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Estonius
3 541 abonnés
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4,0
Publiée le 16 décembre 2012
Un film de Robert Clouse (1975) avec Yul Brynner et Max Von Sydow. Ce film de SF apocalyptique est censé se dérouler en … 2012 (on l'a échappé belle !) Si l'on ne voit que l'action cela aurait pu être un western. Mais il n'y a pas que ça, en quelques scènes, en quelques plans on nous montre la population mondiale décimée, les survivants qui manquent de tout (et qui se battent entre-eux pour survivre). La très longue scène finale est très bonne, très angoissante aussi bien dans son action que dans ses décors. On pourra regretter quelques poncifs lourds et inutiles (le traître notamment), mais ce film reste une excellente série B.
Houla attention le produit a dépassé sa date limite de consommation, a vos risques ét périls. Bon à l'époque cela devait paraitre assez nouveau et cacher la misère.
L'une des plus mauvaises dystopies que j'ai eu l'occasion de voir. Le scénario a été bâclé façon hamburger dans un McDo Comment en est-on arrivé à ce chaos ? De plus, le film est laid. Mais attention, pas laid comme le Joker dans "Batman". Laid comme Jabba, le gros plein de soupe de "Star Wars". Le fait que ce soit les années 1970 n'excuse pas tout. Et c'est mal filmé. Le réalisateur se contente de fixer la caméra à un endroit et point-barre. Autre nuage dans le ciel de ce film, la musique. C'est moche. Autant demander à Mireille Mathieu de faire la BOF, au moins on se serait amusé. Enfin, monsieur muscles, alias Yul Brynner. Il n'a peur de rien, ne sourit jamais, ne perd aucun combat même contre 10 mecs armés jusqu'aux dents. Bref c'est une machine, impossible de s'identifier à lui. Il aurait dû mettre un tee shirt "Monsieur Propre" tellement il fait bien le ménage et étant donnée sa ressemblance physique avec le célèbre personnage de publicité. Du balai !
J'avais vu ce film enfant et c'est vrai qu'il m'avait marqué par certaines séquences telle que la scène de la hache à la fin et le bras d'honneur "personnalisé" de William Smith.... C'est avec une grande impatience et appréhension que j'ai donc revu le film sur une scène du câble et j'ai été heureux de constater qu'il a des film qui reste gravé dans nos mémoire et qui ne perdent rien de leur intensité et de leur intérêt et ni même de leur actualité quand on se décide à les revoir. New-York ne répond plus fait partie de ces films qui marque. ho bien sur, le film n'est pas si extraordinaire et si rétrospectivement, le sujet de la survie de rescapés à l"ère post-apocalyptique a été traité maintes fois, la force du film réside aussi dans le jeu des protagoniste: Max Von Sydow, chef d'un clan de rescapés qui essayent de protéger des légumes et fruits qu'ils ont réussis a faire pousser et qu'ils gardent et préservent jalousement pour essayer de sauver ce qui reste de l'humanité de la famine. De l'autre côté, il y a William Smith, inoubliable Falconetti de la série Rich Man, Poor man qui campe un chef de bande cruel et destructeur. Et au milieu, le flamboyant Yul Brynner, engagé pour protéger le clan du Baron (Max Von Sydow) des barbares attirés par cette découverte sur les fruits et légumes... Le film vaut pour ces quelques scènes fortes, le thème développé et le charisme de ces interprètes.... Un excellent film d'anticipation qui vieilli très bien et reste d'une grande actualité, .....
Au delà de quelques fulgurances esthétiques ou scénaristiques , il faut bien admettre que ce film a fort mal vieilli , même au second degrés : il est le plus souvent incohérent , sans la moindre crédibilité et pour tout dire grotesque . Quel dommage que deux acteurs aussi important se soient fourvoyé dans ce naufrage ...
