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Votre avis sur Les Charlots contre Dracula ?
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Je suis dingue, mais j'adore ce nanar. Car c'est un nanar. Mais il y à un je-ne-sais-quoi qui me plait bien ici. Sans doute est-ce parce que j'ai toujours (à de rares exceptions) adoré l'humour des Charlots...
Dans cette comèdie potache bien de chez nous, le comte Dracula a une sèrieuse dent contre les Charlots! Tournè en 1980, "Les Charlots contre Dracula" du père Desagnat esquisse une tentative parodique qui plaira surtout aux aficionados du genre! Dotè de gags au ras des pâquerettes (le saut du plus haut pont d'Europe), ce film est très reprèsentatif du style des Charlots en proposant toutes les caractèristiques de l'humour absurde! Des effets spèciaux à gogo, des rèpliques qui se passent de commentaire ( « Dieu est belge ! » ) ainsi qu'un sens du dècor du pauvre (la forêt du pendu) et de l'atmosphère concourent à faire de ce pastiche à la française un nanar pur jus du cinèma comique! En comte Dracula, Andrèas Voutsinas renforce ètonnamment le côtè dèbile de la chose! Enquête et filature, Gèrard Jugnot (« Ma couverture ») est aussi de la partie! Avec une musique -somme toute très sympa - des Charlots qui assure son succès! Tout ceci est à prendre èvidemment au 36eme degrè (le cercueil de Bela Lugosi)...
L'un des meilleurs films de la saga des Charlots. Autant le dire tout de suite, le scénario est mauvais mais les gags sont réussis, le rythme est là, on s'amuse bien, on passe un bon moment et les décors sont plutôt bien faits. Une bonne comédie et une bonne parodie.
Yannickcinéphile
Un film c’est sur très lourd, mais relativement assumé, et finalement attachant parfois, même si on ne peut nier un manque d’efficacité générale, sûrement à cause d’une intrigue vraiment pas terrible.
Le film retient relativement l’attention par son rythme, plutôt convaincant, qui permet de ne pas s’ennuyer malgré, parfois, la légèreté qui nous est montrée. Certains gags tirent en longueur inutilement, mais enfin dans l’ensemble la durée courte du film lui est bénéfique. L’humour est parfois vraiment lourd et ne fait pas foncièrement rire car c’est empesé jusqu’à l’indigestion, mais c’est suffisamment bon enfant et joué avec bonhomie pour ne pas être insupportable et ennuyeux. On rit quand même quelquefois, même si c’est souvent lié à l’inanité de certains gags qui tombent à plat.
L’intrigue pour sa part laisse beaucoup à désirer, après un début qui tente de parodier le livre de Stoker, on hérite d’un déroulé trop stagnant, et d’une fin qui est clairement expédiée, alors que la sortie pouvait être plus recherchée quand même.
Côté acteur les Charlots sont pareils à eux-mêmes, avec des personnages sans surprise, et des prestations assez sobres pour être digeste, mais qui ne volent pas très haut qualitativement parlant. Je salue quand même un Jugnot performant, et un Voutsinas remonté qui se débrouille bien, avec à ses côtés un Vincent Martin déchainé ! Ils volent finalement souvent la vedette aux Charlots eux-mêmes. Amélie Prévost, méconnue, apporte la petite touche d’un charme discret.
Visuellement le film dispose de quelques décors corrects, mais ça reste malgré tout assez pauvre. Mise en scène sans grande recherche, photographie un peu grise et qui peine à asseoir une ambiance, musique minimaliste, quelques décors sont réussis au milieu d’un ensemble assez faible, en particulier dans le mobilier, les costumes, de petits détails qui ne manquent pas de sauter aux yeux.
Les Charlots contre Dracula c’est de la comédie franchouillarde balourde, pas vraiment désagréable mais quand même limité, et handicapé par un humour un peu trop appuyé, parfois attendu, dans une histoire vraiment pas creusée. Une curiosité cependant, inoffensive, qui se contente de vouloir amuser, et malgré ses maladresses le film reste attachant. 2.5
Le film retient relativement l’attention par son rythme, plutôt convaincant, qui permet de ne pas s’ennuyer malgré, parfois, la légèreté qui nous est montrée. Certains gags tirent en longueur inutilement, mais enfin dans l’ensemble la durée courte du film lui est bénéfique. L’humour est parfois vraiment lourd et ne fait pas foncièrement rire car c’est empesé jusqu’à l’indigestion, mais c’est suffisamment bon enfant et joué avec bonhomie pour ne pas être insupportable et ennuyeux. On rit quand même quelquefois, même si c’est souvent lié à l’inanité de certains gags qui tombent à plat.
