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Une reprise ratèe de notre gouailleur « Oscar » national avec l'inègalable Louis de Funès! Un remake à la sauce Heinz de la pièce de thèâtre et du classique rèalisè en 1967 par Edouard Molinaro! Sylvester Stallone reprend donc le personnage mythique de Fufu tandis que la belle Ornella Muti et le vètèran Don Ameche succèdent à Claude Gensac et Paul Prèboist! C'est dire qu'on est totalement à l'opposè de la distribution du film original!
spoiler:
L'excellente scène de "L'embrouille est dans le sac" se trouve dans son intro, celle du truand respectè (Sly) qui promet à son paternel mourant (la lègende Kirk Douglas) de revenir dans le droit chemin!
Après c'est vaudevillesque et distrayant, sans plus, avec un Sly aux prises avec des gangsters balourds, mais peu à l'aise quand il s'agit de se glisser dans le costard noir rayè! John Landis amorçait malheureusement avec cette comèdie des 90's son dèclin...
Après c'est vaudevillesque et distrayant, sans plus, avec un Sly aux prises avec des gangsters balourds, mais peu à l'aise quand il s'agit de se glisser dans le costard noir rayè! John Landis amorçait malheureusement avec cette comèdie des 90's son dèclin...
A ce stade de sa carrière Stallone cherchait à se diversifier, à sortir de son image de gros muscles comme la fait son concurrent Schwarzy avec "Jumeaux" et "Un flic à la maternelle". Mais contrairement à l'Autrichien il fera deux gros flops autant critique que commercial avec "Arrête ou ma mère va tirer" et donc cet "Embrouille est dans le sac".
On se demande vraiment ce qui est passé par la tête de John Landis et de Stallone de faire un remake du "Oscar" de De Funes. Rien ne fonctionne dans ce vaudeville, la direction d'acteur est aux fraises, le scenario lassant et très répétitif, les gags jamais drôle s'enchainent à vitesse grand V, c'est limite gênant, le temps parait extrêmement long au visionnage.
Possiblement le pire film film de la carrière de Stallone.
On se demande vraiment ce qui est passé par la tête de John Landis et de Stallone de faire un remake du "Oscar" de De Funes. Rien ne fonctionne dans ce vaudeville, la direction d'acteur est aux fraises, le scenario lassant et très répétitif, les gags jamais drôle s'enchainent à vitesse grand V, c'est limite gênant, le temps parait extrêmement long au visionnage.
Possiblement le pire film film de la carrière de Stallone.
Remake Américain du film "Oscar" d'Edouard Molinaro ; s'il ne vaut pas l'original principalement du au fait que Stallone n'est pas aussi bon comique que De Funès et que le film manque parfois de rythme , l'ensemble est assez marrant et se laisse regarder ; je reprocherai également le fait que le personnage d'Oscar
spoiler:
ne fasse qu'une apparition et qu'il ne change pas la donne avec le mariage prévu.
Tous les français connaissent les caractéristiques de Louis de Funès : petit, chauve, maigrichon, nerveux, râleur, hystérique… Il était donc évident que son équivalent américain était… Sylvester Stallone ??? Voir l’interprète de Rocky et Rambo reprendre le rôle de notre Fufu national dans le remake d’Oscar a de quoi surprendre ! Qui a bien pu avoir eu cette drôle d'idée ?
Une fois cette surprise acceptée, L’Embrouille est dans le sac peut attirer par son générique : Ornella Muti, Marisa Tomei, Tim Curry, Chazz Palminteri, Kurtwood Smith ou encore Kirk Douglas (plus des caméos de Joe Dante et Jim Abrahams), le tout réalisé par la pointure de la comédie qu’est John Landis ! Cette équipe se réunissant autour d’une pièce de théâtre de Claude Magnier qui a déjà fait ses preuves, on pouvait espérer une belle surprise.
Hélas, John Landis a beau avoir tourné plusieurs classiques de la comédie, il semble ne pas être fait pour le vaudeville. En effet, si techniquement le film est tout à fait propre, sa réalisation manque grandement de rythme (la comparaison avec celle d’Édouard Molinaro dans le film de 1967 fait très mal) : Stallone n’est pas un acteur fait pour tenir des rôles de personnages d’hystériques comme Louis de Funès et on ressent que, contrairement à la France, le vaudeville n’est pas un genre appartenant à la culture américaine. C’est sûrement pour rattacher cette histoire à cette civilisation que le cinéaste et ses scénaristes (Michael Barrie et Jim Mulholland) ont choisi de situer le récit non plus chez un promoteur immobilier mais chez un chef de la mafia en pleine prohibition.
Cela aurait peut-être été une bonne idée si Landis ne présentait pas des gangsters hyper caricaturaux et surtout s’il n’avait pas choisi de faire surjouer ses comédiens de manière grotesque. Vu le casting prestigieux, on ne peut qu’en blâmer le réalisateur quand ce défaut touche tous les comédiens, la palme allant nettement à Marisa Tomei qui en fait des tonnes.