Une bonne série B post apocalyptique qui repose essentiellement sur l'action et sur le charisme inégalé de Yul Brynner. La mise en scène de Robert Clouse est sobre et j'ai apprécié la qualité des décors urbains et de la photographie qui mettent tout de suite dans l'ambiance : une atmosphère de fin du monde, victime du réchauffement climatique. Même si ce n'est clairement pas son but, le film distille çà et là quelques pistes sur les conséquences d'un tel phénomène climatique : rareté de l'eau potable, culture rendue difficile... Bref; un constat désenchanté dans la grande tradition du cinéma SF des années 70.
Voilà un film d'anticipation qui s'inscrit parfaitement dans la mouvance du genre des années 70 c'est à dire pessimiste car New York ne répond plus nous décrit un futur désolé ou l'espoir dans la vie est très limité. Film solide et violent bénéficiant d'un bon scénario même s'il est loin d'exploiter tout les potentiels de l'histoire et d'une mise en scène assez vive notamment dans les combats en particuliers le duel final ; on a plaisir à retrouver Yul Brynner toujours vaillant à l'âge de 55 ans.
Ce film à mal vieilli. Et puis le réalisateur Robert Clouse c'est pas la joie. Le seul bon film de lui c'est bien Opération dragon. je m'attendais pas à grande chose pour New-York ne répond plus. Même Cyborg avec Van Damme à plus de puissance.
New-York, 2012, le réchauffement climatique à décimé l’humanité. Manhattan est devenu un territoire où les bandes rivales s’affrontent pour survivre…
On imagine aisément à quel point le budget du film a dû être dérisoire, il n’y qu’à voir comment ils ont tourné ce post-apo à New-York. De “la grosse pomme”, il ne subsiste qu’un décor en carton-pâte reconstitué dans un minuscule backlot décrépit. On ne tarde pas à découvrir qu’en réalité, le film de Robert Clouse ne sera rien d‘autre qu’un huis-clos dans ce quartier reconstitué entre 4 planches (hormis l’escapade dans le tunnel du métro) et des photos de New-York prises à la volée au lever du soleil (pour mieux simuler le calme qui règne dans la ville).
Pour le reste, c’est le calme plat, malgré un sympathique casting où se côtoient Yul Brynner, Max von Sydow & William Smith, pendant toute la durée du film, on ne peut s’empêcher de se dire qu’ils étaient tous là pour honorer des obligations contractuelles, tant ils donnent l’impression d’en faire le moins possible (pour ne pas dire qu’ils étaient tous en train de se faire ɔhier).
Pour les férus de post-apo sur fond de catastrophe climatique, autant se rabattre sur le cultissime Soleil vert (1973) de Richard Fleischer, qui n’a pas pris une ride, car contrairement à lui, New York ne répond plus (1975) s’avère bien fade et indigent, une intrigue mollassonne et un budget digne d’une Série B (mais indigne des acteurs ici présents). A la limite, on s’ennuyait moins devant le nanar Les Guerriers du Bronx (1982), c’est dire…
Le dernier film avec le grand, l'énormissime Yul Brynner! Qu'est-qu'il nous manque! Un tel charisme ne se retrouve plus aujourd'hui, c'est dommage. Dans ce film, on retrouve la recette des films de SF d'anticipation des années 70. Peur de la destruction nucléaire, peur de la famine, de la guerre pour l'eau, la nourriture, des hommes réunis en clans qui se battent pour tout, cannibalisme. On retrouve les thèmes des années 60 comme dans "Soleil vert" par exemple. Bien entendu la mise en scène a beaucoup vieillie et il y a un paquet de temps morts mais on regarde quand même avec grand plaisir, ne serait-ce que pour Yul et son visage unique (trop peu exploité malheureusement).
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2,5
Publiée le 28 février 2012
Souffrant d'un manque de moyens èvident, "The Ultimate Warrior" de Robert Clouse ne fait qu'exploiter, dans le cadre de New York au XXIème siècle (en 2012, dernière annèe avant la fin du monde paraît-il ?), la veine esthètique et thèmatique tant de "The Omega Man" de Bors Segal que du cultissime "Soylent Green" de Richard Fleischer! Les survivants se sont groupès ici en communautès! D'un côtè, se trouve le viril Yul Brynner et de l'autre la brute èpaisse William Smith, avec quelques scènes marquantes comme le combat final entre les deux protagonistes! La rèalisation de Clouse est souvent impersonnelle mais heureusement cette sèrie B du milieu des seventies se laisse voir sans aucun problème...
