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    Minority Report
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    4,1
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    885 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 avril 2014
    Très bon film de science-fiction. Le scénario est impeccable, Tom Cruise et Colin Farrell sont parfaits dans leurs rôles (le reste du casting aussi), les effets spéciaux vraiment soignés et le suspense bien présent... Moi qui étais plutôt réticente avant de le voir, je dois dire que je suis agréablement surprise. "Minority Report" vaut un bon 4/5. Bravo Monsieur Spielberg.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2014
    Un bon film de science-fiction de Steven Spielberg, avec des innovations visuelles géniales et un scénario bien travaillé, Tom Cruise est dans son élément et le reste du casting répond aux attentes. La réalisation, ainsi que la bande son de John Williams, sont totalement dans le style Spielberg, reconnaissable entre mille, le tout est extrêmement efficace niveau grand public et donne une vision futuriste savoureuse et vraiment inventive. Adaptation d'une nouvelle de Philip K. Dick, l'histoire se place en 2054 où un service pré-crime peut anticiper les meurtres grâce aux visions des précogs, jusqu'à ce que l'agent John Anderton (Tom Cruise) se retrouve inculpé, il prend alors la fuite ... Le film est assez prenant, ça reste pour moi avant tout un divertissement, cependant je l'ai trouvé personnellement assez inégal, surtout au milieu du long métrage, ça reste personnel mais je fini par inévitablement me lasser en quelque sorte de ce genre d'intrigue, et certains dialogues sont un peu trop longs (comme celui entre Anderton et la conceptrice de pré-crime). Mais l'univers reste vraiment incroyablement créatif et visionnaire, à niveau là c'est vraiment bluffant, on passe un bon moment de cinéma SF, et le tournant scénaristique de la confrontation Anderton-Léo Crow donne un second souffle au film et nous offre une dernière demi heure intéressante et plus ou moins haletante. La fin est carrément gérée par le charisme du toujours énorme Max Von Sydow et le talent de Tom Cruise, niveau rebondissement on est servi, le tout laissant sur un ressenti positif bien qu'un poil conformiste. Pour conclure "Minority Report" reste un des meilleurs films de SF de Steven Spielberg mais s'essouffle malheureusement trop par moment pour en faire une pièce maîtresse de sa filmographie.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2014
    "Minority Report" reflète une vision très sombre du futur de l'humanité, mais une vision cohérente et crédible qui soulève de nombreux questionnements. Ce monde qui nous est présenté est d'un gris déprimant mais cette apparence est en accord avec la société elle-même : le libéralisme semble omniprésent tandis que la solitude des individus n'est que renforcée, et l'augmentation de la sécurité n'est due qu'à des dispositifs plus que douteux. L'arrière-plan est ainsi extrêmement développé et la densité des recherches de Spielberg se fait ressentir : les détails sont nombreux et construisent un univers où rien n'est laissé au hasard. Le tout est moins enchanteur que ses précédents films de science-fiction mais tout de même pas aussi désespéré que "Blade Runner", qui fait un peu office de mètre-étalon dans le domaine de la dystopie réaliste.
    "Minority Report" est aussi un thriller rythmé grâce à la maîtrise du cinéaste : les scènes d'action sont belles et haletantes et les rebondissements permettent au scénario de varier les situations. On a ainsi droit entre deux poursuites à l'exploration des différentes facettes de ce monde : la scène pendant laquelle John doit attendre que ses nouveaux yeux soient définitivement mis en place est un excellent exemple de ces ralentissements de rythme qui garantissent néanmoins une tension toujours aussi élevée. La séquence où les spyders se déplacent dans l'immeuble à la recherche du fugitif est d'ailleurs l'une des plus belles du film.
    Ainsi, sans être le meilleur long-métrage de Spielberg, "Minority Report" est un jalon dans sa filmographie, une œuvre forte et dérangeante qui se veut un blockbuster sérieux là où le ludique l'emporte souvent chez lui sur la réflexion.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 avril 2014
    Et si le futur c'était ça ? On en prend la voie, ça fait peur mais je le vois bien comme c'est décrit dans cette réalisation, très bien, Tom cruise était encore bon à ce moment là !
    clanki r.
    clanki r.

