Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Avec une documentation réduite, le cinéaste a ainsi réussi à rendre la personnalité de soeur Alice très présente, très proche, et, à travers elle, à nous raconter les déchirements historiques de l'Argentine.
Cinéastes
par Emmanuel Vincenot
(...) le travail du cinéaste permet (...), grâce à la touchante et pertinente utilisation de lettres écrites par la religieuse à sa famille, de faire émerger une trajectoire personnelle d'abord placée sous le signe de la naïveté, mais qui finit par déboucher sur une prise de conscience sociale et politique.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Très diffusé en Argentine (en salles mais aussi grâce aux réseaux associatifs, aux syndicats, aux écoles), le film d'Alberto Marquardt s'appuie sur la correspondance de soeur Alice à sa famille et les témoignages des femmes impressionnées par sa gaieté, son charisme. Il entend participer à la dénonciation de l'impunité dont bénéficient aujourd'hui encore militaires et tortionnaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Emmanuel Chicon
Le résultat, aujourd'hui sur les écrans, est mitigé. Yo, sor Alice (...), distingué au Festival de cinéma latino-américain de La Havane en 2001 et montré lors de l'édition 2003 des Rencontres du cinéma d'Amérique latine à Toulouse, vaut, avant tout, pour l'évocation d'un personnage hors normes.
L'Obs
par Bernard Achour
Animé par un désir de justice et de vérité devant lequel on ne peut que s'incliner, ce documentaire, par ailleurs un peu mou, revient sur la vie de la disparue avec autant de chaleur que d'indignation rentré.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Sophie Grassin
(...) Alberto Marquardt rend à travers cette histoire modeste et salutaire un visage aux 30 000 victimes de la junte militaire.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Cécile Mury
Au-delà du portrait d'une jeune femme vive et aventureuse, brossé avec sensibilité, le cinéaste revisite les années de la dictature argentine, et le véritable plan d'extermination des opposants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Avec une documentation réduite, le cinéaste a ainsi réussi à rendre la personnalité de soeur Alice très présente, très proche, et, à travers elle, à nous raconter les déchirements historiques de l'Argentine.
Cinéastes
(...) le travail du cinéaste permet (...), grâce à la touchante et pertinente utilisation de lettres écrites par la religieuse à sa famille, de faire émerger une trajectoire personnelle d'abord placée sous le signe de la naïveté, mais qui finit par déboucher sur une prise de conscience sociale et politique.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Très diffusé en Argentine (en salles mais aussi grâce aux réseaux associatifs, aux syndicats, aux écoles), le film d'Alberto Marquardt s'appuie sur la correspondance de soeur Alice à sa famille et les témoignages des femmes impressionnées par sa gaieté, son charisme. Il entend participer à la dénonciation de l'impunité dont bénéficient aujourd'hui encore militaires et tortionnaires.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Le résultat, aujourd'hui sur les écrans, est mitigé. Yo, sor Alice (...), distingué au Festival de cinéma latino-américain de La Havane en 2001 et montré lors de l'édition 2003 des Rencontres du cinéma d'Amérique latine à Toulouse, vaut, avant tout, pour l'évocation d'un personnage hors normes.
L'Obs
Animé par un désir de justice et de vérité devant lequel on ne peut que s'incliner, ce documentaire, par ailleurs un peu mou, revient sur la vie de la disparue avec autant de chaleur que d'indignation rentré.
Première
(...) Alberto Marquardt rend à travers cette histoire modeste et salutaire un visage aux 30 000 victimes de la junte militaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Au-delà du portrait d'une jeune femme vive et aventureuse, brossé avec sensibilité, le cinéaste revisite les années de la dictature argentine, et le véritable plan d'extermination des opposants.