Comment tuer le chien de son voisin : Critique presse
Comment tuer le chien de son voisin
Note moyenne
3,3
11 titres de presse
Aden
Ciné Live
Le Figaro
Le Figaroscope
MCinéma.com
Studio Magazine
TéléCinéObs
Télérama
L'Humanité
Le Monde
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Cette comédie est née sous la plume d'un dénommé Michael Kalesniko, qui en réalisant son premier film se montre particulièrement doué côté dialogues et mise en scène. On s'en veut donc un peu de mettre un bémol à nos louanges à cause de la deuxième partie, centrée sur l'amitié rédemptrice de ce goujat magnifique pour une adorable petite fille handicapée.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
On a aussi un vrai plaisir à retrouver Kenneth Branagh, cynique et séducteur : on ne l'a jamais vu aussi à l'aise depuis ses adaptations de Shakespeare.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
MCinéma.com
par Camille Brun
Et surtout, il y a les acteurs. Kenneth Branagh et Robin Wright Penn forment un couple très attachant. Lui trouve, avec Peter MacGowan, un rôle taillé à sa mesure. Il s'y révèle grandiose et drôle, pas uniquement bougon et cynique, mais aussi plein de failles et de doutes.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par John Duff
Sur le thème classique de la rédemption, Michael Kalesniko accouche d'une savoureuse comédie à la Woody Allen, en plus light, tout de même.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
La gentillesse plombe alors le film, malgré les efforts désespérés de Kenneth Branagh et de Robin Wright Penn pour maintenir un soupçon de férocité. Le dénouement est le triomphe des Kleenex.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une comédie sans envergure qui tourne peu ou prou autour de l'absence de progéniture et du besoin d'en avoir. Franchement pas grand-chose à signaler à propos de ce film d'auteur en rase-mottes sur un couple bobo de Los Angeles - en particulier sur le mari, dramaturge misanthrope qui finit par craquer pour les enfants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
Sous ce titre accrocheur, le premier film de Michael Kalesniko est une satire sociale bien-pensante, peu drôle et convenue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christian Jauberty
(...) en dépit du mal de chien que se donne Kenneth Branagh, apparemment livré à lui-même, cette comédie bavarde manque de mordant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
Cette comédie est née sous la plume d'un dénommé Michael Kalesniko, qui en réalisant son premier film se montre particulièrement doué côté dialogues et mise en scène. On s'en veut donc un peu de mettre un bémol à nos louanges à cause de la deuxième partie, centrée sur l'amitié rédemptrice de ce goujat magnifique pour une adorable petite fille handicapée.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
On a aussi un vrai plaisir à retrouver Kenneth Branagh, cynique et séducteur : on ne l'a jamais vu aussi à l'aise depuis ses adaptations de Shakespeare.
MCinéma.com
Et surtout, il y a les acteurs. Kenneth Branagh et Robin Wright Penn forment un couple très attachant. Lui trouve, avec Peter MacGowan, un rôle taillé à sa mesure. Il s'y révèle grandiose et drôle, pas uniquement bougon et cynique, mais aussi plein de failles et de doutes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Sur le thème classique de la rédemption, Michael Kalesniko accouche d'une savoureuse comédie à la Woody Allen, en plus light, tout de même.
Télérama
La gentillesse plombe alors le film, malgré les efforts désespérés de Kenneth Branagh et de Robin Wright Penn pour maintenir un soupçon de férocité. Le dénouement est le triomphe des Kleenex.
L'Humanité
Une comédie sans envergure qui tourne peu ou prou autour de l'absence de progéniture et du besoin d'en avoir. Franchement pas grand-chose à signaler à propos de ce film d'auteur en rase-mottes sur un couple bobo de Los Angeles - en particulier sur le mari, dramaturge misanthrope qui finit par craquer pour les enfants.
Le Monde
Sous ce titre accrocheur, le premier film de Michael Kalesniko est une satire sociale bien-pensante, peu drôle et convenue.
Première
(...) en dépit du mal de chien que se donne Kenneth Branagh, apparemment livré à lui-même, cette comédie bavarde manque de mordant.