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Un vaudeville facile avec une palette de stars, à l'époque en devenir. Une scénario simpliste et des situations cocasses mais pas forcément hilarantes.
Le scènario vaudevillesque de "Ces messieurs de la famille", n'est pas plus mauvais qu'un autre, mais le rèalisateur Raoul Andrè n'y apporte aucune invention! Avec son accent à la "Papa Schultz", Francis Blanche en Strumberger en fait des tonnes face aux numèros de Michel Serrault, Jean Poiret, Jean Yanne, Michel Galabru qui connaissent bien leur mètier! On retiendra quelques rèpliques savoureuses ("Je vous demande cinq minutes, j'en ai pour un quart d'heure"), la chanson rigolote d'Annie Cordy qui joue ègalement dans le film et une apparition surprise d'Eddie Constantine dans le rôle du cousin Lemmy Caution pour une farce moyenne à dèfaut d'être regardable...
tixou0
Quel casting (Poiret/Serrault, Galabru, Francis Blanche, Jean Yanne, Darry Cowl.....et même Annie Cordy - la seule encore en vie...), mais on a beau être indulgent(e), et saisir au vol, avec profit (comique), quelques répliques savoureuses (comme le "c'est un chaud Latin"...), ce très daté "Ces Messieurs de la famille" n'est qu'un nanar..... Par tâcheron (Raoul André) - tant à l'écriture qu'à la réalisation.
Un bon vaudeville français à l'ancienne très marrant avec Michel Galabru, Michel Serrault, Jean Poiret, Francis Blanche.
Un bon film qui tient surtout à la présence de Blanche et Serrault, le jeu des autres acteurs etant mis en retrait.. dommage.
Une bonne comédie cela dit. :)
Une bonne comédie cela dit. :)
Francis Blanche s'en donne à cœur joie car c'est le genre de rôle qu'il adore.
Et quelle distribution : Poiret/Serrault/Jean Yanne/Darry Cowl...
Du vaudeville à la française, comme au théâtre. Et tous ces acteurs sont disparus.
Et quelle distribution : Poiret/Serrault/Jean Yanne/Darry Cowl...
Du vaudeville à la française, comme au théâtre. Et tous ces acteurs sont disparus.
Raoul André : un tel nom n'inspire que peu de confiance. Le bonhomme faisait partie de ces cinéastes honnêtes mais très limités qui concoctaient des petites comédies vite fait, bien fait, pour que les acteurs comiques de l'époque viennent s'éclater tout en touchant un gros, gros billet. Et ben, ce film-là, s'il ne révolutionne pas le vaudeville au cinéma, est une sacrée bonne surprise. On ne s'ennuie pas. Le rythme n'est pas spécialement dingue, mais on ne s'ennuie pas. Ça n'arrête jamais. Il y a toujours un truc qui se passe. Chaque personnage se retrouve dans une situation inconfortable, pour ne pas complètement irréaliste. Sans oublier le running-gag avec Michel Galabru jouant un flic qui, progressivement, perd complètement pied. Et la brochette d'acteurs d'enfer convoquée pour l'occasion s'éclate. Tous sont très bons. Mais, il faut avouer quand même que Jean Yanne, Francis Blanche et Darry Cowl sont un cran au-dessus. On notera un petit moment de flottement d'une dizaine de minutes, à l'arrivée de Yanne, mais rien de méchant. Moi je dis : vive la famille Pelletier. Avec elle, on se fend la poire.
Du pur Vaudeville, qui a le mérite de n’avoir aucune prétention. Le scénario n’a pas grande cohérence, il est surtout là pour des numéros d’acteurs (Francis Blanche avec l’accent germanique, Galabru en flic, Jean Yanne en mauvais garçon…) plaisants. Ça manque de délire burlesque, ou d’esprit caustique (qui fait l’intérêt d’un Mocky de même calibre).
Ces messieurs de la famille est une bonne comédie de Raoul André. La mise en scène est correcte, le scénario est travaillé, il y a de bons dialogues et l’humour fonctionne à merveille. Les acteurs comme Michel Serrault, Jean Poiret ou encore Francis Blanche sont convaincants et pour finir le film est divertissant. Je mets donc la note de 13 / 20.