Si on peut apprécier le générique de début et l’aspect amusant de l’histoire de base, John Landis loupe totalement le traitement de cette dernière (il n’a visiblement pas la fibre pour le vaudeville) et nous délivre une comédie décevante. Il vaut mieux voir et revoir inlassablement l’Oscar d’Édouard Molinaro pour pleinement apprécier tout l’humour de cette pièce.
Une fois cette surprise acceptée, L’Embrouille est dans le sac peut attirer par son générique : Ornella Muti, Marisa Tomei, Tim Curry, Chazz Palminteri, Kurtwood Smith ou encore Kirk Douglas (plus des caméos de Joe Dante et Jim Abrahams), le tout réalisé par la pointure de la comédie qu’est John Landis ! Cette équipe se réunissant autour d’une pièce de théâtre de Claude Magnier qui a déjà fait ses preuves, on pouvait espérer une belle surprise.
Hélas, John Landis a beau avoir tourné plusieurs classiques de la comédie, il semble ne pas être fait pour le vaudeville. En effet, si techniquement le film est tout à fait propre, sa réalisation manque grandement de rythme (la comparaison avec celle d’Édouard Molinaro dans le film de 1967 fait très mal) : Stallone n’est pas un acteur fait pour tenir des rôles de personnages d’hystériques comme Louis de Funès et on ressent que, contrairement à la France, le vaudeville n’est pas un genre appartenant à la culture américaine. C’est sûrement pour rattacher cette histoire à cette civilisation que le cinéaste et ses scénaristes (Michael Barrie et Jim Mulholland) ont choisi de situer le récit non plus chez un promoteur immobilier mais chez un chef de la mafia en pleine prohibition.
Cela aurait peut-être été une bonne idée si Landis ne présentait pas des gangsters hyper caricaturaux et surtout s’il n’avait pas choisi de faire surjouer ses comédiens de manière grotesque. Vu le casting prestigieux, on ne peut qu’en blâmer le réalisateur quand ce défaut touche tous les comédiens, la palme allant nettement à Marisa Tomei qui en fait des tonnes.
Si on peut apprécier le générique de début et l’aspect amusant de l’histoire de base, John Landis loupe totalement le traitement de cette dernière (il n’a visiblement pas la fibre pour le vaudeville) et nous délivre une comédie décevante. Il vaut mieux voir et revoir inlassablement l’Oscar d’Édouard Molinaro pour pleinement apprécier tout l’humour de cette pièce.
C'est un film assez bancal, notamment car on sent que son concept de théâtre filmé emmerde profondément les producteurs alors que ça fait sa force, et de fait quelques scènes sont loupées ou pas aussi drôles que prévu. Mais j'ai une grosse tendresse pour ce film à cause de son casting. Chazz Palmintieri fait passer Perceval pour Einstein (et encore, ce n'est pas une vraie bonne comparaison !), Marisa Tomei est bonne comme le bon pain mais stupide à bouffer du foin, Tim Curry est EXTRAORDINAIRE (la VF est excellente mais sur les scènes de Curry elle ne peut pas lutter), et puis LA scène du film qui dure 2 secondes mais vaut à elle seule le visionnage : le
spoiler:
regard caméra
de Stallone, où il gagne définitivement ses galons d'acteur confirmé. Et la musique est malicieuse au possible. Après, c'est un très bon petit film, mais rien ne vous empêche de regarder aussi l'original !
de Stallone, où il gagne définitivement ses galons d'acteur confirmé. Et la musique est malicieuse au possible. Après, c'est un très bon petit film, mais rien ne vous empêche de regarder aussi l'original !
Probablement le meilleur film que Stallone n'ai jamais fait...un rôle à contre courrant...et Sylvestre n'essaye pas du tout d'être comique au contraire...et c'est ce qui est hilarant.
L'ayant à l'époque préhistorique gravé sur une VHS...il m'a passé en noir et blanc, (bug ?) quand je l'ai revu une seconde fois quelques mois plus tard et c'était encore meilleurs...comme à l'époque de Buster Keaton & Harold Lloyd !
L'original de de Funès est certe drôle ... mais pas tant que ce remake !
Mais ce genre de film est pour les initiés...pas pour la populace...d'où le lynchage !
L'ayant à l'époque préhistorique gravé sur une VHS...il m'a passé en noir et blanc, (bug ?) quand je l'ai revu une seconde fois quelques mois plus tard et c'était encore meilleurs...comme à l'époque de Buster Keaton & Harold Lloyd !
L'original de de Funès est certe drôle ... mais pas tant que ce remake !
Mais ce genre de film est pour les initiés...pas pour la populace...d'où le lynchage !
Assez bon, c'est simplement le remake d'Oscar avec Louis de Funes, Silvster Stallone joue bien,mais ce n'est pas Louis de Funès, de bons gags assez poussés, mais on est loin de l'original, mais ça reste musant à regarder.
