Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Pour ce qui est du message des Invisibles, on retiendra la belle idée d'une émotion vouée à surgir du noir (le propre du cinéma) et qui ne conserve son innocence qu'en flattant l'oreille. L'amour serait d'abord affaire d'écoute et de murmures. Pour ce qui est de la mise en scène, Jousse a aussi un regard. Ses cadrages ne dévoilant les corps que par fragments prouvent son souci de filtrer le visible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Andante, voire pianissimo, le cinéaste nous ramène, sans fausse note, vers le réalisme : les sonorités deviennent musique électronique, le compositeur vit une histoire d'amour conventionnelle et le gardien d'immeuble est de précieux conseil. Pour sa première oeuvre de longue durée, Thierry Jousse nous propose un "opus one" réussi dans son exécution, mais qui repose aussi sur la qualité des comédiens
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Le meilleur des "Invisibles" ? C'est la matière qu'il gratte, c'est la précision de son bricolage (...). C'est la surprise d'une drôlerie qui tente à son tour de doser les injonctions d'une passion d'esthète et celles de l'existence quotidienne : en critique musical reconverti concierge et ange gardien, Michael Lonsdale est génial.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Film qui se plaît à cacher plus qu'à montrer, ce en quoi il n'a pas tort. En douterait-on que la fin vient le confirmer, moins convaincante en dépit de la présence de Michael Lonsdale, acteur d'exception, rare pas seulement parce qu'on ne le voit pas assez souvent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
C'est une réflexion originale sur les mystères de la rencontre, la naissance de l'amour et la création artistique. Entre fantasme et réalité, il nous entraîne dans un suspense sensuel et étrange au coeur de nos sensations les plus intimes.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Dans les meilleurs moments, (...) il n'y a plus de personnages qui tiennent, mais des êtres humains venus d'horizons différents qui se trouvent unis pour produire à la fois de la musique et du cinéma. De cette fusion surgit une émotion intense, d'autant plus immense qu'on ne l'attendait pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Thierry Jousse fut rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, critique amoureux du cinéma de l'intimité et de l'obsession (de Garrel à Assayas) ainsi qu'auteur d'un ouvrage sur John Cassavetes sous influence free jazz. (...) Les Invisibles lui ressemblent, film authentique, obsessionnel, intime. Mais peut-être regrettera-t-on que Jousse ait tenu à séparer la partie très écrite de son scénario, canevas romanesque un peu trop corseté (...), des moments plus libres, a priori insaisissables, où il sait regarder ce qu'est un musicien au travail, à la recherche du son juste.
Ouest France
De Laurent Lucas, pour un registre dont il s'est fait une spécialité, à Michaël Lonsdale, très présent dans un rôle de gardien d'immeuble énigmatique, ses interprètes participent à sa démarche avec une vraie complicité. Sans parvenir pour autant à toujours nous entraîner dans un cinéma qui à la longue s'enferme dans ses recherches formelles pompeuses et stylisées.
Paris Match
par Alain Spira
A la frontière du fantastique, cette réalisation est aussi une réflexion sur la création musicale, illustrée par le remarquable travail de Noël Akchoté sur la bande-son. (...) Si vous êtes curieux, ne ratez pas cette comédie "sonsuelle", à voir les oreilles grandes ouvertes.
Positif
par Philippe Rouyer
Le côté enfiévré de cette double quête est bien rendu par une mise en scène inventive et un scénario intrigant. (...) Les seuls bémols tiennent à l'inégalité de l'interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
"Les Invisibles" n'est pas ce qu'on aurait pu craindre : un objet théorique saoulant qui sonderait le compositeur au travail. Jousse donne corps aux sentiments et son film bifurque rapidement vers la love-story hitchcocko-lynchienne. (...) C'est cette liberté qui fait le prix d'un premier film intrigant vraiment réussi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Si Les Invisibles déçoit, c'est pour des raisons qui s'éloignent radicalement du tout-venant des premiers films. Il y a là un étrange déséquilibre entre modestie et intelligence (...) Reste la beauté admirable des scènes d'intimité (dans l'obscurité de la chambre d'hôtel), qui renvoie au meilleur des précédents films de Jousse : seuls instants, trop rares, où éclate un vrai talent de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Score
par V. McKey
On reste un peu déçu par la partie écrite du scénario (la liaison entre Lio et Laurent Lucas), canevas romanesque mollasson parfois indigne d'une sitcom. Mais (...) "Les Invisibles" prouve que le fantastique français (un peu théorique, gentiment charnel et surtout très cinéphile) peut vraiment assurer.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Véronique Le Bris
Tout est pensé, intellectualisé. Trop pour laisser poindre l'émotion.
Télérama
par Louis Guichard
Les visites intempestives et récurrentes de Michael Lonsdale, génial en concierge abusif, ajoutent leur touche de drôlerie fêlée. Du côté de la vie sociale et diurne, le film se fait en revanche un peu gauche : Lio joue une productrice intéressée par Bruno à plus d'un titre, elle représente le monde réel, visible, qu'il faut toujours se résoudre à réintégrer. Un monde dont Thierry Jousse semble ne pas trop savoir quoi faire, assez proche en cela de son personnage. Il n'est pas plus à l'aise avec une brève échappée fantastique aux intentions lynchiennes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Véronique Le Bris
Un objet sonore trop identifié qui perd toute spontanéité. On se lasse des quêtes obsessionnelles du héros.
