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    Koyaanisqatsi, la prophétie
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    69 critiques spectateurs

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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 151 abonnés 5 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2017
    Un constat amer qui replace l'homme au centre de sa condition de terrien. Il hérite d'une planète et va la détruire. L'homme est malfaisant ou faible??
    Passionnant, muet et tragique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    Très impressionnant , à visionner dans de bonnes conditions ( bonne qualité , écran assez important , noir ) car tout est dans le visuel et la musique de Philip Glass ( bluffante ; je conseille à ceux qui s'intéresse à lui le morceau "Music with changing parts" également , qu'a utilisé Quentin Dupieux pour Réalité , son dernier film ) ; Beaucoup de choses à dire sur ce que nous raconte cette oeuvre , beaucoup de gens semblent s'être déja attardés la-dessus dans les critiques , je ne vais pas les imiter . Je conseille simplement à toute personne curieuse et aimant l'atypique de se lancer dans ce film absolument exceptionnel , qu'il faut aussi revoir
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2016
    Plutôt déçu du regard anthropocentriste qui plane encore un peu trop sur ce documentaire dont j'aurais souhaité un recul total. Malgré les modulations apportées par le technique du film et son mouvement perpétuel, le regard, ici, est encore trop humain pour s'assurer à mes yeux un potentiel de fascination intact. Les soucis viennent surtout du montage parfois suggestif, qui oriente quand même pas mal le ton du film vers la fable écolo. La plupart des plans, des tableaux esquissés, sont d'ailleurs recentrés sur l'humanité moderne, sur la question du bien fondé de son mode d'existence, sur sa légitimité et sa place véritable. Encore ancré dans cette veine aussi clichée que moraliste, le film restitue de lui-même sa contemporanéité, et perd l'absence de visage qui avait rendu le début du voyage aussi spirituel. À briser les habitudes du regard et à donner à voir le temps et l'espace comme des données déformables à l'infini, Koyaanisqatsi arrive en effet par intervalles à faire vaciller l'esprit dans l'ordinaire de ses perceptions, à laisser s'esquisser en arrière-plan tous les mondes possibles quand celui que nous connaissons n'est finalement dû qu'à la rigidité de notre propre regard. En extrayant à travers notre œil même notre incapacité à nous dépasser, le film aurait pu générer une puissance souveraine et instiller profondément l'impression d'être perdu, à travers l'espace-temps et la méconnaissance qui nous sépare de lui. C'est le regard de Dieu que Reggio parait chercher à atteindre dans une manière nouvelle de chercher Dieu du regard. C'est donc dommage que son montage finisse par le trahir, en revenant à des intentions beaucoup trop prosaïques qui cassent la spirale d'infini et le vertige qui ne demandaient qu'à se mettre en place. Franchement déçu.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 décembre 2016
    Bon, un tâche difficile à réaliser, c'est de parler de ce film.
    En fait il est impossible de savoir à l'avance comment va réagir une personne devant Koyaanisqatsi, certains vont s'endormir, d'autres s'ennuyer, certains vont trouver le propos simpliste, et pour les autres ça sera des nuances d'appréciation allant de l'adoration inexplicable au bouleversement total. Chacun va voir le film à sa façon, et le mieux reste de le regarder.
    Personnellement je n'avais que moyennement envie de voir ce ''diaporama'' d'une heure et demie, en tout cas c'est comme ça que j'envisageais le film, j'en attendais au mieux une bonne surprise, alors après le bien que j'en ai entendu je l'ai regardé un soir où j'étais motivé. Seul, bon son, bon écran, bonne conditions.
    Puis est venu le générique pendant lequel je me remettais lentement du spectacle hallucinant auquel je venais d'assister, et les dix minutes qui ont suivi, j'ai compris la définition du mot claque, incapable de bouger de mon siège, encore ému de ce qu'il venait de se passer. Et ce qu'il s'est passé pour moi devant ce film, je ne saurai l'expliquer, il y a aucun mot pour décrire ce phénomène, à part Koyaanisqatsi.

