Boucher
    Bruno François-Boucher

    108 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mars 2015
    Un film remarquable, interprété de façon éblouissante par une Barbara Stanwick en pleine forme. Un portrait de femme sans concessions bien en avance sur son temps et des images-choc magnifiées par un scope noir et blanc de toute beauté. Ce western baroque est l'une des oeuvres maîtresses de Samuel Fuller. A voir absolument.
    stebbins
    stebbins

    501 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mars 2011
    Le chef d'oeuvre Forty Guns n'est pas un simple western, bien qu'il en tienne la dimension politique et l'ampleur romanesque. Simplement la capacité de Samuel Fuller à dépasser le genre et à multiplier les séquences virtuoses en font une oeuvre de très haute volée située quelque part entre le film noir, le drame épique et le film de gangsters. Considéré par beaucoup comme l'une des réussites majeures de Samuel Fuller, Forty Guns est effectivement un monument de maîtrise d'une rare audace et d'une grande modernité, une magnifique leçon de cinéma peuplée de personnages extrêmes, romantiques et imprévisibles. De l'anthologique séquence de poursuite qui tient lieu d'ouverture à l'épilogue lyrique en passant par l'attaque du village par la bande de mercenaires le spectateur est totalement embarqué par la démesure baroque de Forty Guns, sa charge émotionnelle et sa violence mise à nu... Bref peu de choses à ajouter à propos de ce monstre filmique, véritable pièce maîtresse d'un genre transcendé par le génie de Fuller. Certainement l'un des plus grands films du cinéma des années 50, un incontournable cinématographique !
    this is my movies
    this is my movies

    699 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 décembre 2016
    Ah, le grend S. Fuller. Dans un genre qui se prête parfaitement à son univers, il nous offre un film certes très court mais d'une densité et d'une richesse (aussi bien scénaristique que visuelle) bien plus importante que certaines filmographies. Car oui, le bonhomme nous sert un trésor de mise en scène, bourré d'inventivité (comme ce plan génial qui annonce le pré-générique de tous les James Bond ou la scène de la pendaison) ou encore un montage ahurissant de virtuosité. Si l'histoire est simple, ses personnages la densifient de manière incroyable, proposant une relecture des frères Earp le tout dans un N&B sublime. Joué avec conviction, fiévreux et réaliste, ce western s'affirme comme un monument du genre (et du cinéma) tant il captive et nous propose une orgie d'innovations et d'audaces. Ne pas se fier à une fin non voulue par le réalisateur à la base (en gros, arrêtez vous à 2 minutes du terme) et qui illustre parfaitement la philosophie de ce cinéaste oublié. D'autres critiques sur
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    750 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2009
    Voici un western méconnu mais qui s'avère être une véritable réussite de la part de Samuel Fuller. La mise en scène est de très haute volée et nombre de séquences, superbement tourner en cinémascope noir et blanc, sont véritablement réussies - dont celle de la tornade qui se trouve être remarquablment filmé.
    L'interprétation est dominée par la beauté et le talent de Barbara Stanwyck qui joue une héroine pleine d'envie et qui remplace l'habituel cowboy solitaire. A ses côtés, nous retrouvons notamment l'excellent Barry Sullivan dans un rôle de hors-la-loi vraiment bien tenue.
    La magnifique photographie de Joseph F. Biroc est l'un des autres points forts de ce long métrage qui se doit d'être réhabilité au plus vite.

    17/20
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 décembre 2012
    Alors que le technicolor est un procédé parfaitement maîtrisé à l'époque, Samuel Fuller choisit le noir et blanc, donnant un aspect dramatique à certaines séquences, notamment au début, lorsque Barry Sullivan alias Griff Bonnell, marche d'un pas décidé vers le jeune voyou qui tire à tout va. Samuel Fuller démontre toute son habileté avec la caméra. il joue avec, par exemple quand il cadre le regard inébranlable de l'acteur, renforçant ainsi sa détermination. Cette scène en rappelle d'ailleurs quelques unes dans des westerns restés célèbres (Pour quelques dollars de plus, Il était une fois dans l'Ouest …). Le clin d'œil à travers le fût rayé du canon sur la belle Eve Brent, la fille de l'armurier, ou encore le face à face insolite entre Barry Sullivan et la fringante cinquantenaire Barbara Stanwyck, dans l'immense salle à manger, sont autant de séquences qui démontrent le talent et le génie inventif du cinéaste.
    Cependant, mise à part la magnificence des images, le film manque parfois de rythme, l'enchaînement des différents déroulements manque de fluidité, ce qui nuit à la bonne compréhension et à l'intérêt de l'intrigue. Certaines séquences sont trop longues comme celle du cyclone, certes, magnifiquement tournée mais qui n'apporte pas grand-chose à l'histoire ou bien certains dialogues qui n'ont pas trop d'utilité. D'ailleurs, autant les dix premières minutes m'ont fait une excellente impression, laissant augurer un western magique, autant la demi-heure suivante m'a laissé un grand sentiment de frustration. Quant au rôle du shérif Ned Logan, il manque d'ampleur et vire au ridicule, notamment dans la déclaration de sa flamme à la fatale Jessica Drummond, à l'heure de jeu. Heureusement, la dernière demi-heure est absolument sublime et les deux dernières chansons sont superbes.
    En outre, il ne faut pas regarder ce film comme un western ordinaire, car il va bien au-delà. C'est le type même de western atypique et hors norme qui place ce spectacle dans le champ restreint des films cultes de ciné-club, où la psychologie des personnages et le jeu des acteurs transcendent le scénario au-delà de la simple aventure. Il faut donc le visionner jusqu'au bout pour se faire une idée exacte de sa réelle valeur.
    overlook2
    overlook2

