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    Huit et demi
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    4,0
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    112 critiques spectateurs

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    Thomas Roavina
    Thomas Roavina

    24 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2007
    Trés complexe, je préfère dire tout de suite que je n'est pas du tout capté le sens de ce film, ni ce qu'il voulait dire ou alors de loin. Donc je m'en tiendrais à l'aspect esthétique qui par ailleurs ma énormément plu. Entre rêve et réalité, le parti pris visuel ne défini jamais clairement la limite entre le fantasme et la vie vrai. Des images marquantes, un noir et blanc somptueux et une caméra qui ose milles choses. Mastroianni à la classe c'est sur, Cardinal à de beaux yeux et un visage magnifique, la beauté de ce film n'est pas à discuter. Par contre je reste spetique sur le contenue. Les doutes d'un cinéaste, le milieu du cinéma montré sous le point de vue d'un de ses artisants, est ce une critique ou une éloge ? Peut-être que le problème de ce film est qu'il esthétise tellement ses plans qu'il en fait perdre la substance dramatique. Je n'est pas vraiment cru aux doutes du réalisateur tant le film appuye sur la qualité des images, cela crée un décalage pas terrible. Il y a cependant des scènes que j'ai aimé, comme le passage où il raconte son enfance avec la femme à la poitrine exubérante (une obsession chez Fellini, il me semble), l'éducation religieuse que l'enfant à en lui et tout à coup remis en cause par l'intervention de ce phénomène sexuel, puis la fin lorsque le tournage du film commence enfin en dansant. Des passages que j'ai appréciés, la forme aussi.
    Anaxagore
    Anaxagore

    125 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2007
    "Otto e mezzo" (1963) nous propulse une nouvelle fois sur les plus hauts sommets de l'histoire du septième art! Et j'aurais les plus grandes peines à décrire l'état absolument unique de jubilation que ce film suscite en moi, tant il constitue un feu d'artifice créateur à nul autre pareil! Fellini y rompt cette fois définitivement avec l'héritage du néoréalisme pour y déployer pleinement son style onirico-fantasmatique propre, déjà ébauché dans "La dolce vita". Il y met en scène une évocation largement autobiographique du processus créateur et de l'angoisse de la page blanche qui l'amorce. Le principal protagoniste de ce voyage au coeur des tréfonds les plus obscurs de l'âme est l'alter-ego du réalisateur, Guido Anselmi (Marcello Mastroianni souverain!). Tout le film nous conte son impuissance à réaliser un film de science-fiction, alors que sa mémoire et son imagination errent à corps perdu au libre gré des souvenirs de l'enfance et des fantasmes de l'âge adulte. Cela nous vaut une galerie inoubliable d'images splendides, puissamment oniriques, parmi les plus belles que le cinéma nous ait offertes. Je ne sais lesquelles retenir tant il y en aurait à citer, depuis celle des parents de Guido près de leur tombe, dans une lumière surréelle, jusqu'à celle de Claudia (Claudia Cardinale) dans la pénombre, une lampe à la main! Le tout converge au son de la musique de Nino Rota vers l'une des scènes les plus emblématiques du cirque fellinien et le film se conclut dans une ambiance étrange mêlant angoisse, dérision sarcastique, humour et cette légèreté qui n'appartient qu'au maestro. Inutile de préciser qu'on ne peut pas ne pas se débrouiller pour visionner un tel chef-d'oeuvre!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 avril 2008
    Il y a des grands films, des chefs d'oeuvres, et enfin une catégorie à part, des exceptions qui ont parsemé l'histoire du cinéma, des miracles de créativité Huit et Demi fait partie de ces films dont qui laissent pantois parce que supérieur à ce que l'on pouvait attendre de mieux. Comment entrer de plus belle manière dans l'onirisme caractéristique de la période qui suivra ce film que de cette manière? Une telle entrée place la barre très haut pour la suite, et si beaucoup fleurtent avec cette qualité, aucun ne l'atteindra véritablement! Je ne connais pas les rapport que Tarkovski entretenais avec le cinéma de Fellini, mais il est un des seul réalisateur post-Felliniens à avoir maintenu la barre aussi haute (lui, dans tous ses films) que Fellini avec Huit et demi et La Dolce Vita. N'oublions pas Antonioni, Bergman, Bresson et peut-être Orson Welles. Pour les contemporains, Lars Von Trier plane une croche au dessus de ses pairs. Simple échelle de valeur au dépend d'une véritable analyse
    Camusduverseau
    Camusduverseau

    49 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 janvier 2007
    Film onirique à souhait. C'est également un vibrant hommage au monde du cinéma. C'est un film qui fait aimer la vie !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    Certainement le plus grand film de Fellini!Mastroianni est magnifique dans ce film tout comme les autres acteurs!Dans ce film Fellini laisse place a son inventivité et nous fait révé pendans plus de 2h.La musique de Nino Rota est absolument sublime,c'est certainement l'une de ses meilleurs composition.A voir absolument
    ronny1
    ronny1

    35 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Dés le début, prisonnier dans sa voiture au milieu d’un embouteillage monstre, Guido (Mastroianni) s’évade dans le monde du rêve pour mieux aller à l’essentiel. Son entourage lui parle sans cesse du film de science fiction qu’il ne sait pas comment terminer, car en panne d’inspiration créatrice. Alors Guido flotte entre le réel où il veut se retrouver avec sa femme sans perdre sa maîtresse, le passé avec l’éveil sexuel auprès d’une énorme matronne revêche et l’imaginaire où il est maître d’un harem. Fellini circus (les personnages de son imaginaire) et son entourage (les personnages du réel) seront conviés à une gigantesque ronde finale…Avec son style foisonnant et cumulatif, Fellini signe le plus grand film consacré à la création artistique. 8 ½ est son chef d’œuvre et certainement un des grands films du vingtième siècle. Chaque vision apporte des touches supplémentaires à cette lecture multiforme (religieuse, psychanalytique, artistique). La légende dit que Fellini ne trouvant pas de titre l’appela ainsi car il avait déjà réalisé 7 longs métrages et un sketch (un demi). En tous les cas voici un film qui appartient déjà à l’histoire du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    On le sait: nos rêves sont infiniment plus beaux que la réalité.
    Fantasmer, cela arrive à n'importe qui. Se lasser d'exister, à tout le monde également. On veut s'en aller, partir ailleurs et vivre des moments intenses mais la réalité est toujours là et n'en finit pas...
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