    Tout ce que je pourrai vous dire c'est que j'ai été envouté dés le début par le charme des images et de la musique, puis rapidement hypnotisé par des séquence surréalistes (ce plan séquence de l'avion, mon dieu), et puis il y a cette séquence en accéléré qui m'a littéralement mis en transe pour me briser en mille morceaux dans le dernier segment du film qui est le spectacle le plus terrifiant et inexplicable que j'ai vu.
    Vraiment je ne comprends pas ma réaction face à ce film monumental qui n'est, a priori, pas mon genre de cinéma, une sensation extrêmement profonde et incontrôlable, un truc qui ne m'est jamais arrivé. Alors si vous avez envie de voir ce film, foncez, faites vous votre propre avis, et si vous l'avez aimé, je vous recommande les deux autres films de cette trilogie, Powaqqatsi étant pratiquement parfait visuellement.

    Enfin pour les plus curieux j'ai fait une critique vidéo de cette saga (dispo aussi sur youtube) :
    Benjamin A
    Benjamin A

    712 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2015
    Produit par Francis Ford Coppola et mis en scène par Godfrey Reggio, Koyaanisqatsi n'est ni un film, ni un documentaire mais plutôt une expérience ainsi que plusieurs images mises en musique sans aucune voix-off, ayant pour but de symboliser les trois prophéties Hopis.

    Je ne savais guère à quoi m'attendre avant de me lancer dans Koyaanisqatsi, et finalement c'est captivé et même fasciné que j'en ressors. Je ne connais pas précisément ce qu'ont voulu mettre en scène les auteurs, mais j'imagine qu'il doit y avoir plusieurs interprétations possibles, de mon côté, j'y ai surtout vu une vision pessimiste de l'humain, l'impression de voir l'homme penser maitriser la nature alors que ce n'est aucunement le cas et des humains qui, à l'image des fourmis, travaillent à la chaîne et suivent les mêmes courants. L'une des forces des propos, c'est de ne jamais essayer d'imposer un message précis, mais plutôt d'essayer de faire tendre vers plusieurs réflexions.

    Tout passe par les images, c'est la force de l'oeuvre et l'absence de quelconques paroles ou dialogues est totalement maitrisée et bien aidée, il est vrai, par une bande-originale envoutante et dont la répétition renforce l'atmosphère. Le montage est ingénieux, les séquences bien choisies et on reste, tout le long, fasciné par ces images et il en ressort une vraie puissance où l'on passe par différentes sensations et visions, de plans sur des humains, les constructions de ces derniers ou encore l'importance de la technologie et du matérialisme durant notre ère à des images naturelles de toutes beautés.

    C'est donc via un savant mélange de fascinations et diverses réflexions que l'on découvre des images mettant à mal la nature humaine et son évolution, le tout sublimé par d'ingénieux choix de séquences ainsi qu'une bande-originale envoutante à souhait.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 janvier 2016
    Koyyyyaaaaa-nisqaaaatsiiiii....
    La sublime musique de Philip Glass tourne dans la tête suite au visionage de ce veritable OVNI.
    Une reussite cinématographique a tout points. La musique : sublime , Les images et les times-lapses : merveilleux , et la réalisation , exellente.
    Koyaanisqatsi est le film qui m'a permis de découvrir ce veritable génie qu'est Godfrey Reggio.
    Ce film, très sincerment,, et pour moi (et je pense que pas uniquement) l'une des plus grandes experiences cinématographique que j'ai pu vivre. Une claque, une pure, qui nous laisse scotché, et qui nous laisse un tat de reflexions et de peur. Ou irons nous ? Jusqu'a ou la technologie va arriver ? Va-t-elle totallement envahir nos vies ? Existons-nous face a la cruelle routine quotidienne?
    Ce film est réelement unique, et aucun autre film du même genre ne parvient a l'egaler, non pas d'un point de vue esthétique, mais philosophique et naratif. Alors a tout les amoureux du Cinema, du vrai, je ne peut que vous conseiller de voir, ou plutot de vivre cette véritable experience unique que nous livre Godfrey Reggio a travers son film : Koyaanisqatsi
    Florie
    Florie

