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Votre avis sur Minority Report ?
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Bof bof ... Je me suis ennuyé en regardant ce film. Je ne suis pas très amateur de SF à la base mais comme le réalisateur s'appelle Spielberg et que la tête d'affiche se nomme Tom Cruise je me suis laissé tenté. Mais au final je suis déçu. Le scénario est compliqué et les scènes d'action manquent de punch. Les décors sont beaux mais les images sont ternes. Vu une fois ça me suffit.
Combo gagnant ... scénario de PK Dick maître de la SF, réalisation Spielberg, et Tom Cruise en acteur principal. Des moyens pour en faire une expérience immersive. Le résultat est détonnant ; superbe ode à la science-fiction d anticipation sans temps morts. Certes l aventure est classique mais ça reste un divertissement de qualité spectaculaire
Un film de science-fiction anticipation au scénario ultra efficace. Un de mes Spielberg préférés et un des rares films avec un Tom Cruise qui me plait
Après des films comme Rencontre Du troisième type, E.T ou encore A.I, Steven Spielberg choisit cette fois ci de montrer une autre vision SF en adaptant le roman de Philip K Dick. Une vision sans aucun doute moins personnelle que les films que je viens d'énoncer, mais pas pour autant un film moins intéressant.
Spielberg arrive à créer un véritable film policier dans un univers futuriste. Porté par un scénario brillant plein de retournements de situation, ainsi que d'un réalisation exemplaire, l'univers et l'atmosphère instauré sont grandiose. Une atmosphère bien sombre notamment grâce à une photographie teinté de bleu magnifique.
Le rythme est haletant, les temps fort/temps faible sont très bien gérés. Les péripéties sont dingue, on vit de vraies montagnes russes émotionnelles. Et plusieurs d'entre elles restent gravés, bien aidé par les fulgurances de mise en scène de Spielberg. Je pense par exemple à la scène des araignées robots qui fouillent l'immeuble, sûrement le moment qui m'a le plus cassé la gueule du film.
Minority Report n'oublie pas de traité de véritable thèmes forts et très actuels pour certains. La question de l'hyper sécurité, de l'emprisonnement anticipé et abusif, l'exploitation (via les precogs) ou même les horreurs commises ou orchestrées par les grands groupes et hauts placés.
Je voudrais juste glissé un mot sur Tom Cruise qui, film après film, s'impose comme un de mes acteurs favoris. Il a quelque chose d'unique en lui, quelque chose qui fait qu'il a une force pour incarner des personnages qui lui collent a la peau. Encore une fois il est énorme.
Minority Report c'est un grand film, un polar SF au scénario très fournis et à l'univers unique. C'est un film à ne pas négliger dans la filmographie de Spielberg, vraiment pas, il y fait un travail admirable, comme souvent certes, mais dans un style cette fois ci inédit.
Il en aura exploré des styles différents le papi Spielberg, un de plus à son compteur.
Spielberg arrive à créer un véritable film policier dans un univers futuriste. Porté par un scénario brillant plein de retournements de situation, ainsi que d'un réalisation exemplaire, l'univers et l'atmosphère instauré sont grandiose. Une atmosphère bien sombre notamment grâce à une photographie teinté de bleu magnifique.
Le rythme est haletant, les temps fort/temps faible sont très bien gérés. Les péripéties sont dingue, on vit de vraies montagnes russes émotionnelles. Et plusieurs d'entre elles restent gravés, bien aidé par les fulgurances de mise en scène de Spielberg. Je pense par exemple à la scène des araignées robots qui fouillent l'immeuble, sûrement le moment qui m'a le plus cassé la gueule du film.
Minority Report n'oublie pas de traité de véritable thèmes forts et très actuels pour certains. La question de l'hyper sécurité, de l'emprisonnement anticipé et abusif, l'exploitation (via les precogs) ou même les horreurs commises ou orchestrées par les grands groupes et hauts placés.
Je voudrais juste glissé un mot sur Tom Cruise qui, film après film, s'impose comme un de mes acteurs favoris. Il a quelque chose d'unique en lui, quelque chose qui fait qu'il a une force pour incarner des personnages qui lui collent a la peau. Encore une fois il est énorme.
