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Votre avis sur Fantômas contre Scotland Yard ?
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Troisième volet de la saga, et le moins bon à mon goût. Ce film manque cruellement d'originalité et d'humour. De Funès fait son numéro, mais les dialogues ne font pas rire et le scénario est minimaliste. Autant j'ai réussi avec un certain plaisir à regarder les 2 premiers films, autant celui-là m'a lassé. On a dire qu'il était temps que la trilogie se finisse.
Dans « Fantômas », j’écrivais ceci : « Il se murmurait que Jean Marais n’appréciait pas trop le jeu de son partenaire car il ne partageait pas la même vision du métier d’acteur. Jean Marais était au service du rôle pour le mettre en lumière alors que Louis de Funès profitait du rôle pour se mettre en lumière. »
Après les trois épisodes, force est de constater que Louis de Funès phagocyte la lumière. Moi qui n’ai pas le rire facile, Louis de Funès est bien l'un des rares acteurs qui me fait rire. Et comme je l’ai déjà écrit, peu importe les personnages qu’il endosse, je ne vois que Louis de Funès, l’éternel rageux agité. Et au-delà de sa gestuelle, il a un don incroyable de débiter avec fluidité ses lignes de dialogue avec des ruptures de ton désopilantes.
Deux séquences réjouissantes : spoiler: celle du pendu et celle du Lord Rashley (Jean-Roger Caussimon) inerte dans le lit du commissaire Juve.
Je peux ajouter quelques dialogues absurdes comme le merle sur le cheval ou « le cheval parle » !
S’il m’apparaissait que le personnage Fantômas était un peu plus en retrait dans le volet deux, ici « contre Scotland Yard » il est nettement plus présent… mais encore bien derrière le commissaire Juve… plutôt bien derrière Louis de Funès !
Bilan : j’ai suivi cette trilogie que pour l’acteur…
Après les trois épisodes, force est de constater que Louis de Funès phagocyte la lumière. Moi qui n’ai pas le rire facile, Louis de Funès est bien l'un des rares acteurs qui me fait rire. Et comme je l’ai déjà écrit, peu importe les personnages qu’il endosse, je ne vois que Louis de Funès, l’éternel rageux agité. Et au-delà de sa gestuelle, il a un don incroyable de débiter avec fluidité ses lignes de dialogue avec des ruptures de ton désopilantes.
Deux séquences réjouissantes : spoiler: celle du pendu et celle du Lord Rashley (Jean-Roger Caussimon) inerte dans le lit du commissaire Juve.
Je peux ajouter quelques dialogues absurdes comme le merle sur le cheval ou « le cheval parle » !
S’il m’apparaissait que le personnage Fantômas était un peu plus en retrait dans le volet deux, ici « contre Scotland Yard » il est nettement plus présent… mais encore bien derrière le commissaire Juve… plutôt bien derrière Louis de Funès !
Bilan : j’ai suivi cette trilogie que pour l’acteur…
C'est un Louis de Funès sympathique. C'est pas le plus mauvais mais pas le meilleur non plus. On sent que la recette Fantômas s'essouffle dans ce troisième opus et certaines blagues sont franchement vieillottes. Mais il reste tout de même des scènes savoureuses et le jeu De Funes fait souvent mouche même si tout paraît scenaristiquement invraisemblable.
Un film au même niveau que c'est prédécesseur.
Car malheureusement, il n'y a absolument rien de nouveau et l'histoire n'a pas avancé...
Le film s'occupe trop de faire des blagues (drôles par contre) au lieu de faire grandir son scénario.
Malgré son titre, il n'y a quasiment aucune confrontation. Pour moi, ce n'est pas du tout un film policier.
À voir, c'est quand même drôle.
Car malheureusement, il n'y a absolument rien de nouveau et l'histoire n'a pas avancé...
Le film s'occupe trop de faire des blagues (drôles par contre) au lieu de faire grandir son scénario.
Malgré son titre, il n'y a quasiment aucune confrontation. Pour moi, ce n'est pas du tout un film policier.