    29 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mars 2015
    Ce n'est pas un simple film, on est là en face d'une expérience visuelle et sonore qui touche à la mystique du méditant. L'ensemble est profondément bouleversant, car on est livré aux images sans fil interprétatif. La musique de Philip Glass rajoute un glacis d'hallucinations à l'orgue. La filiation avec Samsara et Baraka est bien entendu évidente. A revoir encore et encore pour essayer d'en faire le tour...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 décembre 2014
    Pas une seule parole, pas une seule intrigue, seulement des images et de la musique. Et malgré ça, le film arrive à communiquer tout plein de choses, de façon efficace sans susciter d'ennui.
    Le principe du film est de filmer l'humanité de façon objective et de laisser le spectateur se faire son propre jugement. Puis à la fin, la signification du titre est révélée : Koyaanisqatsi désignant la vie se désagrégeant.
    Le thème du film : la répétitivité. Il se divise en deux parties : la première est purement contemplative, belle, et la seconde est plus explicite, sombre, dépressive. Beaucoup d'idées noires sont communiquées : la place de l'homme sur terre dans une société en perdition, le sens de la vie de l'homme dans cette société, la répétitivité de ses actions, l'importance de la science et sa supériorité vis-à-vis de la nature, nature qui est pourtant notre base...
    On se rapproche du documentaire mais on reste dans du cinéma expérimental, un film écologique et musical rythmé par Philip Glass, qui livre une composition collant parfaitement à l'image et totalement culte.
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    62 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 décembre 2014
    Cela faisait longtemps que j'avais envie de voir ce film, c'est fait. Que dire? Pour moi c'est un véritable tour de force... Godfrey Reggio réalise un véritable OVNI avec aucun dialogue, une succession de plans et une musique de Philip Glass pendant 1h20, comparant l'Homme à une fourmi. Non seulement les plans sont très biens filmés, intéressants et évocateurs, je ne me suis pas ennuyé une seconde! Il fallait vraiment avoir du courage pour réaliser un film comme ça, car le public est très restreint... Ce que j'aime aussi c'est que le spectateur doit faire sa propre opinion. Un film génial mais trop peu connu hélas.
    carbone144
    carbone144