Le Monde
Pour ce qui est du message des Invisibles, on retiendra la belle idée d'une émotion vouée à surgir du noir (le propre du cinéma) et qui ne conserve son innocence qu'en flattant l'oreille. L'amour serait d'abord affaire d'écoute et de murmures. Pour ce qui est de la mise en scène, Jousse a aussi un regard. Ses cadrages ne dévoilant les corps que par fragments prouvent son souci de filtrer le visible.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Andante, voire pianissimo, le cinéaste nous ramène, sans fausse note, vers le réalisme : les sonorités deviennent musique électronique, le compositeur vit une histoire d'amour conventionnelle et le gardien d'immeuble est de précieux conseil. Pour sa première oeuvre de longue durée, Thierry Jousse nous propose un "opus one" réussi dans son exécution, mais qui repose aussi sur la qualité des comédiens
Cahiers du Cinéma
Le meilleur des "Invisibles" ? C'est la matière qu'il gratte, c'est la précision de son bricolage (...). C'est la surprise d'une drôlerie qui tente à son tour de doser les injonctions d'une passion d'esthète et celles de l'existence quotidienne : en critique musical reconverti concierge et ange gardien, Michael Lonsdale est génial.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Film qui se plaît à cacher plus qu'à montrer, ce en quoi il n'a pas tort. En douterait-on que la fin vient le confirmer, moins convaincante en dépit de la présence de Michael Lonsdale, acteur d'exception, rare pas seulement parce qu'on ne le voit pas assez souvent.
Le Figaroscope
C'est une réflexion originale sur les mystères de la rencontre, la naissance de l'amour et la création artistique. Entre fantasme et réalité, il nous entraîne dans un suspense sensuel et étrange au coeur de nos sensations les plus intimes.
Les Inrockuptibles
Dans les meilleurs moments, (...) il n'y a plus de personnages qui tiennent, mais des êtres humains venus d'horizons différents qui se trouvent unis pour produire à la fois de la musique et du cinéma. De cette fusion surgit une émotion intense, d'autant plus immense qu'on ne l'attendait pas.
Libération
Thierry Jousse fut rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, critique amoureux du cinéma de l'intimité et de l'obsession (de Garrel à Assayas) ainsi qu'auteur d'un ouvrage sur John Cassavetes sous influence free jazz. (...) Les Invisibles lui ressemblent, film authentique, obsessionnel, intime. Mais peut-être regrettera-t-on que Jousse ait tenu à séparer la partie très écrite de son scénario, canevas romanesque un peu trop corseté (...), des moments plus libres, a priori insaisissables, où il sait regarder ce qu'est un musicien au travail, à la recherche du son juste.
Ouest France
De Laurent Lucas, pour un registre dont il s'est fait une spécialité, à Michaël Lonsdale, très présent dans un rôle de gardien d'immeuble énigmatique, ses interprètes participent à sa démarche avec une vraie complicité. Sans parvenir pour autant à toujours nous entraîner dans un cinéma qui à la longue s'enferme dans ses recherches formelles pompeuses et stylisées.
Paris Match
A la frontière du fantastique, cette réalisation est aussi une réflexion sur la création musicale, illustrée par le remarquable travail de Noël Akchoté sur la bande-son. (...) Si vous êtes curieux, ne ratez pas cette comédie "sonsuelle", à voir les oreilles grandes ouvertes.
Positif
Le côté enfiévré de cette double quête est bien rendu par une mise en scène inventive et un scénario intrigant. (...) Les seuls bémols tiennent à l'inégalité de l'interprétation.
Première
"Les Invisibles" n'est pas ce qu'on aurait pu craindre : un objet théorique saoulant qui sonderait le compositeur au travail. Jousse donne corps aux sentiments et son film bifurque rapidement vers la love-story hitchcocko-lynchienne. (...) C'est cette liberté qui fait le prix d'un premier film intrigant vraiment réussi.
Chronic'art.com
Si Les Invisibles déçoit, c'est pour des raisons qui s'éloignent radicalement du tout-venant des premiers films. Il y a là un étrange déséquilibre entre modestie et intelligence (...) Reste la beauté admirable des scènes d'intimité (dans l'obscurité de la chambre d'hôtel), qui renvoie au meilleur des précédents films de Jousse : seuls instants, trop rares, où éclate un vrai talent de cinéaste.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Score
On reste un peu déçu par la partie écrite du scénario (la liaison entre Lio et Laurent Lucas), canevas romanesque mollasson parfois indigne d'une sitcom. Mais (...) "Les Invisibles" prouve que le fantastique français (un peu théorique, gentiment charnel et surtout très cinéphile) peut vraiment assurer.
TéléCinéObs
Tout est pensé, intellectualisé. Trop pour laisser poindre l'émotion.
Télérama
Les visites intempestives et récurrentes de Michael Lonsdale, génial en concierge abusif, ajoutent leur touche de drôlerie fêlée. Du côté de la vie sociale et diurne, le film se fait en revanche un peu gauche : Lio joue une productrice intéressée par Bruno à plus d'un titre, elle représente le monde réel, visible, qu'il faut toujours se résoudre à réintégrer. Un monde dont Thierry Jousse semble ne pas trop savoir quoi faire, assez proche en cela de son personnage. Il n'est pas plus à l'aise avec une brève échappée fantastique aux intentions lynchiennes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Un objet sonore trop identifié qui perd toute spontanéité. On se lasse des quêtes obsessionnelles du héros.