À voir, c'est quand même drôle.
Le troisième et dernier de la trilogie, « Fantomas contre Scotland Yard » toujours réalisé par André Hunebelle, en 1967, avec également Louis De Funès, Jean Marais et Mylène Demongeot dans les rôles principaux. Le film raconte toujours la traque de Fantomas par un journaliste, joué par Jean Marais, et un commissaire de police interprété par Louis de Funès. L’action se déroule en Écosse dans le château de lord Mac Rashley, interprété par l'illustre parolier de certaines chansons de Léo Ferré : Jean-Roger Caussimon . Il s'agit certainement, pour ma part, de l'épisode le moins réussi de la trilogie, même si on trouve de bons moments comiques grâce à la prestation de Louis De Funès, notamment les scènes du pendu dans le château et du cheval lors de la chasse à courre. il faut aussi souligner que Jacques Dynam, l'inspecteur Bertrand dans le film, contribue depuis le premier épisode, mais surtout dans celui-ci, au génie comique de Louis De Funès. Il n'y aura pas de 4ème Fantomas, surtout à cause de la mésentente totale entre Louis de Funès et Jean Marais.
Un troisième et dernier volet dans l’ensemble bien poussif et désuet, malgré quelques scènes amusantes. 1,75
Quelle m,...
j'ai pu en rire en étant enfant je l'admets.. aujourd'hui 54 plus tard je trouve ça d'un ridicule affligeant..
Même Louis de Funès est pathétique dans ce rôle..
Je n'ai pas pu regarder plus d'une demie heure.
j'ai pu en rire en étant enfant je l'admets.. aujourd'hui 54 plus tard je trouve ça d'un ridicule affligeant..
Même Louis de Funès est pathétique dans ce rôle..
Je n'ai pas pu regarder plus d'une demie heure.
Le dernier épisode de la trilogie Fantômas, sorti en 1967, est assurément le moins bon. Toujours réalisé par André Hunebelle, ce long métrage entraîne nos héros en Ecosse, le pays des fantômes. Malheureusement, le ton originel s’essouffle. Fini, les scènes d'action mémorables. Fini, les références à James Bond. Fini, l’humour parodique. Place à une intrigue mollassonne où Louis de Funès exécute une prestation basée sur des grimaces et des gags répétitifs pas toujours du meilleur goût. Bref, il était temps que la série s’achève.
Ti Nou
Plus la saga avance, plus les budgets gonflent, moins les films sont généreux et amusants. Il faut attendre une heure cloîtrée dans un château avant d’avoir une séquence un peu spectaculaire et ludique. Même la délocalisation de l’intrigue en Écosse n’apporte rien.
La superbe trilogie Fantômas, avec un Louis De Funès à son prime.
On est pris dans l'histoire, une comédie française de l'époque comme on les aime.
A voir !
On est pris dans l'histoire, une comédie française de l'époque comme on les aime.
A voir !
stallonefan62
Louis de Funès étant désormais la vedette du film dans ce 3ème opus, celui-ci fourmille de gag et dialogues drôles parsemé de quelques scènes d'actions toujours bien orchestré !! L’histoire autour de Fantomas n'avance pas beaucoup, ce qui est dommage de ne pas savoir qui se cache derrière ce masque !!
Je me suis demandé pendant le film si André Hunebelle qui n'est (pourtant pas un manchot) croyait en son film, parce que si la réalisation s'efforce d'être correcte, il y a vraiment un gros problème de direction d'acteurs, ainsi Mylène Demongeot n'est jamais dirigée et l'excellent Jean-Roger Caussimon semble perdu. Mais le pire c'est le cas de Jean Marais complétement transparent. Paradoxalement Jacques Dynam jouant l'adjoint du commissaire parvient à s'imposer. Et bien sûr il nous faut parler de De Funes qui a souvent tendance à m'agacer, sauf que là il est bon et est la véritable vedette du fim. Sinon beaucoup de gags ratés, une intrigue sans le moindre intérêt, elle est d'ailleurs débile, mais comme c'est une comédie on ne va rien dire.