Un film terriblement daté seventies par son esthétique et le look de ses personnages. Ca passe difficilement aujourd'hui en dépit du charisme de Yul Brinner et de Max Von Sydow. Certains présentent ce nanar comme le précurseur des films post apocalyptiques. Peut-être, mais le scénario est d'une pauvreté affligeante, les scènes de combat ultra répétitives et mal filmées. Bref, cet Ultimate warrior apparait aujourd'hui comme une curiosité kitsch, au même titre qu'une bonne partie des Maciste et Hercule tournés à Cinecita - dont certains sont d'ailleurs nettement meilleurs..
Cinq ans après Hercule à New York qui lança la carrière de Schwarzenegger dans le registre de l'horreur, c'est à Yul Brynner que revient cette fois la tâche de jouer le costaud qu'on envoie dans la Grosse Pomme et dans le futur. Une pomme toujours véreuse qui s'essaye à récupérer le succès de Von Sydow dans L'Exorciste sans parvenir à en reproduire la moindre saveur. Pas grand chose à dire sur les décors signés Burbank (on n'est pas sur une qualité Truman et Clouse n'est certainement pas le « vrai homme » de la situation) évoquant çà et là une atmosphère d'apocalypse potable. On se prend d'attachement pour cette grille qui ferme le camp… On ne peut pas en dire autant des personnages.
Quant au jeu des deux stars, impossible de juger : l'un taiseux et impassible, l'autre doublé avec une voix sans talent ni de souci pour la propreté de la synchronisation (et oui, que voulez-vous, même la VO de ce genre d'expériences s'exporte mal). Pas de scénario non plus, juste un cadre. « Camp de survie cherche guerrier pour le défendre ». Sans même prendre le temps de dire « Yul », voilà que Brynner est au premier rang, prêt à exhiber son torse enfumé une scène sur deux. Le voilà investi de la parole (pas trop), d'un sens du devoir sorti de nulle part, et d'une addiction pour des cigares qu'il ne fume pas. Son boulot : faire travailler les cascadeurs, qui sont les travailleurs les plus méritants de ce tournage. Pas comme le compositeur Gil Melle qui nous offre une musique d'une nullité rare, à se demander s'il a tenu le script entre les mains.
L'œuvre se rattrape un peu dans la dernière partie qui est le réceptable d'une empathie attendrissante (le jeu ambigu de Brynner se prêtait bien à ça, au moins). Autre bon point : avoir achevé les souffrances du personnage de Von Sydow dans la scène d'un lynchage qui surestime largement son symbolisme, faisant échapper l'acteur à son destin de finir sur des petites îles, fussent-elles scandinaves ou nord-caroliniennes. Clairement pas l'œuvre du quart de siècle qu'elle entame.
La série B qui aurait inspiré "New York 1997" et "Mad Max" ? Peut être ? Mais le film avec ses figurants à moustache habillé comme des danseurs de moderne jazz , ses décors en carton pâte, et ses scènes de diaporama pour économiser le peux de $ de la production, restera un Nanar cheap et désuet !!!
Encore un film, qui sous couvert de science-fiction, n'ai en fait qu'un simple film d'action. On y voit en effet un Yul Bruner jouer le rôle d'un personnage assez insipide, droit et fort qui à lui seul va sauver la race humaine. Plus des deux tiers du film sont des scènes de bastonnages mal réalisées. Il y a très peu de choses sur la survie des gens et sur les origines de la situation elle-même. Ajoutez à cela une réalisation digne d'un épisode de Starky et Hutch (l'humour en moins) et une musique ridicule. Robert Clause est plus intéressant dans ces films de karaté avec le très connu Bruce Lee.