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chrischambers86
13 583 abonnés
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3,0
Publiée le 17 octobre 2012
La loufoquerie du scènario est très bien servie par des comèdiens spècialiste du genre, qui font aisèment oublier ce que la rèalisation peut avoir d'un peu plat! Si vous avez manquè le dèbut, Jean Lefebvre est un chercheur scientifique, persècutè par un père et une mère acariâtres! il n'est d'ailleurs guère mieux aidè dans le laboratoire où il travaille! Cerise sur le gâteau, il est brimè par son patron! Mais voilà qu'un jour, en faisant tomber de la cendre de cigarette dans une prèparation, il dècouvre un gaz qui rend les gens aimables...Des mines contrites, des regards effrayès et, derrière le masque, un personnage on ne peut plus rusè: un règal pour ceux qui aiment Jean Lefebvre...
Pensant tomber sur un de ces navets comme Jean Lefebvre (malheureusement pour lui) enchaînait, je suis tombé sur une comédie sympathique, pas très fine, mais loin d'être ratée. Assez amusant.
Une bonne petite comédie sans prétention, agréable, avec pas mal de petit gags, des pointures du cinéma Français, de bonne scènes d'actions, une musique sympathique et une scène finale à pleurer de rire !
Une petite comédie burlesque française des année 60 assez agréable à regarder, notamment pour sa bonne distribution. Jean Lefebvre, qui fut un grand second rôle des films du genre y tient ici le premier rôle au coté de Serrault, Blier, Dalban, Mario, Préboist,Tornade, la magnifique Maria Latour et l'excellent Pierre Brasseur qui forme, ici un couple formidable avec l'actrice Margo Lion. Jean Lefebvre restera toujours un acteur énigmatique, fade, terne, effacé, il a cependant marqué le cinéma de ces années là par sa présence et son style bien à lui dans l'interprétation de personnages au charisme discret, naïfs, en décalage, presque transparent mais toujours touchants. Le Fou du Labo 4 est une bonne petite comédie, insouciante, légère, sans prétention et très sympathique à regarder.
Pour une fois, Jean Lefèbvre ne tient pas le rôle le plus bênet. Sous ses airs de scientifique ahuri, il est même parfois malicieuxspoiler: et sait se défendre contre les espions qui menacent de lui soutirer l'invention d'un gaz apaisant. ; Le sujet est résumé là et ne porte pas plus loin. L'indigence de la mise en scène et la médiocrité des dialogues -qui, présence de Bernard Blier oblige, prétendent vainement de ressembler à du Audiard- confinent les personnages dans des gags spoiler: -ce dénouement mouvementé dans un centre de loisirs recomposant le western- et des cascades puérils. L'intrigue ronronne et démontre que Jean Lefèbvre n'est pas un très bon acteur, encore moins dans un rôle principal. On en est réduit à s'amuser (un peu) des anglicismes de Blier ou des scènes de ménage de Pierre Brasseur car, malgré la présence de seconds rôles sympathiques de l'époque, que Jacques Besnard, en très médiocre réalisateur, ne sait même pas diriger, la comédie devient franchement ennuyeuse.
Une bonne petite comédie sans prétention, agréable, avec pas mal de petit gags, des pointures du cinéma Français, de bonne scènes d'actions, une musique sympathique et une scène finale à pleurer de rire !
Le lourdingue poussé à son maximum ne réussit pas toujours à ce film, sauvé par les interprétations convaincantes des bons acteurs. On n'accroche pas toujours non plus à certains dialogues qui manquent de panache, mais le tout est quand même finalement distrayant par son côté décalé et complètement à côté de la plaque.