Les épisodes se suivent et se ressemblent, et c'est probablement le propre des feuilletons. Dans ces troisièmes aventures de Fantomas par André Hunebelle, le scénario et la mise en scène ne sont pas seulement médiocres comme dans les deux premières, il sont pénibles.
Si le sujet n'a pas à être un modèle de rationalité, on supporte mal cependant les approximations et les rebondissements primaires d'un scénario puéril. Hunebelle s'autorise tout: un comique pesant, une action grotesque, des personnages sans envergure. L'intrigue qu'il conduit est nulle et ne met en valeur aucun des interprètes. Dans son du duo sympathique avec son adjoint Jacques Dynam, de Funès, sans qui le film ne vaut pas qu'on y jette un oeil, se prête malheureusement à des enfantillages comiques, spoiler: tel que de porter le kilt ou de jouer les fantômes dans le manoir écossais d'un lord fortuné que l'ignoble Fantomas veut contraindre à payer un impôt sur la vie.
Quant à Jean Marais, il continue d'incarner Fantomas mais son journaliste Fandor ne fait plus que de la figuration!
Si le sujet n'a pas à être un modèle de rationalité, on supporte mal cependant les approximations et les rebondissements primaires d'un scénario puéril. Hunebelle s'autorise tout: un comique pesant, une action grotesque, des personnages sans envergure. L'intrigue qu'il conduit est nulle et ne met en valeur aucun des interprètes. Dans son du duo sympathique avec son adjoint Jacques Dynam, de Funès, sans qui le film ne vaut pas qu'on y jette un oeil, se prête malheureusement à des enfantillages comiques, spoiler: tel que de porter le kilt ou de jouer les fantômes dans le manoir écossais d'un lord fortuné que l'ignoble Fantomas veut contraindre à payer un impôt sur la vie.
Quant à Jean Marais, il continue d'incarner Fantomas mais son journaliste Fandor ne fait plus que de la figuration!
« Fantômas contre Scotland Yard », le troisième volet de la trilogie culte d'André Hunebelle, bien que légèrement inférieur à ses prédécesseurs, ce film n'en est pas moins intéressant. L'humour y est toujours de bonne facture, mais c'est le traitement du personnage de Fantômas qui pose problème. Le film, en se concentrant davantage sur le commissaire Juve, interprété brillamment par Louis de Funès, relègue Fantômas et Fandor à des rôles secondaires. Malgré cela, le film reste divertissant, offrant son lot de scènes hilarantes et une atmosphère unique dans un château écossais. L'approche du scénario, qui diffère des deux premiers films, peut plaire ou non, mais personnellement, j'ai apprécié ce changement. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Un troisième opus qui a mal vieilli. Les effets spéciaux font peine à voir. Heureusement, Louis de Funès tient le haut de l'affiche. Avec un effet étrange, comme l'impression de voir ici et là des hommages à d'autres films de l'acteur sortis à la même époque. Cependant, on peut noter une résonance étrange avec les grands thèmes des années 2020, donc plus de cinquante ans après la sortie du film. Ainsi Fantômas annonce dès le début envisager "pulvériser cette planète lorsque j'aurai décidé d'en habiter une autre." Comme un écho à la course à l'espace des milliardaires de notre époque. Le malfaiteur masqué crée aussi un impôt sur le droit de vie pour les plus riches. Je m'étonne que la gauche n'y ait pas pensé, elle qui crie sans-arrêt aux inégalités. Du côté de la mise en scène, les gags avec l'adjoint du commissaire Juve ne fonctionnent pas. Problème de rythme. C'est flagrant quand on revoit les Gendarme, La Grande Vadrouille ou encore Hibernatus. Le final est aussi étrange : alors que Fantômas est dans le château de Lord Mac Rashley et s'apprête à partir en fusée, il fait nuit. La minute d'après, lors du lancement de l'opération libellule, il fait plein jour. Au final, les fans de Louis de Funès seront contents de le revoir, en ayant le sentiment qu'il ne peut pas livrer son plein potentiel dans ce contexte.
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