Mon compte
    Les Risques du Métier
    Note moyenne
    4,1
    294 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Risques du Métier ?

    33 critiques spectateurs

    5
    7 critiques
    4
    15 critiques
    3
    10 critiques
    2
    0 critique
    1
    0 critique
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Max Rss
    Max Rss

    203 abonnés 1 821 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2024
    Allez savoir ce qui peut parfois se passer dans la tête des mômes... Leur psychologie est complexe, mais ce qui est certain, c'est que leurs mensonges peuvent faire aussi mal que ceux des adultes. André Cayatte n'avait certes pas la virtuosité d'un Renoir, d'un Gremillon ou d'un Duvivier, mais pour traiter de sujets forts, fondés sur des histoires vraies ou non, mais toujours révélateurs des failles de la société du moment, tout en alliant pudeur et sensibilité, il était imbattable. Et comble du bon goût, il ne prenait jamais parti. "Les risques du métier" sont une preuve évidente (s'il fallait encore le prouver) de ce talent, bien plus rare qu'on pourrait le penser.
    Lucie Ferry
    Lucie Ferry

    17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2024
    La preuve que la jalousie et les commérages peuvent gâcher l'existence d'une honnête personne . . .
    Un plaisir de revoir ce film de 1967 .
    Jacques Brel n'avait pas que du talent en chanson . TRES BON FILM .
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    40 abonnés 2 482 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2023
    Comme on pouvait s'y attendre, l'ancien avocat André Cayatte décrit, à travers le délicat fait divers qu'il rapporte, le mécanisme d'une erreur policière et judiciaire. Sans toutefois occulter la dimension psychologique que requiert le sujet, Cayatte manque parfois de rigueur et d'habileté dans la mise en scène des attitudes de chacun des protagonistes.
    L'histoire est pourtant crédible, qui présente un instituteur tout ce qu'il y a d'aimable et de respectable...mais quand même accusé d'attentats à la pudeur par plusieurs de ses élèves. Victime d'un enchainement de circonstances et des affabulations de jeune filles, non pas délurées, mais fragiles et tourmentées, le personnage de Jacques Brel est l'instrument par lequel Cayatte met en cause, une fois de plus, la subjectivité et la complaisance des témoignages. Il montre du doigt l'hypocrisie, sans trop la charger ni sans la causticité satirique d'un Claude Chabrol, de la France provinciale (gaullienne).
    En définitive, les quelques réserves qu'on peut principalement opposer au film tiennent à sa mise en scène. Curieusement, Cayatte se montre bref et concis, efficace en un mot, pour certaines scènes tandis que, d'autres fois, afin d'étoffer le récit et s'imaginant devoir éventer un suspens qui n'est que relatif, il s'en remet à des flashback très explicites et pratiquement inutiles puisqu'on a déjà bien compris la situation et les personnages, tout autant que le postulat que poursuit obstinément le cinéaste.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    12 abonnés 663 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 août 2023
    « Monsieur le Juge, regardez-moi est-ce que j’ai une tête de crapule ? »

    En 2023, le pitch de ce film peut dénoter quelque peu, après tant de scandales pédophiles avérés et une légitime condamnation unanime d’actes abominables, commis parfois à l’époque où ce film a été tourné.

    Quoi qu’il en soit, si le sujet est scandaleux, tenons-nous en au film. André Cayatte a déjà fait parler de lui en présentant des thèmes de société durs, filmés sans concession. Son style, résolument réaliste, se rapproche de celui de la Nouvelle Vague malgré les critiques féroces que Truffaut émet contre le réalisateur. Les dialogues sans emphase, en phrases courtes, l’élocution monocorde des interprétations, tout renforce l’aspect documentaire filmé. L’histoire est adaptée d’un roman de l’avocat Jean Cornec (Cayatte est lui-même avocat de formation), qui a eu à défendre une affaire similaire, co-écrit avec sa femme. On pourra être surpris de retrouver Armand Jammot au scénario et aux dialogues mais cela s’explique par le fait que l’homme de télé vient de créer, quelques mois plus tôt à peine, la célèbre émission « Les Dossiers de l’écran », où un film était débattu après visionnage. Celui-ci y sera d’ailleurs diffusé le 1er juin 1976.