    23 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 septembre 2016
    Dès la séquence d’ouverture, on se dit que Forty guns ne peut être qu’une réussite. Quelques plans d’ensemble sur des extérieurs majestueux de l’Arizona et un montage parallèle entre une cavalcade d’hommes dirigés par une femme à poigne (Barbara Stanwick) et trois « étrangers » (nous saurons bientôt qu’il s’agit de trois frères) faisant le trajet tranquillement et s’immobilisant lorsque la troupe passe comme une furie. En quelques plans, Fuller parvient à établir un contraste saisissant entre la vitesse et l’immobilité, le mouvement désordonné et l’ordre, le Chaos et la Loi.
    En quelques plans tranchants comme une lame de rasoir, il parvient à établir les enjeux de ce drôle de western qu’est Forty guns. Western étrange parce que tardif, de cette époque un peu flottante (les années 50) où l’idéalisme des pionniers est bel et bien révolu mais où le maniérisme n’est pas encore de rigueur. Comme Anthony Mann ou Robert Aldrich, Samuel Fuller fait partie de ces cinéastes ayant assuré la transition entre un cinéma érigeant la légende des pionniers (que représente d’une certaine manière Jessica Drummond) et un autre montrant comment la violence et l’individualisme des conquérants sont peu à peu passés sous l’égide de la Loi.
    En arrivant à Tombstone, les frères Bonnel sont chargés de substituer au règne des « « quarante tueurs » celui de la loi fédérale. Griff, le nouveau shérif, sera confronté à Jessica (Barbara Stanwick, aussi convaincante en femme à fouet qu’en héroïne sentimentale des mélos de Douglas Sirk) et Fuller de se servir de cette opposition pour dresser un tableau des mutations de l’Ouest américain.
    Tout d’abord, le rapport à la violence. Si le genre dans lequel s’inscrit Forty Guns (le western de « série B », réalisé sans la moindre fioriture et avec une inventivité visuelle souvent époustouflante : Cf. la magnifique séquence de l’ouragan) permet au cinéaste de déployer son style brutal et tranchant ; il montre bien par ailleurs que cette violence ne peut plus être cette loi du Talion qui faisait office de règle chez les pionniers (et qui vient souvent planer comme une ombre menaçante sur la personnalité de Griff).
    De la même manière, en faisant d’un des personnages principaux une femme, Fuller exacerbe le côté « sexuel » de son film. Il s’agit encore d’allusions sous-jacentes mais les sous-entendus se font de plus en plus explicites, comme dans cette magnifique scène où l’armurière de la ville conçoit une arme « sur mesure » pour un Wes Bonnel (avec tout ce qu’on peut imaginer d’images sexuelles lorsqu’ils évoquent la crosse de l’arme) qui finit par la regarder dans l’œilleton du fusil et d’en faire un pur objet de son désir. Scène qui sera reprise (mais inversée : la femme tenant en joue l’homme et en faisant par là l’objet même de son désir) par Godard dans A bout de souffle et qui montre à quel point Fuller a aussi compté pour les cinéastes de la Nouvelle Vague.
    De la même manière, lorsque Fuller dilate le temps lors des scènes de duels en isolant en très gros plans les yeux des personnages et les mains effleurant les révolvers ; on voit se profiler à l’horizon le cinéma de Sergio Léone. Il ne s’agit pas encore de maniérisme mais d’une autonomisation du style qui montre que le western commence à entrer dans « l’ère du soupçon ».
    Forty guns séduit par l’audace de ses contrastes (hommes/femmes ; chaos/Loi…) et la flamboyance d’un style qui ne s’embarrasse pourtant pas d’ornements (quel plaisir de voir un film d’une telle densité et qui n’excède pourtant pas 1 heure 20 !). La sécheresse et l’économie de la série B n’empêche pas, bien au contraire, le cinéaste de composer des personnages troubles et ambigus, tiraillés entre leurs désirs amoureux et sexuels, leurs « devoirs » (le rêve des conquérants s’est bâtit grâce à une violence qu’il faut désormais placer sous l’égide de la Loi) et leurs pulsions les plus enfouies (désir de vengeance froide…).
    Apleupleu
    Apleupleu

    6 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 août 2020
    Des scenes traitées avec un angle de vue assez neuf .On s'attend a voir barbara stanwick en personne puisssante , rigide et intraitable , mais elle devient rapidement comprehensive ,amoureuse et respectueuse...
    Du coup cela en devient plat et pas tres interesssant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 mars 2015
    pour moi ce western a tout du film culte avec son côté série b filmé avec peu de moyens mais d'une inventivité folle tant sur le plan visuel (je pourrai citer au moins une dizaines de scènes ou de plans séquences) que sur le contenu.(le film peut faire l'objet de lectures à plusieurs niveaux dont une résolument sexuelle avec notamment la fameuse scène de l'œilleton du fusil) si le film fourmille de mille inventions il n'en est pas pour autant débridé et est parfaitement structuré. Même si on ne s'en aperçoit pas au début du film car l'histoire semble prendre différentes directions, le scénario est cohérent tout en réservant des surprises inattendues.(que je ne peux évoquer sous peine d'être spoilé )Pas un chef d'œuvre mais presque (Il manque un peu de fluidité au récit pour le considérer comme tel)
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