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    Comment réussir quand on est con et pleurnichard
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    38 critiques spectateurs

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    Max Rss
    Max Rss

    202 abonnés 1 806 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2019
    « Des artistes comme toi, j’fous un coup d’pompe dans l’piano, il en dégringole une douzaine ! ». « Confidence pour confidence, des connards comme vous, j’fous un coup d’pompe dans la télé, il en dégringole 50 ! ». « La tête dure et la fesse molle, le contraire de c’que j’aime ! ». « Qu’il s’agisse des clés de voitures, de rasoirs ou de femmes, j’ai tout en double ! ». « J’étais sûre que t’étais formidable. Je suis pas déçue. Tu m’as loupée comme un chef. T’as pas arrêté de dire des conneries. T’as failli mettre le feu au paddock avec ta cigarette. Tu portes un maillot de corps. Tu gardes tes chaussettes. Et y a même ta maman. T’es une synthèse ! » Voila quelques répliques bien fendardes. Et encore, j’aurai pu en citer davantage. « Comment réussir quand on est con et pleurnichard? » est en quelque sorte la quintessence du cinéma de Michel Audiard. Pourquoi? Car c’est un vrai florilège. Tout une myriade de dialogues à consommer sans modération. Les répliques fusent dans tous les sens. Du début à la fin, on nage dans le non sens le plus total. Le scénario (appelons ça ainsi) part en vrille d’entrée de jeu. Et pourtant, voyez-vous, on se laisse « séduire » par ce jeu des chaises musicales. On s’échange les boulots et les bonnes femmes. Le Audiard scénariste en avait strictement rien à cirer de la cohérence de l’histoire. Ce qui l’intéressait, c’était le numéro des acteurs. Il est ici servi avec une pléiade d’interprètes: Jean Carmet, Jean-Pierre Marielle, Jean Rochefort, Stéphane Audran, Daniel Prévost et Jane Birkin s’en donnent à cœur joie. Se complaisent dans le ridicule et semblent savourer pleinement les dialogues du maître. Certaines scènes sont d’une vulgarité délicieuse et d’autres sont complètement débiles, mais on s’en fout pas mal, on se marre. Cependant, il manque la présence d’un acteur « spécial Audiard ». Bernard Blier par exemple. Bon il est vrai que cinématographiquement parlant, la qualité est plus que quelconque. En revanche, sur le plan auditif, on est à la limite de l’orgasme.
    landofshit0
    landofshit0

    278 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2013
    Audirad n'a cessé de dire qu'il était un dialoguiste et non et scénariste,il le prouve une nouvelle fois avec ce film,qui possède tout de même certaines idées. Ce qui donne lieu à des situations absurdes et à des dialogues forts hilarants surtout dit par Carmet,Marielle etc...Mais bon ça n'est tout de même pas une excellente comédie même si certains passages fonctionnes. Si l'histoire avait confiée à un autre réalisateur peut être que la machine aurait pleinement fonctionnée.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 920 abonnés 12 474 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mai 2018
    Un titre très long comme les aimait Michel Audiard (ici rèalisateur), l'expert des dialogues cultes qui offre au grand Jean Carmet un rôle en or : celui d'un V.R.P geignard qui parvient toujours à ses fins dans sa vie professionnelle ou privèe! "Comment rèussir quand on est con et pleurnichard" où Carmet a prouvè aussi qu'il valait mieux que ce genre de rôle qu'on lui a proposè trop souvent! il y a aussi dans le reste de la distribution Jane Birkin et Evelyne Buyle, deux comèdiennes au physique bien diffèrents, mais très populaires dans le cinèma français des annèes 70! Sans oublier quelques pointures comme Jean-Pierre Marielle et Jean Rochefort pour une comèdie qui n'est pas toujours du meilleur goût (le striptease de Birkin) mais qui èmaille de nombreux gags (les suicides sur l'Adagio in G Minor qui finissent sur un lit d'hôpital) dû au talent immense de Carmet...
    this is my movies
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    714 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2016
    Il faut être honnête, les film réalisés par M. Audiard ont beau être portés par cette inimitable science des dialogues, il faut bien reconnaître que leurs qualités cinématographiques sont quelconques. Malgré de bons dialogues et des acteurs dans une forme olympique (J. Carmet, génial, J. Rochefort, savoureux comme souvent et J-P Marielle, définitivement un des mes acteurs préférés, qui sublime encore une fois toute sa partition), les gags sont moyens et le rire vient rarement nous dérider le visage. La mise en scène souffre d'un manque total d'ambition et l'histoire est assez moyenne, menée à un rythme un peu trop pépère. Un film sauvé du navet par ses acteurs et quelques répliques d’exception. D'autres critiques sur
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    234 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 décembre 2007
    Comédie sympathique, qui ne figure pas parmi les meilleures de Audiard réalisateur, mais se laisse regarder sans problème, grace à ses acteurs (Carmet, Marielle, Birkin, Audran, Rochefort). Assez marrant, même si la fin se casse la tronche !
    willycopresto
    willycopresto

