Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Avec Dog days, catalogue presque exhaustif des petites et grandes perfidies humaines, Ulrich Seidl atteint des abymes de noirceur. Un cauchemar d'autant plus insoutenable qu'il paraît bel et bien réel.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Arnaud Malerbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michaël Melinard
Si certains n'y ont vu qu'une vaste provocation, le jury du dernier Festival de Venise a eu le bon goût de lui attribuer son grand prix.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Entre sordide et hyperréalisme, Ulrich Seidl observe la médiocrité de ses contemporains banlieusards.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Entre FUNNY GAMES de Michael Haneke et HAPPINESS de Todd Solondz, DOG DAYS est un film brutal qui pourra cependant laisser certains spectateurs sur le chemin. On aime ou on déteste.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Reste à savoir si Seidl assume ici son sens du voyeurisme ou sa misanthropie. Selon la réponse, Dog days apparaîtra comme un film manichéen ou une vision sans concession d'une Europe sur le déclin, un avertissement ou une très salle blague. En tous les cas, comme un traumatisant film d'horreur ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Obejctif-Cinema.com
par Marc Lepoivre
(...) le parti pris documentaire et objectiviste n'empêche pas une intention moraliste. Au fond, ne les juge-t-il pas un peu ces personnages, en ne leur accordant quasiment aucune chance ou dignité ? C'est dans cette limite entre le documentaire et le moralisme que réside la grande ambiguïté de Dog days, que d'aucuns pourront estimer franchement déplaisante et antipathique.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Ouirock.com
par Laurence Berger
Portrait anthropologique d'une humanité mise à nu dans toute sa laideur et son inanité, DOG DAYS nous offre une vision stroboscopique au réalisme cru d'une modernité déstructurée, en pleine déliquescence. Sans négliger, toutefois, tout ce que, parfois, une âme pervertie recèle de souffrance et de beauté cachée...
Première
par Gérard Delorme
L'effet majeur est une fascination presque constante, seulement menacée dans la dernière demi-heure par quelques longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marine Landrot
Aussi méticuleuses qu'angoissées, ces préoccupations purement physiques impriment une cadence palpitante au film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par N. T. Binh
On remarquera l'étonnante actrice Maria Hofstätter, en auto-stoppeuse obsédée de listes, qui exaspère tous ceux qui la prennent en voiture.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
C'est ce qui rend son film inoubliable dans l'insupportable. C'est aussi sa limite. Il nous tend un miroir si aveuglant que l'on peut tout aussi bien choisir de fermer les yeux et de réduire à néant ses images, en les ignorant. L'excès et l'exaspération sont-ils d'efficaces moyens de persuasion ?
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Le film le plus détestable de l'année.
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Seidl pense du mal de la petite bourgeoisie autrichienne, il est possible qu'il ait pour cela de bonnes raisons. Mais la manière de la caricaturer aussi systématiquement inspire vite le doute sur les qualités de celui qui regarde ainsi le monde et sur sa légitimité à le juger.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Louis Guichard
Hors quelques scènes sadomaso épate-bobos, le film suscite autant d'ennui qu'il prétend en capter.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Avec Dog days, catalogue presque exhaustif des petites et grandes perfidies humaines, Ulrich Seidl atteint des abymes de noirceur. Un cauchemar d'autant plus insoutenable qu'il paraît bel et bien réel.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Si certains n'y ont vu qu'une vaste provocation, le jury du dernier Festival de Venise a eu le bon goût de lui attribuer son grand prix.
Les Inrockuptibles
Entre sordide et hyperréalisme, Ulrich Seidl observe la médiocrité de ses contemporains banlieusards.
MCinéma.com
Entre FUNNY GAMES de Michael Haneke et HAPPINESS de Todd Solondz, DOG DAYS est un film brutal qui pourra cependant laisser certains spectateurs sur le chemin. On aime ou on déteste.
Novaplanet.com
Reste à savoir si Seidl assume ici son sens du voyeurisme ou sa misanthropie. Selon la réponse, Dog days apparaîtra comme un film manichéen ou une vision sans concession d'une Europe sur le déclin, un avertissement ou une très salle blague. En tous les cas, comme un traumatisant film d'horreur ordinaire.
Obejctif-Cinema.com
(...) le parti pris documentaire et objectiviste n'empêche pas une intention moraliste. Au fond, ne les juge-t-il pas un peu ces personnages, en ne leur accordant quasiment aucune chance ou dignité ? C'est dans cette limite entre le documentaire et le moralisme que réside la grande ambiguïté de Dog days, que d'aucuns pourront estimer franchement déplaisante et antipathique.
Ouirock.com
Portrait anthropologique d'une humanité mise à nu dans toute sa laideur et son inanité, DOG DAYS nous offre une vision stroboscopique au réalisme cru d'une modernité déstructurée, en pleine déliquescence. Sans négliger, toutefois, tout ce que, parfois, une âme pervertie recèle de souffrance et de beauté cachée...
Première
L'effet majeur est une fascination presque constante, seulement menacée dans la dernière demi-heure par quelques longueurs.
Télérama
Aussi méticuleuses qu'angoissées, ces préoccupations purement physiques impriment une cadence palpitante au film.
Zurban
On remarquera l'étonnante actrice Maria Hofstätter, en auto-stoppeuse obsédée de listes, qui exaspère tous ceux qui la prennent en voiture.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
C'est ce qui rend son film inoubliable dans l'insupportable. C'est aussi sa limite. Il nous tend un miroir si aveuglant que l'on peut tout aussi bien choisir de fermer les yeux et de réduire à néant ses images, en les ignorant. L'excès et l'exaspération sont-ils d'efficaces moyens de persuasion ?
Cahiers du Cinéma
Le film le plus détestable de l'année.
Le Monde
Seidl pense du mal de la petite bourgeoisie autrichienne, il est possible qu'il ait pour cela de bonnes raisons. Mais la manière de la caricaturer aussi systématiquement inspire vite le doute sur les qualités de celui qui regarde ainsi le monde et sur sa légitimité à le juger.
Télérama
Hors quelques scènes sadomaso épate-bobos, le film suscite autant d'ennui qu'il prétend en capter.