Minority Report c'est un grand film, un polar SF au scénario très fournis et à l'univers unique. C'est un film à ne pas négliger dans la filmographie de Spielberg, vraiment pas, il y fait un travail admirable, comme souvent certes, mais dans un style cette fois ci inédit.
Il en aura exploré des styles différents le papi Spielberg, un de plus à son compteur.
Jonathan M
Tom Cruise fait figure d'éternel enfant qui s'amuse dans des films pour grandes personnes en quête d'action. A la croisée avec une science fiction audacieuse signée Steven Spielberg himself, sous couvert d'une nouvelle de Philip K.Dick. Un film de sensation, qui s'amuse avec la temporalité et l'utopie d'un monde sans crime. Le postulat intéressant est la remise en cause d'un tel procédé, où la limite d'éradiquer des pseudos suspects qui sont sur le point de passer à l'acte. Minority Report repose essentiellement sur ce principe, et sur la dérive d'un tel système futuriste mais pas dénué de pertinence. Visuellement, l'oeuvre a plutôt bien vieillit.
"Minority Report" est inspiré d'une nouvelle de K. Dick, c'est donc du lourd côté scénario et il reste visuellement très convaincant malgré le passage du temps. C'est donc un film de science-fiction aux bases solides, mais 'malheureusement' il est réalisé par le 'Steven Spielberg commercial'. Spielberg est un excellent réalisateur, son talent n'est pas à remettre en cause, mais ici il ponctue son film de petits moments amusants ou d'action too much qui passent sans problème dans un "Indiana Jones" et qui ici viennent briser une ambiance globale très sérieuse. Toute la séquence 'des yeux' est symptomatique, on a droit à un moment véritablement incroyable, limite malsain, désamorcé par la scène suivante (
spoiler:
celle des yeux qui roulent par terre
), totalement inutile, ou comme celle spoiler: des plantes mutantes
assez ridicule pour donner un autre exemple. Et c'est dommage, car en épurant son film de ces quelques moments, certes on avait quelque chose de moins grand public, mais on aurait eu un monument incontestable du cinéma SF.
), totalement inutile, ou comme celle spoiler: des plantes mutantes
assez ridicule pour donner un autre exemple. Et c'est dommage, car en épurant son film de ces quelques moments, certes on avait quelque chose de moins grand public, mais on aurait eu un monument incontestable du cinéma SF.
Un bijou de thriller SF réalisé d'une main de maître par Steven Spielberg. Le scénario malin maintient en haleine durant cette "course contre le meurtre" avec un grand Tom Cruise en fugitif victime d'un complot. Minority Report est également une claque visuelle qui n'oublie pas de faire réfléchir le spectateur.
Bientôt 20 ans que ce film est sorti et il faut reconnaître qu'il a visuellement très bien vieilli.
L'intrigue est prenante et comme tout bon film de SF nous questionne sur notre société d'aujourd'hui.
On peut regretter une certaine facilité ou naïveté dans la conclusion mais saluer la réalisation et l'interprétation solide de Cruise qui était encore un superbe acteur qui nous fait ressentir la détresse de son personnage. (Accepterait-il aujourd'hui de jouer un junkie ??)
Son pseudo adversaire Farrel nous offre aussi une prestation pleine de promesses pour l'avenir
L'intrigue est prenante et comme tout bon film de SF nous questionne sur notre société d'aujourd'hui.
On peut regretter une certaine facilité ou naïveté dans la conclusion mais saluer la réalisation et l'interprétation solide de Cruise qui était encore un superbe acteur qui nous fait ressentir la détresse de son personnage. (Accepterait-il aujourd'hui de jouer un junkie ??)