    134 abonnés 1 354 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2014
    Comment réussir avec un film du même nom ? C’était gagné d’avance avec un quatuor de comiques comme on n’en voit plus guère de nos jours. Et les rôles féminins n’ont rien à envier et permettent à l’énigmatique Stéphane Audran et à la provocante Jane Birkin de montrer tout leur talent, voire leurs charmes. Bien sûr, le scénario n’est aucunement crédible, et c’est tant mieux puisque ce film est avant tout destiné à nous faire rire. Un des deux derniers films de Michel Audiard avant qu’il ne s’éteigne à l’âge de 65 ans.Mais ce chant du cygne n’a curieusement pas fait un des meilleurs scores du réalisateur.Pourtant, quelle superbe brochette d’artistes ! On ne s'ennuie pas du début à la fin.willycopresto
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 437 abonnés 4 462 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2015
    Petit vaudeville filmé sympathique que ce Comment réussir quand on est con et pleurnichard. Je dois dire que c’est une comédie agréable.
    Le casting y est évidemment pour une bonne part. Il est franchement attrayant. Entre un casting masculin doté de talents aussi divers que complémentaires, affichant en trio de tête Carmet-Marielle-Rochefort, qui ne sont quand même pas les premiers venus et qui en plus s’en donnent à cœur joie avec des personnages taillés pour eux, et un casting féminin hautement séduisant, on est gâté. En effet, Audran, Buyle et Birkin forme un trio de charme là aussi très complémentaire, et si le jeu de Birkin est relativement approximatif, en revanche Buyle et surtout Audran se débrouillent fort bien. En tout cas un casting plein de punch et de subtilité, que l’on suit avec plaisir.
    Le scénario est typé vaudeville, c’est un fait. Maintenant c’est rondement mené, et ceux qui apprécient le genre seront aux anges. Porté par la finesse des acteurs et par les dialogues très solides de Michel Audiard, en forme ici, l’histoire, un peu redondante parfois passe agréablement. C’est drôle, il y a une petite morale, c’est gentiment sexy, parfois teinté d’humour noir. La recette est simple certes, tout ne coule pas forcément avec une fluidité exemplaire, mais c’est frais et plaisant.
    La réalisation est aussi signée Audiard ici. Pas un très grand réalisateur, il faut quand même reconnaitre qu’il offre quelques scènes étonnantes (le numéro), filmé aux limites de l’onirisme. Les décors sont assez limités, avec des séquences pas très crédibles (l’immeuble), et de manière générale sur le plan esthétique on reste sur un film qui fait son âge et son genre. Une époque où l’on emballait les comédies sans trop se soucier de l’aspect formel, ce qui n’a pas forcément beaucoup changé de nos jours d’ailleurs. Bonne petite bande son, simple et discrète, qu’on aurait pu aimer moins timorée.
    En fait Comment réussir quand on est con et pleurnichard est à voir. C’est un film qui tient encore bien la route sur le fond, profitant d’acteurs confirmés et très solides, et de dialogues ciselés. Théâtral, c’est un de ces métrages qui ne pâti pas de cet aspect, et qui se laisse voir avec un plaisir constant. 3.5.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 février 2014
    Amours et manipulations en milieu urbain, périurbain et rural. Pas trace de Sebastien Sebastien.
    Victor G
    Victor G

    8 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2012
    Bonne petite comédie bien sympathique menée par de bons acteurs,le scénario n'est pas mal,on passe un bon petit moment bien divertissant. Je mettrais à ce film un 16,25/20.
    Akamaru
    Akamaru