    Au centre de cette histoire, Jacques Brel interprète son premier grand rôle au cinéma, souhaitant s’éloigner de la scène qui l’épuise. Il signe également la musique, accompagné de son fidèle arrangeur François Rauber. Pour lui donner la réplique, on notera Emmanuelle Riva, Christine Fabrega, René Dary et des gamines dont le jeu certes un peu faux apporte une couche réaliste supplémentaire. On notera d’ailleurs la part prise par les femmes, des jeunes filles aux femmes adultes, dans une œuvre qui dénote à une époque où les castings sont ultra-majoritairement masculins.

    La caméra de Cayatte se veut la plus discrète possible et parvient, prouesse, à disparaître alors même que le réalisateur use d’artifices, comme ces arrêts sur image lorsque l’instituteur prend des photos.

    Revenons enfin au thème du film ou plutôt aux thèmes. En effet, si la mise en doute de la parole des enfants semble être au coeur de la narration (c’était le thème choisi lors de la diffusion du film aux Dossiers de l’Ecran), il en est deux autres sans doute plus importants encore et qui servent de fil rouge à la plupart des œuvres de Cayatte : la machine judiciaire et son cortège de drames et de déshumanisation ainsi que l’hypocrisie crapoteuse de la bourgeoisie. C’est sans doute ce qui rend cette œuvre intemporelle.
    Jean M.
    Jean M.

    4 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2021
    Un très beau film, porté par la sensibilité de Jacques Brel.
    A revoir ou à voir pour nous rappeler l'importance capitale de remettre en question toute accusation non étayée par des preuves. Ce dont les excités du tribunal médiatique permanent se fichent totalement : ils veulent voir les têtes tomber, peu importe la vérité.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 713 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 mai 2021
    Les Risques du Métier est un classique négligé du cinéma français. Avant la sortie de ce film personne n'avait la moindre idée des risques qui sont généralement associés à un métier. Il n'y a pas beaucoup de gens qui envisageraient qu'un innocent instituteur soit harcelé par des villageois sans que ce soit de sa faute. C'est l'un de ces rares films qui doit être ressuscité afin que la jeune génération d'aujourd'hui puisse profiter d'avoir un aperçu du célèbre chanteur français Jacques Brel dans un rôle fait pour lui. C'est avec ce film que le réalisateur français André Cayatte a décidé de jeter de l'ombre sur le sujet tabou du viol d'enfant et ses implications sur la société .Jacques Brel est absolument merveilleux dans le rôle d'un professeur d'école qui est faussement accusé de viol. Il n'y a pas beaucoup de films qui capturent la méchanceté des petits enfants comme celui ci. Ce film ne se contente pas de montrer ces petites mauviettes il décrit aussi en détail le comportement des petites gens dans un village de campagne Français...
    Bernard D.
    Bernard D.

    114 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 décembre 2020
    « Les risques du métier » d’André Cayatte avec le grand Jacques Brel dans le rôle de cet Instituteur faussement accusé de viol par une de ses élèves, revu 50 ans après sa sortie en 1967 a « vieilli ». Vieilli dans la façon dont il est tourné et dont les jeunes acteurs jouent, et surtout dans la façon dont est mené l’enquête (emprisonnement avant même que l’instruction soit close) et dans la mentalité des hommes et des femmes de ce petit village avec ses ragots et son opprobre. Mais il reste un sujet d’une grande actualité et il y a 50 ans Cayatte - qui était avocat avant de devenir écrivain puis réalisateur - avait fort bien dessiné les enjeux de ce grave sujet.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    En 1967, André Cayatte est épaulé dans l’écriture du scénario des Risques du métier par Armand Jammot, homme de télévision, auteur notamment de l’émission Les dossiers de l’écran. Ces deux amis s’attèlent ici à adapter au grand écran le livre éponyme publié la même année par Simone et Jean Cornec. Un livre inspiré d’une histoire vraie sur les témoignages ambigus d’élèves accusant leur professeur de pédophilie. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/festivals/lumiere/lumiere2019/
    Serge K
    Serge K

    14 abonnés 349 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    Bon film très bien joué, aussi bien par les adultes que par les adolescents, et bonne reconstitution des mœurs et ragots au sein de petits villages français,
    mouh M.
    mouh M.