Son pseudo adversaire Farrel nous offre aussi une prestation pleine de promesses pour l'avenir
Minority Report est un film américain réalisé par Steven Spielberg en 2002, adaptée de la nouvelle éponyme de Philip K. Dick. C’est un film de science fiction se déroulant en 2054 à Washington qui raconte l’histoire de Tom Anderson, interprété par Tom Cruise, le chef de l’unité de l’organisation Précrime qui a pour but d’arrêter les criminels avant qu’ils commettent un meurtre, grâce aux precogs, trois mutants qui ont la capacité de prédire ces meurtres. Un jour, il se retrouve accusé par une de ces prédictions d’un meurtre d’un homme qu’il ne connaît pas. Il part donc en fuite, pourchassé par ses ex-collègues,
spoiler:
et découvre en chemin des révélations sur cette organisation. Il renonce à tuer l’homme prédit, qui était l’envoyé d’un complot contre précrime, et ses révélations sont exposées au monde entier: la technologie Précrime est arrêtée.
Le film développe donc des sujets tels que les paradoxes temporels, la présomption d'innocence, et l’atteinte à la vie privée. spoiler: En effet, on peut voir que Tom Anderson ne tue pas l’homme qu’il était supposé tuer, ce qui peut peut-être s’expliquer par le fait qu’il savait ce qu’il allait se produire. Le film traite du sujet du paradoxe temporel différemment que ce qui est souvent fait, contrairement à d’habitude où c’est le futur qui modifie le passé et qui se modifie lui même de ce fait, comme dans le paradoxe du grand père inventé par Barjavel, ici, c’est le présent qui modifie le futur vu par l’intermédiaire de visions. La présomption d’innocence est un des messages clé du film, car, comme on peut le voir Précrime comporte des erreurs et les précogs ne sont pas fiables. Le propos est clair: ce qui n’est pas arrivé n’est pas une justification pour être arrêté. De plus, nous pouvons voir que tous les prisonniers de Précrime sont enfermés, pour une longue durée car nous pouvons voir que les premiers accusés sont encore là en 6 ans. La justice peut être remise en question car les “futurs criminels” sont jugés uniquement par deux juges par visioconférence, et ces futurs criminels n’ont pas le droit à un avocat, contrairement à l’homme qui devait être tué par Anderson, ce dernier qui lui en propose un. L'atteinte à la vie privée est un des sujets mineurs du film, dans la fuite d’Anderson, il passe par des centres commerciaux qui reconnaissent ses yeux pour lui proposer des publicités personnalisées.
Minority Report est un film très fort: on est plongés dans l’histoire grâce au talent d’acteur, en particulier celui de Samantha Morton, qui joue la précog Agatha. Vous êtes plongés pendant deux heures 30 dans le monde dystopique de Washington en 2054 où les voitures autonomes et les engins volants sont d’ordinaire. C’est également une réussite scénaristique, au vu des nombreux messages du films, mais aussi de montage, surtout celui de la première séquence qui est magistral, et des effets spéciaux présents dans presque tous les plans, qui font un sans-faute. Le seul bémol est la fin du film, spoiler: qui est une “happy end”, alors que tous les éléments étaient là pour faire de film une vraie tragédie.
écrit pour l'option CAV
Le film développe donc des sujets tels que les paradoxes temporels, la présomption d'innocence, et l’atteinte à la vie privée. spoiler: En effet, on peut voir que Tom Anderson ne tue pas l’homme qu’il était supposé tuer, ce qui peut peut-être s’expliquer par le fait qu’il savait ce qu’il allait se produire. Le film traite du sujet du paradoxe temporel différemment que ce qui est souvent fait, contrairement à d’habitude où c’est le futur qui modifie le passé et qui se modifie lui même de ce fait, comme dans le paradoxe du grand père inventé par Barjavel, ici, c’est le présent qui modifie le futur vu par l’intermédiaire de visions. La présomption d’innocence est un des messages clé du film, car, comme on peut le voir Précrime comporte des erreurs et les précogs ne sont pas fiables. Le propos est clair: ce qui n’est pas arrivé n’est pas une justification pour être arrêté. De plus, nous pouvons voir que tous les prisonniers de Précrime sont enfermés, pour une longue durée car nous pouvons voir que les premiers accusés sont encore là en 6 ans. La justice peut être remise en question car les “futurs criminels” sont jugés uniquement par deux juges par visioconférence, et ces futurs criminels n’ont pas le droit à un avocat, contrairement à l’homme qui devait être tué par Anderson, ce dernier qui lui en propose un. L'atteinte à la vie privée est un des sujets mineurs du film, dans la fuite d’Anderson, il passe par des centres commerciaux qui reconnaissent ses yeux pour lui proposer des publicités personnalisées.