L’atmosphère ambiante actuelle réclamerait d’urgence la respiration à plein nez du gaz hilarant du bon Eugène Ballanchon (Jean Lefebvre), le chercheur doux rêveur du « Fou du Labo 4 » habitant encore avec papa et maman, petit nanar ravissant de feu Jacques Besnard réalisateur es-comédie franchouillarde des années 1960 à 1980. Le scénario écrit par Jean Halain n’est certes pas de première main mais il suffit largement pour animer joyeusement la troupe d’acteurs que réussit à grouper autour de lui Besnard avec des pointures de premier plan comme les Michel Serrault, Bernard Blier, Jean Lefebvre ou Pierre Brasseur. Pour payer leurs impôts ces joyeux drilles, bons vivants et joueurs invétérés pour certains (Jean Lefebvre) avaient recours à une petite poignée de tâcherons pour leur concocter des comédies vite fait sur le gaz que leur sens de la démesure et de la dérision suffisait à rendre sympathiques faute d’être des chefs d’œuvre mais qui avaient le grand mérite d’être tournée sur le pouce et de rentrer dans leurs frais. Bref tout le monde y trouvait son compte et nous avec aujourd’hui. Il ne faut rien attendre de plus du « Fou du labo 4 » que d’admirer ces virtuoses du verbe jamais soucieux de leur image et de se replonger dans une époque où l’insouciance était encore de mise, il est vrai plus pour très longtemps. Il faut aussi souligner le chic de Jacques Besnard pour dénicher de sublimes créatures qui ajoutent une touche d’érotisme bon enfant à ses travaux, après la très exotique Maria-Rosa Rodriguez dans « Le grand restaurant » c’est autour de la très caliente Maria Latour d’incendier nos pupilles.
Avec Ballanchon, il faut s'attendre à tout ! Et Michel Serrault ne croyait pas si bien dire. En effet, quelle aventure va t-on vivre après la découverte involontaire d'un gaz qui rend hilare. Bon, on va resituer un peu le truc. Ce "Fou du labo 4" est l'une dans de ces comédies d'époques dans lesquelles les acteurs comiques de premier et second plan venaient cachetonner mais aussi pour s'amuser. Et, à tous les coups, ces petits films stupides étaient faits sur le pouce, mais tout le monde en ressortait gagnant. Ici, on nage en plein délire du début à la fin. C'est complètement idiot, mais qu'est-ce qu'on s'amuse ! De Jean Lefèbvre, dégaine débonnaire et trogne à moitié endormie à Bernard Blier, toujours aussi bon dans ce genre de rôle, en passant par Claude Brasseur irrésistible, on ne s'ennuie pas une minute en compagnie de tous ces mecs. Sans oublier Maria Latour que nous aussi on aimerait bien embrasser de la sorte. Veinard le Jeannot ! Pendant un long moment, on s'éclate sincèrement. Par exemple, la baston dans le terrain vague est crétine à souhait, mais vraiment réjouissante. On oubliera pas de mentionner le running-gag dans lequel est impliqué Pierre Tornade. Lui et Jean Franval sont tout aussi irrésistibles et on regrette de ne pas les voir jusqu'à la fin. Justement de la fin, parlons en un poil. Là, ça relève clairement de la consommation excessive de Marie-Jeanne. A l'image de cette course-poursuite façon western qui dure d'ailleurs un peu trop longtemps. Les films comme ça avaient très souvent pour défaut d'avoir du mal à tenir la distance. Voilà un pur objet de divertissement qui vaut exclusivement pour sa brochette d'acteurs qui prennent un pied d'enfer.
Petite comédie légère qui repose principalement sur son casting car le scénario, s'il démarre sur une idée intéressante, ne va pas bien loin. D'ailleurs les scènes comme celle dans le terrain vague nous rassure, nous ne somme pas devant Shakespeare ! Pour les amateurs de la brochette de comédiens...
Une sympathique comédie des années 60 avec de nombreux acteurs connus entourant Jean Lefebvre. Ce n est pas un film en finesse mais néanmoins quelques bons gags, tous au premier degré (ce n est pas du Michel Audiard).
Un superbe film, mais c'est mon avis personnel, où Jean Lefebvre prouve qu'il était un grand acteur. Une histoire a la limite de la science-fiction, d'après un roman de René Cambon... Par le mystérieux Jacques Besnard qui a fait des chefs d'oeuvres d'humour que se soit comme réalisateur ou assistant-réalisateur. Un film que j'adore, avec une distribution incroyable !