    5 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2018
    Voilà un très bon film d'époque, bien réalisé, bien traité qui met en scène un fait de société dramatique dans un petit village populaire de France. Les dialogues sont justes et les acteurs principaux jouent bien. Brel est assez charismatique
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 442 abonnés 4 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2017
    Les Risques du métier est un film qui aborde le thème grave de la fausse dénonciation, de celle qui peut vous mener, innocent que vous êtes, devant le tribunal, et pas pour une petite peine.
    C’est du cinéma carré, sans fioriture, assez agréable mais qui, peut-être un peu trop pris par le didactisme de son message, prend des airs documentaires et un poil pédagogiques empesés.
    L’interprétation est bonne dans l’ensemble. Quelques lacunes du côté du jeu des jeunes filles, notamment Delphine Desyeux. Nathalie Nell, dans un rôle déjà délicat, impose une présence étrange, monolithique, mais qui colle plutôt bien à son personnage. Reste que c’est difficile de réellement juger son jeu, j’ai du mal à croire que ce ne soit pas Cayatte qui ait demandé une telle interprétation. Enfin… les acteurs adultes eux jouent très bien. Jacques Brel est parfait dans son rôle, tout comme Emmanuelle Riva, remarquable dans le rôle de l’épouse. De bons seconds rôles toujours crédibles et aux personnages réalistes évoluent autour de ce duo, parfois contre, et l’interprétation est un bon point de ce film.
    C’est donc plus sur le fond que des lacunes apparaissent. Comme je le disais, si le film de Cayatte se laisse suivre sans déplaisir aucun, porté par une narration peu critiquable et un propos éminemment intéressant, reste que le réalisateur part sur une dimension presque documentaire. Il en résulte un côté démonstratif, un certain manque d’émotion, et il n’y a pas tellement de tension. Finalement on n’a pas tellement peur pour le héros, Cayatte n’arrive pas à faire monter le suspens, l’intensité, et cela car ce qui l’intéresse visiblement avant tout c’est son message. Même si le film est divertissant dans l’ensemble et bien écrit, il n’a pas cette force, cette vigueur que l’on peut ressentir dans d’autres films approchant sur ce genre de situation, à l’instar de La Loi du silence d’Hitchcock. C’est un peu dommage.
    Quant à la forme elle est très classique. Mise en scène carrée, sans fioriture, avec pas mal de plans fixes, des gros plans sur les regards, c’est très appliqué mais assez roide. On ressent peut-être là encore la dimension documentaire du film. De la même manière, la photographie sans recherche particulière et les décors convaincants, le film étant tourné dans un petit village, font qu’on a vraiment une impression de réalisme, d’authenticité. Pour le coup je crois que c’était là le meilleur choix, mais cela ne dédouanait pas le réalisateur d’offrir un travail peut-être plus marquant, plus recherché, ne serait-ce que pour accentuer certaine situations dramatiques, à l’instar des troubles d’Hélène Arnaud par exemple. Je n’ai pas grand-chose à dire, sinon, sur la bande son, qui à mon sens n’apporte pas énormément au film, discrète et peu marquante qu’elle est.
    Les Risques du métier reste un film attrayant, d’abord car il n’ennuie pas, et ensuite car grâce à deux interprètes principaux à la hauteur et un sujet pertinent, il est évidemment agréable à suivre. Cayatte offre un film carré, et même s’il s’enferme presque plus dans l’essai que dans le film de fiction, ce qui à mon sens livre une œuvre polymorphe pas toujours très aboutie, ça reste du bon cinéma. 3.5
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Monté comme un polar des plus rigoureux, le film se révèle également -et contre toute attente- un étonnant thriller avec ses multiples retours en arrière, ses petits rebondissements, ses détails qui font mouche, ses faits soigneusement exposés... une véritable petite course contre la montre qui tient en haleine du début à la fin... et sans procédure procédurale procédurière outrancière, Dieu merci !
    une course contre les travaux forcés à perpétuité pour notre cher instituteur, car ça ne rigolait pas à l'époque, ce n'était pas comme maintenant...!

    Jacques Brel est très à l'aise et démontre qu'il est capable du meilleur dans un rôle dramatique et difficile. Mais il n'est pas seul : l'ensemble des acteurs et bien entendu des actrices et jeunes actrices sont à la hauteur des enjeux d'un sujet forcément scabreux et délicat, très habilement traité par le metteur en scène André Cayatte.