    3 129 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 février 2014
    Si Michel Audiard avait été aussi bon réalisateur que dialoguiste,ça se saurait! "Comment réussir quand on est con et pleurnichard"(1974) représente bien le type de comédie égrillarde et osée qui plaisait aux Français dans les années 70. Un VRP geignard tente d'apitoyer les clients éventuels sur son sort,avant de séduire de façon inattendue une bourgeoise désœuvrée. Mais tel est pris qui croyait prendre... Jean Carmet fait un numéro à la Calimero,et secoue les zygomatiques lorsqu'il pleure sur commande! Autour de lui,que du lourd avec un Jean-Pierre Marielle séducteur,un Jean Rochefort râpeux,une Jane Birkin au déhanché suggestif ou une Stéphane Audran moqueuse. Les péripéties qui s'enchaînent n'ont pratiquement aucun sens. La narration est une notion très floue chez Audiard qui préfèrent les truculents numéros d'acteur. Mais cette fois,ça ne passe pas du tout...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2019
    Alors qu'il est au zénith de sa gloire à la fin des années 1960, Michel Audiard qui a déjà scénarisé ou dialogué près d'une centaine de longs métrages s'engage dans une courte carrière de réalisateur qui lui aura surtout apporté railleries et quolibets de la part d'une certaine partie du milieu du cinéma qui jalousait quelque peu sa quasi mainmise sur la production populaire de l'époque. La dizaine de films de cette période qui s'étend de 1968 à 1974, affublés de titres à rallonge qui annoncent clairement la couleur ne sont certes pas des modèles de construction dramatique mais ils permettent à Audiard de s'amuser, laissant s'exprimer sans réserve le goût de la dérision et du grotesque qui constituait la marque de fabrique de ses collaborations avec le gratin des réalisateurs français. Beaucoup ont trouvé qu'il allait trop loin dans la vulgarité, s'appuyant sur des intrigues plus que relâchées et laissant exagérément la bride sur le cou aux nombreux acteurs qui se précipitaient pour le remercier des petites perles qu'il leur avait précédemment mises en bouche que ce soit dans des comédies débridées ou des drames particulièrement noirs. "Comment réussir quand on est con et pleurnichard" sorti en 1974 est un petit régal qu'il ne convient malgré tout de ne pas mettre devant tous les yeux et à la portée de toutes les oreilles, le film s'adressant en priorité à ceux précédemment adeptes de l'humour grinçant du "Petit cycliste". Le surnom donné à Audiard par Jean Gabin provient de sa passion pour le vélo dont il avait rêvé jeune d'en faire son métier. Passion qu'il partageait avec Jean Carmet devenu son ami et qu'il souhaitait imposer dans un premier rôle depuis que "Le grand blond avec un chaussure noire" d'Yves Robert l'avait propulsé vedette de premier plan après avoir passé trente longues années à jouer les utilités dans plus d'une centaine de films. Il concocte donc une histoire tirée d'un roman policier de Fred Kassak ("Voulez-vous tuer avec moi", 1971) qu'il déstructure complètement pour en extirper Antoine Robinaud (Jean Carmet), voyageur de commerce qui n'a d'autre technique pour vendre les bouteilles de vermouth frelaté fabriqué par sa mère que d'apitoyer les bistrotiers en pleurnichant sur sa condition de vendeur raté. Le portrait tracé à gros traits par un Audiard qui n'y va pas avec le dos de la cuiller permet l'entrée en scène d'une galerie de personnages tout aussi improbables qu'Antoine Robinaud. Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Daniel Prévost y vont de leur numéro habituel, avantageusement épaulés par Stefan Audran, Evelyne Buyle et Jane Birkin qui n'hésitent pas à dévoiler leur charme pour le plaisir d'Audiard mais aussi du spectateur. Tout ce joli monde se bouscule pour grimper à l'échelle de la bêtise. Quelques scènes sont impayables comme celle du cabaret où Jane Birkin gratifie le spectateur d'un striptease lascif sur du Baudelaire (tout un programme!) devant un Jean-Pierre Marielle halluciné et hallucinant et une Evelyne Buyle grandiose en gourdasse jalouse. Ces moments de pure folie s'échangent contre quelques longueurs mais l'ensemble vaut largement le détour.
    brianpatrick
    brianpatrick

    85 abonnés 1 618 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2017
    C'est un très grand film malgré le manque d'histoire, le film est tourné en 1974. Il y a une belle panoplie de grands acteurs de seconds rôles. Des beaux textes et une belle atmosphère parisienne, l'ambiance théâtre de boulevard des années 70. Jane Birkin au sommet de sa forme.
    Plume231
    Plume231

    3 928 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2011
    Avec Michel Audiard réalisateur, il ne faut pas s'attendre à grand-chose. Les dialogues sont bien évidemment super-inspirés et très bien écrits mais ce n'est franchement pas la peine de chercher la moindre notion scénaristique. L'ensemble est amusant mais est loin d'être jubilatoire du fait que cela tourne en rond très vite et que ça n'évite pas tout le temps la grossièreté facile. Les acteurs sont tout de même très bons et s'en donne à coeur joie dans le ridicule même si un grand acteur audiardien comme Bernard Blier manque à l'appel pour fonctionner vraiment. Juste un bon petit moment qui s'oublie très vite.
    NeoLain
    NeoLain

    5 051 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2013
    Rien que pour la brochette d'acteurs ça vaut le coup de ne pas être con de voir ce film de Michel Audiard. Carmet qui pleure et attendri ses clients tout comme ses rencontres. Une petite comédie égayé par des bons textes (faut-il encore être étonné ?), et Jane Birkin qui captive nos yeux de par son minois et son corps.
    Ghighi19
    Ghighi19

    70 abonnés 1 876 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2021
    Une comédie qui ne pourrait je pense plus du tout se faire comme ça en tous cas aujourd'hui. Le ton d Audiard et son savoir-faire font mouche c est assez drôle et les comédiens en font des tonnes . Un film d une époque.
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