    7 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2014
    Un film qui semble assez crédible sur ce que pourrait bien être le monde du s, action, on est véritablement plongé dans les années 2050 avec une vraie réflexion...
    Benjub
    Benjub

    41 abonnés 597 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2014
    L'œuvre de Spielberg est tout simplement un régale que ce soit par ces effets spéciaux stupéfiants ou bien alors par le jeu d'acteur de Tom Cruise plus que jamais au sommet.
    Chris46
    Chris46

    514 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2014
    Minority report très bon thriller de science fiction de Steven Spielberg . L'histoire se déroule dans le futur en 2054 . La société a réussit a éradiquer le meurtre en se dotant du système de prévention le plus sophistiquer du monde Grâce a trois personnes extralucides nommer les precogs qui ont des visions des futurs meurtres . Une agence nommer précrime diriger par jonh Anderton ( Tom Cruise ) se sert des precogs pour capter leur visions diffuser ensuite sur un écran . Ils voient ainsi a l'avance les futurs meurtres et peuvent ainsi empêcher a l'avance toute tentative de meurtre et arrêter les futur meurtriers . Jusqu'au jour ou les precogs on une vision ou ils voient que jonh Anderton va commetre un meurtre dans les 36 heures . Persuader qu'il s'agit d'un complot jonh prend alors la fuite pour tenter de déjouer ce complot et prouver son innocence ...
    Avec minority report Steven Spielberg signe un très bon thriller de science fiction . Le casting est excellent avec a sa tête Tom Cruise excellent dans le rôle de jonh Anderton cette agent accuser d'un futur meurtre qui va se démener comme un dingue pour tenter de prouver qu'il est victime d'une machination.
    Le scénario assez originale adapter d'une nouvelle de Philip k. Dick est excellent et très prenant . On est tenu en haleine du début a la fin devant ce thriller futuriste remplit de suspense , de rebondissement et d'action avec aussi quelques touches d'humour .
    Les effets spéciaux sont très réussit et se fonde parfaitement dans le décors donnant vie a un superbe univers futuriste assez réaliste ou il fait bon s'évader . Un très bon divertissement .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 avril 2014
    Un marathon couru à la vitesse d'un sprint, sans jamais s'essoufler ...
    Benjamin A
    Benjamin A

    713 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2015
    En 2054 on sera en mesure de détecter un criminel avant qu'il ne le devienne et c'est à travers la division Pré-crime que ça fonctionne. L'agent John Anderton en est un de leurs meilleurs représentants, mais que se passera-t-il si un jour, il est lui-même désigné comme futur coupable ?

    En ce début du XXIème siècle, Steven Spielberg semble vouloir devenir plus mature et montrer qu'il est capable de se détacher de sa vision plus béats, où il a excellé par le passé. Pour cela, il adapte un thriller sombre, complexe et futuriste de Philip K. Dick où un homme va se retrouver traqué pour un meurtre qu'il n'a pas encore commis, sans qu'il ne sache pourquoi et tant sur le fond que sur la forme, il livre là un film brillant.

    Dès la vision de la pub pour la pré-crime vendant une vie sûr, paisible et sans meurtres, Spielberg commence à mettre en place une ambiance inquiétante. Il nous emmène dans un futur assez proche que l'on pourrait confondre avec notre réalité si ce n'est l'avancement technologique et l'utilisation de la génétique, toujours avec pour but de sécuriser la population et toujours avec un attrait politique se cachant derrière. Mais finalement, Spielberg montre l'inquiétude et la noirceur de cette recherche absolue de la sécurité. Ici tout est contrôlé, les scanners rétiniens sont en place et surtout tout est anticipé et l'intention de meurtres devient le meurtre, il n'y a plus aucune limite.

    Tout le long, il sublime ce futur et le rend inquiétant à travers la vision de John Anderton où paranoïa et dangerosité sont au rendez-vous. Car Spielberg n'oublie pas, en plus de développer plusieurs thématiques sur l'homme et le futur, de raconter une histoire, celle d'un homme rattrapé par son futur, mais aussi son passé et les événements lié à la perte de son fils. Cherchant à découvrir la faille de pré-crime, il va aussi découvrir qui il est et sa souffrance ne fera que s'accentuer. Une histoire à laquelle Spielberg donne de l'intérêt, du rythme, de la tension et de l'intensité. Palpitant de bout en bout, on ne décroche à aucun moment tant Spielberg semble maîtriser cette passionnante et complexe intrigue. À travers John Anderson (génialement interprété par Tom Cruise), il développe le traumatisme et la culpabilité lié à la perte d'un proche. Il donne une atmosphère très sombre à son récit et ambigu, notamment autour des divers personnages gravitants autour de lui où mensonges, manipulations, meurtres et jeux de dupes sont de mises.