L’intrigue pour sa part laisse beaucoup à désirer, après un début qui tente de parodier le livre de Stoker, on hérite d’un déroulé trop stagnant, et d’une fin qui est clairement expédiée, alors que la sortie pouvait être plus recherchée quand même.
Côté acteur les Charlots sont pareils à eux-mêmes, avec des personnages sans surprise, et des prestations assez sobres pour être digeste, mais qui ne volent pas très haut qualitativement parlant. Je salue quand même un Jugnot performant, et un Voutsinas remonté qui se débrouille bien, avec à ses côtés un Vincent Martin déchainé ! Ils volent finalement souvent la vedette aux Charlots eux-mêmes. Amélie Prévost, méconnue, apporte la petite touche d’un charme discret.
Visuellement le film dispose de quelques décors corrects, mais ça reste malgré tout assez pauvre. Mise en scène sans grande recherche, photographie un peu grise et qui peine à asseoir une ambiance, musique minimaliste, quelques décors sont réussis au milieu d’un ensemble assez faible, en particulier dans le mobilier, les costumes, de petits détails qui ne manquent pas de sauter aux yeux.
Les Charlots contre Dracula c’est de la comédie franchouillarde balourde, pas vraiment désagréable mais quand même limité, et handicapé par un humour un peu trop appuyé, parfois attendu, dans une histoire vraiment pas creusée. Une curiosité cependant, inoffensive, qui se contente de vouloir amuser, et malgré ses maladresses le film reste attachant. 2.5
Ce n'est pas le meilleur des charlots, mais les charlots restent les charlots; avec les humour déjantés et décalés. Certes on ne choisit toujours pas le scénario et les gags qui vont avec.
on rit bien en général avec les charlots devenue culte chez nous, cette histoire qui les mêne chez dracula est fort sympa j'ai bien ri, comme d'hab avec les charlots.
Fêtons le cinéma
Les Charlots contre Dracula commence par amuser, du fait des retournements loufoques qui propulsent notre trio d’amis en Transylvanie – en réalité, dans le Puy-de-Dôme… – pour sauver la belle Ariane des canines du vampire. Pourtant, une fois les frites offertes par Dieu en guise de miracle, le récit s’enlise dans une improvisation hasardeuse et souvent lamentable, donnant lieu à des sketchs ratés. Un problème de rythme s’installe : la réalisation se fige, le surréalisme diffus mute en caprice adolescent, et l’absence de direction d’acteurs se fait sentir. Les références culturelles tombent comme cheveux sur soupes, sans intelligence ni finesse. C’est qu’il manque derrière la caméra ainsi qu’à l’écriture des dialogues et du scénario un Claude Zidi, seul artiste à avoir su exploiter et cadrer le comique des Charlots dans des films sous-estimés mais de qualité. Jean-Pierre Desagnat ne dispose pas du même talent, défaillance qu’il transmettra en partie à ses deux fils.
Une histoire abracadabrante, des acteurs hilarants et une mise en scène sans faille nous donne un film bien français et inimitable. Bravo !
Peut-être nanar pour certains, mais ce film tient la route, l'humour et la musique sont solides, on ne s'ennuie pas un moment. Bref ca vieillit bien et on aimerait d'autres films de ce genre en 2022.
Oh la la! Nos souvenirs nous jouent parfois des tours. Quand j'étais enfant, j'adorais ce film et il me faisait bien rire. Le revoir aujourd'hui m'a infligé une bonne correction tant le scénario est pitoyable. Il y a des souvenirs qu'il vaut mieux garder et ne pas faire ressortir le passé des placards.