Ce film est un remake du film français Oscar avec Louis de Funès. Il n'y a pas de comparaison entre le film français et la version hollywoodienne. La seule chose que vous devez savoir est que l'action se déroule dans l'Amérique des années 30 dans le monde des gangsters italiens au lieu de la France des années 60 et du monde des hommes d'affaires français. Stallone n'est pas un grand comique et L'embrouille est dans le sac n'est pas une grande comédie bien que l'on puisse rester fixé sur le film à regarder une scène après l'autre sans bénéficier d'un rythme et d'une livraison précise. Et surtout Stallone que j'aime bien dans d'autres films est loin d'être comparable a Louis de Funès...
Refaire Oscar, comédie ou de Funès fait le clown comme jamais, mais avec un acteur pas fait pour la comédie, le pari s'avère pour le moins risqué. Sans grimaces de l'acteur principales, la dose d'humour est ici assurée par des gags potaches, ou répétitifs à outrance, ou des seconds rôles qui surjouent dans la bouffonnerie. Sly Stallone, action-hero favori des classes moyennes dans les années 80 et 90, tente de varier son répertoire avec le présent film et le majestueux "Arrête ou ma mère va tirer" mais se prend les pieds dans le tapis, faute d'avoir décroché un rôle dans une vraie bonne comédie. Le métrage est sauvé par sa mise en scène soignée, sa reconstitution fidèle de l'époque de la prohibition et sa distribution de qualité (Kirk Douglas, Ornella Mutti... svp!) mais devient vite insupportable pour les raisons citées précédemment.
Moment de détente avec ce remake remarquable, ajusté à l'époque mafieuse New-Yorkaise année 30 prohibition dans un registre comique. Sylvester Stallone épate en changeant de chemise prestation autre que Rambo, ça ne peut-être qu'égal à Louis De Funès, l'air empoté nerveux clown. Le riche manoir de gangster remplace le vintage bourgeois, avec plaisir dans ce scénario et mise en scène retravaillé. Il faut trop bien expliqué du côté américain, la réalisation parle à son public qui ne jure que par lui, alors que le français est destiné aux critiques moyennes, le manoir des embrouilles est dans leurs sacs de sous-vêtements et bijoux interchangeables. Bons acteurs de théâtre, Tim Curry l'englisman flegmatique gentleman humeur humoristique, Kirk Douglas l'ancêtre n'a pas dit son dernier mot, c'est cool.
7eme critique
"L'embrouille est dans le sac" est tout simplement le remake US d'"Oscar" de 1967. Stallone campe donc le rôle de Louis de Funès, et s'en tire d'ailleurs assez bien dans ce registre pourtant bien différent de ses rôles habituels. Cependant, le film restera quelque peu ennuyeux, et d'autant plus lorsque l'on connaît l'original ; c'est pourquoi, à titre de comparaison, on préfèrera très nettement se tourner (ou se retourner) du côté de notre bon vieux Louis.
Excellent remake d'Oscar qui surpasse le film original avec De Funès. Entre le comique de situation de l'intrigue (les nombreux quiproquos) et les comportements grotesques des bandits recyclés qui accompagnent le personnage principal, mafioso repenti, on rit tout le temps, à plusieurs niveaux, et l'enchaînement ne laisse aucun temps mort.
Nous sommes loin des performances de Louis de Funès et de Claude Rich dans "Oscar" d'Edouard Molinaro mais je dois reconnaître que malgré qu'on soit spoilé lorsqu'on connaît l'histoire, ce film a tout de même un certain renouveau grâce à la version gangster et un casting pas mauvais. Ce n'est pas le top, mais ça passe, même avec Stallone dans une comédie où il ne s'en sort pas si mal.
Nicothrash
Quel étrange choix de la part de Landis d'engager Stallone pour jouer le personnage incarné par De Funès dans l' "Oscar" original. La comparaison n'est évidemment pas flatteuse pour Sly, au demeurant intéressant, face à l'inimitable comédien grimaçant, quand on connait l'original ce remake pourrait presque semblé une hérésie tant l'humour y est différent. Un humour très théâtralisé bien sûr mais qui surtout ne passe pas souvent ici, ça tombe fréquemment à plat et ce malgré quelques répliques qui font mouche. On est franchement loin du niveau du film de Molinaro, nerveux, dynamique, drôle et surtout porté par les épaules de De Funès, pour une fois Sly ne fait pas le poids ! Malgré tout ça reste amusant de le retrouver dans une comédie, il s'y essayera d'ailleurs de nouveau avec "Arrête où ma mère va tirer" avant de retourner dans son cinéma de prédilection, l'action. Le néophyte verra ici une intrigue intéressante et bien menée malgré un aspect comique assez faible mais le connaisseur aura du mal à se défaire de l'oeuvre originale, haute en couleur et bien plus drôle. Les changements scénaristiques n'y font rien, le remake de Landis souffre énormément de la comparaison d'avec son ainé et manque tout simplement d'humour, dispensable.
Loin d'être du niveau de Oscar, ce film reste tout de même une bonne comédie d'où s'en sort très bien Sylvestre Stallone et surtout Ornella Mutti.
Je trouve toujours un plaisir à le voir et le revoir de temps à autre.
Je trouve toujours un plaisir à le voir et le revoir de temps à autre.
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