    Sur la forme c'est là aussi une leçon de cinéma. Sobre et sans lourdeur, il use d'un filtre bleu renforçant le climat d'inquiétude et de froideur de ce futur et à travers l'image Spielberg retranscrit très bien toute la noirceur du récit. Sachant faire peu à peu monter l'intensité dans son récit, il met en place plusieurs séquences inoubliables où la tension est à son comble comme en témoignent l'introduction, la fuite d'Anderton ou la traque dans l'immeuble lorsqu'il subit une opération sur les yeux. Bénéficiant d'interprétations sans failles et d'une bande originale de qualité, il renforce tout le long l'ambiguïté, la noirceur et le mystère autour des enjeux et personnages.

    Spielberg met en avant les failles d'un système et nous projette dans un futur similaire à notre présent où l'on est traqué pour une intention et non un fait. Un film d'une grande noirceur et surtout une oeuvre effrayante, intelligent et palpitante... Brillant.
    sword-man
    sword-man

    85 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 février 2014
    Premier film post 11 septembre pour Steven Spielberg, "Minority Report" enfonce encore un peu plus le clou dans sa filmographie adulte, principalement post-Schindler. Il est important de replacer "Minority Report" dans son contexte, car ses thèmes abordés font songer aux conséquences des attentats commis au World Trade Center. L'ultra sécurité est très courante aux états unis, mais jamais elle n'avait pris d'allure aussi effrayante dans un film de science fiction. Les crimes étant prédit, il est imposible de commettre un meurtre. Mais peut on condamner une personne qui n'a ( pas encore ) rien fait ? Peut on flicer toute la population au nom de la sécurité et la tranquilité ? Il y a le pour et le contre mais l'idée est effrayante. "Minority Report" était innovant aussi dans sa manière d'aborder le futur au cinéma. Spielberg a réuni des spécialistes de divers domaines scientifiques pour débattre du futur et leurs idées ont intégrés le film. Beaucoup sont peu enviables comme la publicité personnalisé à chaque coin de rue. Certaines sont cools comme l'écran projecteur en 3D. D'autres deviennent réalité comme le contrôle des images à la voix ou au doigt. "Minority Report" est une course poursuite virtuose contre le futur, un concentré de cinéma incroyable, une claque, un classique du genre.
    Sebastien s
    Sebastien s

    11 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2014
    Ce film est devenu une référence pour beaucoup de monde car l'histoire est original mais alors j'ai détesté l'image avec cette dominante de bleu.
    Vrakar
    Vrakar

    41 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2014
    "Minority Report" est un excellent film de SF adapté d'une nouvelle de Philippe Dick, auteur qui a inspiré de nombreux réalisateurs. Cette fois-ci, c'est Spielberg qui s'y colle. Et de quelle manière! Il faut attendre la fin du film pour retrouver ses flons-flons habituels. Autrement, on a vraiment pas l'impression de voir un Spielberg. Même Tom Cruise se révèle être excellent, hormis quand il feint d'être triste. La débauche de SFX est parfaitement répartie, le traitement très contrasté de l'image ne pouvait pas coller mieux à une ambiance à la "Blade Runner", les acteurs sont fabuleux, le scénario intelligent, les mises en scène dantesques, la bande son et les trucages sonores irréprochables. On approche des sommets. Points faibles, les pré-cogs qui devinent un meurtre futur. Pourquoi pas. Et les ouin-ouin 'à la Spielberg' gâchent certains passages à la fin. Hormis cela, "Minority Report" est une petite pépite du cinéma SF.
    Martin_cinéphile
    Martin_cinéphile

    3 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2014
    Je ne suis pas un fan de SF mais il faut avouer que Minority Report est une réussite scénaristique et visuelle : de bons retournements, une intrigue et un suspens tenus jusqu'au bout du film et des effets spéciaux époustouflants ! A voir.
    guifed
    guifed