Minority Report est un film très fort: on est plongés dans l’histoire grâce au talent d’acteur, en particulier celui de Samantha Morton, qui joue la précog Agatha. Vous êtes plongés pendant deux heures 30 dans le monde dystopique de Washington en 2054 où les voitures autonomes et les engins volants sont d’ordinaire. C’est également une réussite scénaristique, au vu des nombreux messages du films, mais aussi de montage, surtout celui de la première séquence qui est magistral, et des effets spéciaux présents dans presque tous les plans, qui font un sans-faute. Le seul bémol est la fin du film, spoiler: qui est une “happy end”, alors que tous les éléments étaient là pour faire de film une vraie tragédie.
écrit pour l'option CAV
Comme la plupart des films du maître "Minority Report" n'a quasiment pas pris une ride malgré les années qui passent. Une œuvre de science fiction maîtrisée d'un bout à l'autre et très bien ficelée. Pour sa première collaboration avec Tom Cruise, Steven Spielberg est parvenu à sublimer la nouvelle de Phillip K.Dick. La réalisation est excellente à l'image de la somptueuse (et tendue) scène des Spiders. Un moment de mise en scène anthologique dans la très longue filmographie du cinéaste. Tom Cruise est comme souvent impeccable dans son rôle et rajoute du peps dans le métrage. Bref, un très bon film de SF qui se laisse toujours revoir avec un plaisir évident.
Le scénario est très bon et le récit prenant mais l'entre soi d'hommes blancs est trop problématique aujourd'hui.
L'intrigue du film est intéressante cependant les couleurs du films m'ont un peu déranger même si on s'y habitue au bout d'un moment.
Un plaisir à revoir ce film. L'idée du film est géniale et propice à réflexion. Tom Cruise est excellent comme à son habitude. La narration est fluide, limpide contrairement à d'autres films de science fiction plus récents qui se donnent comme but ultime de perdre le spectateur dans un écran de brouillard pseudo-scientifique incompréhensible (car n'ayant aucun sens et n'ayant en fait aucune base scientifique) tels Inception, Tenet. Les effets spéciaux sont au service de l'histoire et non pas une attraction principale et 20 après le film a à peine vieilli (le mur d'images controlé par les gestes, le ciblage publicitaire sont saisissant d'actualité ). Ajoutez à cela quelques pointes d'humour réussies et savamment dosées, on ne voit pas le temps passer et on aurait même aimé voir d'autres séquences dans cet univers (d'autres arrestations
spoiler:
avant que John Anderton soit impliqué directement
, que se passerait-il en cas de légitime défense ?) Le savoir-faire et la maitrise de Spielberg associé à l'imaginaire de Philip K. Dick donne un chef d'oeuvre. 20 après la question se pose tout de même si un tel savoir-faire n'est pas en voie de disparition à Hollywood.
, que se passerait-il en cas de légitime défense ?) Le savoir-faire et la maitrise de Spielberg associé à l'imaginaire de Philip K. Dick donne un chef d'oeuvre. 20 après la question se pose tout de même si un tel savoir-faire n'est pas en voie de disparition à Hollywood.
Steven Spielberg prouve qu'il est un maître dans l'univers de la science-fiction. Avec Minority Report, il réalise un film futuriste, dynamique et tout à fait convenable.
Adapté d'une œuvre de Dick , Spielberg nous livre un bon film de SF lorgnant sur l'anticipation. Bien rythmé , avec des bonnes scènes d'action et du suspense , Minority Report tient en haleine son spectateur , et Cruise fait du bon boulot dans le rôle d'Anderton , et les autres acteurs également. Si j'ai un reproche à faire , c'est que le twist traditionnel du traître se voit longtemps à l'avance , et personnellement j'ai deviné l'identité du coupable très tôt. C'est dommage car ça m'a un peu gâché le film ; néanmoins c'est objectivement du bon Spielberg et je ne me suis pas ennuyé en le visionnant.
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