Comme tout les charlots j adores les voir et les revoir avec l humour qui procure sait toujours un bon moment de passé
Un "Charlots" un peu meilleur que les autres, à savoir moins bordélique et avec une vraie histoire à se mettre sous la dent. La fiancée d'un des trois drilles se fait enlever par un détective privé (Jugnot, hilarant) à la charge d'un comte transylvanien. En effet cette dernière est la sosie de sa mère et le comte doit procréer avec elle pour avoir une descendance (légèrement ambigu et dérangeant comme principe mais bon...). Nos trois compères s'aventurent donc dans les Carpates pour retrouver retrouver la belle... A noter également la savoureuse composition d'Andreas Voustinas dans le rôle de Dracula.
Les pires films X paraissent plus près du prix Nobel que cette infâme production. Même au cinquantième degré, ce n'est jamais drôle.
Le film connu un certain succès à sa sortie, permettant ainsi de vérifier l'adage d'Albert Einstein :"seule la bêtise permet d'appréhender l'infini".
Le film connu un certain succès à sa sortie, permettant ainsi de vérifier l'adage d'Albert Einstein :"seule la bêtise permet d'appréhender l'infini".
Un navet, c'est le moins que l'on puisse dire. Beaucoup de gags mais niveau école maternelle, à la rigueur primaire pour quelques uns. Donc, si vous avez plus de 12 ans ou un Q.I. supérieur à 50, je pense qu'il est inutile de perdre votre temps. Quant à Gérard Jugnot, qu'est-il venu faire dans cette galère ? Je venais juste de regarder ce chef d'oeuvre qu'est "LES CHORISTES" quelques heures plus tôt. On tombe du grenier à la cave...
Redzing
C’est probablement avec une certaine indulgence que je réévalue « Les Charlots contre Dracula », film vu à de nombreuses reprises durant mon enfance. Car ceux qui le découvriront adultes seront peut-être consternés…
Film sorti en 1980, alors que le succès des Charlots avait déjà commencé à fortement décliner. Et que les embrouilles avec leur précédent manager, Christian Fechner, avaient conduit au départ de son frère Jean-Guy. Réduisant ainsi la bande à trois.
Ici, nos Charlots partent à la poursuite de la fiancée de Phil, enlevée par un détective privé (Gérard Jugnot) qui la conduit… au château de Dracula ! A l’occasion, il s’agit d’une parodie des films de la Hammer, en particulier « Scars of Dracula ». Mais c’est surtout un prétexte pour que nos amis enchaînent les pitreries.
Comme d’habitude, on oscille entre les gags burlesques, l’humour absurde, et les enfantillages. Des bonnes idées totalement inattendues qui font franchement rire, d’autres qui déconcertent, pas toujours dans le bon sens. Et quelques plans réellement effrayants pour les plus jeunes !
Malgré la réalisation parfois approximative, le film compte sur la bonne humeur de ses comédiens. Nos sympathiques trois Charlots. Gérard Jugnot, amusant en détective filou. Et même Andréas Voutsinas (semble-t-il respecté dans le monde du théâtre !), qui cabotine en Dracula frustré.
Film sorti en 1980, alors que le succès des Charlots avait déjà commencé à fortement décliner. Et que les embrouilles avec leur précédent manager, Christian Fechner, avaient conduit au départ de son frère Jean-Guy. Réduisant ainsi la bande à trois.
Ici, nos Charlots partent à la poursuite de la fiancée de Phil, enlevée par un détective privé (Gérard Jugnot) qui la conduit… au château de Dracula ! A l’occasion, il s’agit d’une parodie des films de la Hammer, en particulier « Scars of Dracula ». Mais c’est surtout un prétexte pour que nos amis enchaînent les pitreries.
Comme d’habitude, on oscille entre les gags burlesques, l’humour absurde, et les enfantillages. Des bonnes idées totalement inattendues qui font franchement rire, d’autres qui déconcertent, pas toujours dans le bon sens. Et quelques plans réellement effrayants pour les plus jeunes !
Malgré la réalisation parfois approximative, le film compte sur la bonne humeur de ses comédiens. Nos sympathiques trois Charlots. Gérard Jugnot, amusant en détective filou. Et même Andréas Voutsinas (semble-t-il respecté dans le monde du théâtre !), qui cabotine en Dracula frustré.
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