Quelle brochette ! Et si personne ne démérite dans cette comédie farfelue il faut bien admettre que Francis Blanche, Darry Cowl et Jean Yanne sont au-dessus du lot. Comme dans tout film comique certains gags tombent à plat, mais dans l'ensemble la mécanique fonctionne plutôt bien, les bonnes répliques fusent et on ne s'ennuie pas une seconde tellement le rythme est d'enfer. Le sujet n'a pas grande importance mais permet au passage une critique très nette du puritanisme. A signaler que Darry Cowl en a composé la musique. On notera la présence de plusieurs très jolies femmes et notamment d'Anna Gaël, l'inoubliable vedette du mythique Zeta One. Un film à redécouvrir.
Une sympathique comédie avec les plus grands acteurs comiques français de l'époque. Beaucoup de rebondissements mais les gags ne volent pas toujours très haut. Et ça nous change des grossiéretés et vulgarités de la plupart des films soi-disant comiques actuels.
Un sympathique vaudeville qui dans l'ensemble se suit avec plaisir mais qui vaut surtout pour la belle palette de personnages interprétés notamment par Michel Serrault, Jean Poiret, Francis Blanche, Darry Cowl ou encore Michel Galabru et Jean Yanne. Bref, les interprètes, tous en forme, sont assez nombreux pour nous divertir. Après un début très rythmé et très drôle, l'intrigue va malheureusement devenir moins amusante dans la dernière demi-heure avec des situations convenues et des scènes répétitive. A voir néanmoins pour les acteurs.
Vu avec plaisir. C'est un vaudeville avec des va-et-vient incessants, des cadavres enroulés dans des tapis et des policiers déboussolés.
Quelle folie ! On rit de bon coeur, ça fait du bien et quel casting. Francis Blanche est simplement délirant en Strumberger "puritain", autant que Serrault en industriel dépassé par sa famille, que Darry Cowl en cinéaste-réalisateur barjo et qu'Annie Cordy en servante maoïste. Dans ce film ça n'arrête pas, les gags s'enchainent non stop. J'avais essayé de voir de Raoul André "Ces messieurs de la gâchette" qui n'etais pas trop regardable, mais ici chapeau ! Tout le reste est déjà dit dans les autres critiques. 4,5 étoiles sans aucune hésitation...
Gabriel Pelletier ( Michel Serrault) accueille chez lui un potentiel gros client américain (Francis Blanche, forcément), le type puritain tres attaché à la morale. Mais la famille de Pelletier, avec ses pièces rapportées que sont le frère, artiste illuminé (Darry Cowl, forcémént aussi) et pseudo cinéaste avant-gardiste -une pierre dans le jardin de la Nouvelle Vague- et le beau-frère séducteur (jean Poiret) accumulent les fautes de goût.
C'est sans subtilité ni vraisemblance que les auteurs de la comédie affligent Pelletier de situations graveleuses ou de mauvais concours de circonstances provoqués par sa petite famille d'originaux. Le scénario n'est certes pas bien brillant mais c'est surtout à la médiocrité de la mise en scène et à l'humour pesant que cette comédie populaire doit de décevoir, en dépit de la présence d'un savoureux groupe de comédiens, bien mal employés. Raoul André, dont les quelques plaisanteries sur le cinéma intello sont déplacées au vu de sa réalisation, met ses interprètes dans des situations d'autant plus grossières que sa direction d'acteurs est rudimentaire et les dialogues bien peu caustiques. En témoignent le rôle primaire de Francis Blanche et, accessoirement, les sottes idioties sur les policiers.
C'est sans subtilité ni vraisemblance que les auteurs de la comédie affligent Pelletier de situations graveleuses ou de mauvais concours de circonstances provoqués par sa petite famille d'originaux. Le scénario n'est certes pas bien brillant mais c'est surtout à la médiocrité de la mise en scène et à l'humour pesant que cette comédie populaire doit de décevoir, en dépit de la présence d'un savoureux groupe de comédiens, bien mal employés. Raoul André, dont les quelques plaisanteries sur le cinéma intello sont déplacées au vu de sa réalisation, met ses interprètes dans des situations d'autant plus grossières que sa direction d'acteurs est rudimentaire et les dialogues bien peu caustiques. En témoignent le rôle primaire de Francis Blanche et, accessoirement, les sottes idioties sur les policiers.
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