    64 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2014
    Dans la droite lignée de A.I Intelligence Artificielle, Steven Spielberg s'attaque au genre surexploité du film d'anticipation. Sauf que cette fois, le film est réussi. Il fait même partie des meilleurs films de Spielberg, à n'en pas douter.
    Il y a d'ailleurs mis les moyens (comme souvent, me direz-vous), en tournant plus de 450 plans à effets spéciaux. Techniquement, Minority Report se situe dans ce qui se fait de mieux dans le cinéma moderne. La photographie sombre plane sur les multiples effets visuels époustouflants pour nous offrir un magnifique spectacle; et si les yeux s'en prennent plein la pupille, les oreilles ne sont pas plus épargnées, avec un montage sonore dantesque.
    La réussite de Minority Report doit beaucoup au scénario béton, basé sur la nouvelle de Philippe Dick , grand romancier de science-fiction. L'histoire mêle subtilement toile de fond philosophique et tension policière: Un Etat s'est doté d'un système de d'anticipation des meurtres. Les assassins peuvent ainsi être arrêtés avant leur méfait accompli. Si les moyens laissent à désirer (les précogs, sortes d'extralucides maintenus constamment plongés dans un état de transe, sont les moteurs du système), les résultats sont plus que probants: depuis 2 ans, plus un meurtre n'a été commis au sein de l'Etat. Le problème est bien là: s'il arrivait ne serait-ce qu'une erreur, le Précrime serait délégitimé et désactivé. L'Etat national s'apprête à généraliser le système de "Précrime" et envoie un inspecteur tester le bon fonctionnement de l'appareil.
    Le monde créé par Spielberg (ou Philippe Dick , c'est vous qui voyez) est renversant de crédibilité, à tel point qu'il atteint l'angoisse paroxysmique nécessaire à tout bon film d'anticipation: cette société pourrait bien être notre société dans 50 ans. Les données personnelles sont fichées, les publicités personnalisées envahissent notre quotidien, la police, sous couvert d'assurer la sécurité ("le crime a disparu, tout nous est donc permis, puisque ce que nous faisons est efficace"), viole toutes nos barrières intimes (scène époustouflante des araignées). Des pistes de réflexion sont lancées et bien développées par le réalisateur: le futur n'est-il qu'un? La détermination peut-elle être partielle? Efface-t-elle forcément toute notion de choix? La scène où John Anderton doit choisir entre choisir et laisser faire son "destin" est symbolique et significative du parti choisi par le réalisateur: Anderton, le justicier, se retrouve là à la place de ceux qu'il traque et juge depuis des années, il est sur le point de tuer, de fauter, d'enfreindre la loi, et ce pour une raison personnelle qui est selon lui (suffisamment?) légitime pour tuer. Quand il choisit de ne pas tuer, Spielberg choisit la vision manichéenne, qui veut que certains soient capables de faire un choix, car ils sont "meilleurs" ou plus vertueux, alors que d'autres laissent parler leurs pulsions malsaines car ils sont "mauvais". Le débat est posé, le réalisateur a choisi, et l'a très bien mis en lumière (c'est ce qui compte) après on aime ou on n'aime pas.
    Ce que, en revanche, je n'aime définitivement pas, ce sont les nombreuses tournures attendues dans l'intrigue, les nombreux clichés dans les dialogues, et l'espèce de politiquement correct qui plane au générique de fin, comme si tout film devait, inexorablement, finir sur la même note. Autrement, très bon film de science-fiction, l'un des meilleurs qui soient, c'est une certitude.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 janvier 2014
    Disposant d'un concept fort attirant et de certains des grands noms d'Hollywood, Minority Report avait tout pour s'imposer comme l'un des classiques de la science-fiction; mais est-ce le cas? Je ne passerai pas par quatre chemins, indubitablement, la réponse est non, pas un classique, pas un étron non plus. Il en résulte donc un bon divertissement, dans le pur style de Spielberg, qui nous conte les aventures de John Anderton, interprété par le surestimé et mono-expressif Tom Cruise, qui, en plus de livrer une médiocre prestation, bénéficie d'un doublage français absolument horrible; policier, membre de l'équipe "Précrime", divison spéciale des forces de l'ordre qui a pour spécificité de prévoir les meurtres et donc d'arrêter l'assassin avant qu'il ne commette son larcin. Cependant, lorsqu'un agent fédéral, magnifiquement joué par Colin Farrell, qui est aux antipodes de M. Cruise, que ce soit du point de vue de leur personnage respectif ou de leur talent; débarque, remet en question les méthodes ainsi que l'éthique de cette équipe et que notre héros est censé tuer de sang froid un homme qu'il ne connait pas, les ennuis commencent, ainsi qu'une chasse à l'homme effrénée. C'est à ce moment là que la première scène d'action fait son apparition, efficace, malheureusement poussive par moments, à l'instar de certains dialogues, et qui débouche sur des rencontres hautes en couleurs, desservies par des acteurs convaincants ( mention spéciale à Peter Stormare ), chacune ayant son incidence sur la fuite d'Anderton, chacune apportant son lot d'idées intéressantes, des idées pas assez exploitées, des idées qui restent dans l'ombre d'un classicisme évident. Et le syndrome se répète, avec une révélation fracassante, une montée en puissance qui d'un coup, rend tout son intérêt au long-métrage, et sera, encore une fois, à mon grand désarroi, sacrifiée sur l'autel du scénario calibré, prévisible des blockbusters hollywoodiens. En définitif, il s'agit ici d'un pot-pourri de concepts passionnants plombés par des défauts évidents et typiques du film à grand spectacle; dommage, on aurait pu avoir le droit à une véritable pépite.
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