    Certes, il est sans doute un reproche qu'on pourrait lui faire -qui tient plus d'un choix et de son époque : on ne doute en effet que rarement ou pour ainsi dire pas du tout de l'innocence de l'instit', car c'était bien avant les "grandes affaires" de pédophilie très médiatisées qui ont suivi ici et là au cours des décennies que l'on connaît. Mais on sait aussi que l'instituteur -cela peut arriver !- n'est pas toujours coupable, et cela, le film l'illustre avec intelligence et sobriété.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 décembre 2016
    Les risque du métier est un film dramatique déjà ancien, passionnant, intelligent, remarquablement interprété, qui vous glace le sang par le message qu'il délivre : la rumeur, la calomnie peuvent être mensongères et mortelles ... Un film qu'il serait bon de repasser régulièrement à la télévision pour limiter les effets de meutes se ruant pour la curée sur des hommes parfois injustement accusés.
    labellejardinière
    labellejardinière

    89 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 octobre 2016
    A certes un peu vieilli sur la forme - et tous les interprètes, surtout les gamines, ne sont pas au top - mais ce réquisitoire de Cayatte est toujours efficace en 2016. Réalisé en 1967 - c'était alors le début de l'hystérie dans ce genre d'affaires sinistres. "Les Risques du métier"....ou comment, en l'espèce, enfantillages, rivalités mesquines entre ados, frustrations et commérages divers peuvent faire accuser bien vite une brave pâte d'enseignant spoiler: (heureusement, cela se termine bien...).
    La pédophilie, surtout par personne ayant autorité (comme par ascendant) est un grave sujet - mais encore faut-il ne pas partir du postulat selon lequel "enfance" rime forcément avec "innocence" ! Savoir distraire le faux du vrai est un art délicat - plus encore aujourd'hui, eu égard à la proximité que les mineurs ont avec le numérique. Pour un thème identique (avec une "victime" encore plus jeune - au jardin d'enfants !), voir le magnifique "La Chasse" (en 2012, au Danemark)....
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2016
    Quittant l'école en pleurs et en courant, une jeune fille traverse tout son village pour aller s'enfermer dans sa chambre. Que s'est-il passé ? Selon elle, son instituteur lui a fait des attouchements, ce qu'il dément, puis deux autres élèves vont l'accuser de pédophilie.

    Suite à ce long plan-séquence d'ouverture, Jean Cayette met peu à peu son récit en place et va mettre cet instituteur face aux témoignages des trois filles en question. Alors, et ce assez vite, il est bien difficile de croire Jacques Brel coupable, d'ailleurs c'est dans ce sens-là que va Cayette, notamment via les flash-back et lorsqu'il s'intéressera à la vie d'une des jeunes filles. Du coup, tout va tourner autour du pourquoi elles disent cela et comment peut-il s'en sortir et c'est là l'une des forces du film, tant il va nous plonger dans l'enfer que va connaitre cet instituteur abattu, sans pour autant être K-O, et réussir à nous faire passer par diverses émotions autour de son sort.

    Le sujet est très délicat, Cayette abordant la pédophilie, les faux témoignages ou encore la parole d'enfants mais tout cela est plutôt intelligemment traité, sans excès et s'intéressant surtout à la galerie de personnages où chaque rôle à son importance. Dans ce petit village, il montre aussi l'importance de l'opinion publique, capable d'injustes lynchages et comment elle peut influer, tout comme l'humiliation que va subir Brel, parfois à travers de simples scènes silencieuses qui en disent bien plus que n'importe quel mot. L'ensemble bénéficie d'une écriture solide et de qualitée, sachant toujours trouver les mots justes pour exprimer toute la complexité et difficulté de cette situation.

    Alors, s'il y a un léger regret, ce serait plus au niveau de la mise en scène où Jean Cayette, spécialiste du film judiciaire, fait plutôt bien le boulot et se montre efficace, sans pour autant être transcendant. Le sujet est similaire à celui de La Chasse de Thomas Vinterberg, pourtant on ne ressent pas complètement toute l'horreur de la situation de l'instit et la plongée en enfer qu'il y aurait dû avoir. Enfin, ça reste tout de même plus que correct et Cayette met en place une ambiance difficile et un peu lourde, prenante tout le long, trouvant toujours le bon rythme et sachant prendre son temps lorsqu'il le faut. Devant la caméra, Brel représente l'innocence même et s'en sort merveilleusement bien dans ce rôle très compliqué, son premier au cinéma par ailleurs. Face à lui, les gamines sont aussi excellentes (surtout Delphine Desyeux), tout comme Emmanuelle Riva qui ne perdra pas pied et soutiendra jusqu'au bout son mari.

    Pour son premier rôle au cinéma, le grand Jacques se fond merveilleusement dans le rôle d'un instituteur en proie à de graves accusations. Sans être totalement transcendant, Les risques du métier est efficace et traite avec intelligence et justesse de thèmes assez compliqués.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top