Dracula, pages tirées du journal d'une vierge : Critique presse
Dracula, pages tirées du journal d'une vierge
Note moyenne
3,2
13 titres de presse
Télérama
L'Humanité
Le Monde
Libération
Ciné Live
Ciné Live
Les Inrockuptibles
MCinéma.com
Positif
Studio Magazine
Aden
Cahiers du Cinéma
TéléCinéObs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Télérama
par François Gorin
Jamais (...) Maddin ne donne l'impression de capter un ballet. Cette chorégraphie qui apporte une distanciation supplémentaire, il la prend à bras-le-corps et, de contrainte, la retourne en puissance graphique, en élan touchant parfois au vertige. Sans se départir de sa marque, où l'humour fricote avec la poésie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Jean Roy
Nous déléguerons pour une fois la synthèse à un confrère américain : "Intelligent et éblouissant. Imaginez le Nosferatu de Murnau refilmé par Kenneth Anger, monté par un Eisenstein accro à la cocaïne et produit pour l'émission Masterpiece Theatre." C'est exactement ça, avec une pointe de Carmelo Bene en plus.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce Dracula tiré d'un ballet est à la fois d'un érotisme exquis et d'une acuité politique réjouissante.(...) Cet iconoclasme porte ses fruits : le film tient son rythme sensuel, mieux sans doute que si le cinéaste s'était contenté de filmer un ballet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Antoine de Baecque
Dans son noir et blanc ombré de fumée, opacifié de gaze, rehaussé de lumière vive, sans un mot, tout en musique, dansé plutôt que joué, ce Dracula redonne vie à la créature de Bram Stoker tout en incarnant l'obsession continuelle de Guy Maddin, cette ambiguïté mélancolique et déraisonnable : l'androgynie.
Ciné Live
par Stéphane Benaïm
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On peut trouver vain ce genre de projet, mais force est de constater qu'il n'est pas dépourvu de style, de beauté poétique, de lyrisme et de panache.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Adaptation d'une chorégraphie de Mark Godden pour le Canada's Royal Winnipeg Ballet, elle-même inspirée du Dracula de Stoker, ces "pages tirées du journal d'une vierge" se révèlent moins brillantes que les oeuvres précédentes du petit maître canadien. La forme y est certes toujours aussi "années 1920".
Positif
par Vincent Thabourey
(...) un objet filmique très organique, protéiforme, parfois d'assez mauvais goût, souvent freiné par des scènes dansées trop longues, mais qui, malgré cela, parvient à donner vie à un nouveau visage de cet antique Dracula.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par Philippe Piazzo
(...) nous sommes restés de glace devant ces vampiriques chichis vaporeux. L'avant-garde expérimentale, désolé, on n'arrive pas à en dire plus que ça : on n'y comprend rien.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
(...) au lieu d'exalter le mouvement, les coupes incessantes de ce film qui compte près de 2000 plans le neutralisent, le génie de postproducteur de Maddin vampirise chorégraphie, décors, danseurs et références cinéphiles.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
L'exercice manque de souffle, de conviction et de justification artistique. Un coup pour rien.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
Jamais (...) Maddin ne donne l'impression de capter un ballet. Cette chorégraphie qui apporte une distanciation supplémentaire, il la prend à bras-le-corps et, de contrainte, la retourne en puissance graphique, en élan touchant parfois au vertige. Sans se départir de sa marque, où l'humour fricote avec la poésie.
L'Humanité
Nous déléguerons pour une fois la synthèse à un confrère américain : "Intelligent et éblouissant. Imaginez le Nosferatu de Murnau refilmé par Kenneth Anger, monté par un Eisenstein accro à la cocaïne et produit pour l'émission Masterpiece Theatre." C'est exactement ça, avec une pointe de Carmelo Bene en plus.
Le Monde
Ce Dracula tiré d'un ballet est à la fois d'un érotisme exquis et d'une acuité politique réjouissante.(...) Cet iconoclasme porte ses fruits : le film tient son rythme sensuel, mieux sans doute que si le cinéaste s'était contenté de filmer un ballet.
Libération
Dans son noir et blanc ombré de fumée, opacifié de gaze, rehaussé de lumière vive, sans un mot, tout en musique, dansé plutôt que joué, ce Dracula redonne vie à la créature de Bram Stoker tout en incarnant l'obsession continuelle de Guy Maddin, cette ambiguïté mélancolique et déraisonnable : l'androgynie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
On peut trouver vain ce genre de projet, mais force est de constater qu'il n'est pas dépourvu de style, de beauté poétique, de lyrisme et de panache.
MCinéma.com
Adaptation d'une chorégraphie de Mark Godden pour le Canada's Royal Winnipeg Ballet, elle-même inspirée du Dracula de Stoker, ces "pages tirées du journal d'une vierge" se révèlent moins brillantes que les oeuvres précédentes du petit maître canadien. La forme y est certes toujours aussi "années 1920".
Positif
(...) un objet filmique très organique, protéiforme, parfois d'assez mauvais goût, souvent freiné par des scènes dansées trop longues, mais qui, malgré cela, parvient à donner vie à un nouveau visage de cet antique Dracula.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
(...) nous sommes restés de glace devant ces vampiriques chichis vaporeux. L'avant-garde expérimentale, désolé, on n'arrive pas à en dire plus que ça : on n'y comprend rien.
Cahiers du Cinéma
(...) au lieu d'exalter le mouvement, les coupes incessantes de ce film qui compte près de 2000 plans le neutralisent, le génie de postproducteur de Maddin vampirise chorégraphie, décors, danseurs et références cinéphiles.
TéléCinéObs
L'exercice manque de souffle, de conviction et de justification artistique. Un coup pour rien.