    89 abonnés 772 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2014
    Un documentaire inégal, attentif de la nature, qui n'explique pas énormément de choses mais qui les montre avec efficacité. Ce n'est pourtant qu'une heure et demie d'images naturelles saisissantes, atteignant parfois un certain degré de psychédélisme, sur un fond musical de toute beauté. La partition minimaliste (dans son sens stylistique noble) de Philip Glass est somptueuse, grandiose, parfaitement adaptée aux séquences qui défilent. C'est une belle expérience que de se laisser immerger dans le monde tel que l'Homme le forge dans les années 80. Dommage qu'il ne plaira pas à bien des gens, à coup sûr.
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2014
    Voir que ce film a pour chef opérateur et monteur Ron Fricke, le futur réalisateur du splendide Samsara, n’a rien de surprenant tant l’approche cinématographique de ces deux documentaires expérimentaux sont si similaires que Koyaanisqatsi peut être considéré comme la matrice du long-métrage de 2012. Avec sa façon de nous montrer, sans le recul de moindre voix-off ou d’une quelconque forme d’explication, à la fois la nature à son état le plus et l’humain de la même façon que l’on filmerait des insectes appuie la différence entre la pureté des paysages naturels et l’aliénation de cette civilisation empêtrée dans la malédiction de la répétition. Répétition dans la consommation de masse, dans la production industrielle, dans les transports ou encore dans la construction et la démolition d’immeubles, c’est là-dessus que repose cette mise en scène qui réussit à empiler de splendides images accélérées au rythme d’une musique tribale, qui elle-même se répète en boucle, sans jamais se montrer redondant ni ennuyeux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 juin 2015
    Un très bon film à mon avis, certains répondrait que le film est incompréhensible et prétentieux, et ils ne pourraient pas plus se tromper. Koyaanisqatsi est sublime grâce aux compositions de Philip Glass. (Une d'entre elles fut d'ailleurs reprise dans Watchmen) que j'ai simplement adorée. Le film a un message, certes peu être pessimiste, mais très juste.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 726 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2016
    Produit par Francis Ford Coppola, "Koyaanisqatsi" veut dire en langue hopi « la vie dèsèquilibrèe » . Sur ce thème, Godfrey Reggio nous invite à mieux comprendre ce mot ètrange dans un document expèrimental unique en son genre dont les dialogues sont exclus! Sur les aspects techniques du tournage, le cinèaste a menè à bien sur sept ans d'enquête un ovni du 7ème art mettant en valeur paysages naturels et villes urbaines à travers le Etats-Unis! Son ton est donnè par la juxtaposition des images et la musique hypnotique de Philip Glass! Par l'ambition et l'ampleur, c'est sans aucun doute l'oeuvre qui se rapproche le plus de Reggio ("Powaqqatsi" (1988) et "Naqoyqatsi" (2002) n'ont pas rèussi à faire mieux par la suite), captant au passage avec une justesse sidèrante l'atmosphère « dramatique » de la fin des annèes 70 et du dèbut des annèes 80! On est dans ces annèes qui prècèdent la catastrophe à la centrale nuclèaire de Tchernobyl! Film-somme, "Koyaanisqatsi" rècapitule l'essentiel de notre existence : un ètat ​​de vie qui appelle à une autre façon de vivre...
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2014
    J'avais une certaine crainte avant de voir ce documentaire, les quelques extraits que j'avais pu voir me laisser imaginer quelque chose d'assez ennuyeux mais bizarrement ça m'a intrigué et j'ai finalement tenté l'expérience ...

    ... Et WAOU ! Juste une claque monumentale ! Je n'aime pas trop utiliser le terme chef d'œuvre mais là s'en est bien un, un véritable voyage fabuleux qui nous montre notre monde sous un angle inédit. En fait ce n'est pas vraiment un documentaire ni vraiment un film, il n'y a ni narration ni voix off, juste des images de la Terre mises en musique, il est basé sur trois prophéties Hopis annonçant la perdition de la planète (cités lors du pré-générique final).
    Ce long métrage a nécessité en tout est pour tout de 7 ans de prises de vue et 4 années de post-production, autant dire un travail pharaonique et une entreprise très ambitieuse, et le résultat est à la hauteur des efforts, le réalisateur Godfrey Reggio le sortira dans les salles en 1982, le tout produit par Francis Ford Coppola.
    Le film est introduit avec une sorte de notion mystique, d'une caverne aux inscriptions étranges, et cette voix cérémoniale répétant "Koyaanisqatsi", puis ces longs plans contemplatifs du désert, des nuages, des océans, la nature y est sublimée, et petit à petit vient le métissage de l'industrialisation pour nous faire basculer dans l'abondance des mécanismes de la société de consommation.
    Il faut bien comprendre que ce film est avant tout un spectacle visuel et sensoriel, il faut vraiment se laisser entraîner par ce rythme en tout point unique, il dispose d'une véritable émotion, d'une réelle personnalité picturale, d'une âme. Les paysages évoluent, leurs contrastes sont saisissants, des collines désertiques aux buildings argentés, la notion de construction et destruction est assez critique, la saturation vient parasiter le calme des éléments.
    L'être humain semble happé par son environnement, il est presque déshumanisé, l'homme machine du XXème siècle fait froid dans le dos, les industries robotiques ont prit le contrôle, ne voulant plus s'arrêter jusqu'au point culminant de non retour. Tout s'accélère, les plans sont étourdissants, permettant de mettre en exergue cette folie qu'est devenue notre planète, la bande son est sublime, appuyant parfaitement toutes les idées et les sensations du film, entre musique baroque et électronique, tout est cohérent. Puis arrive cette dernière partie, ou le rythme se ralenti d'un seul coup, le degré pessimiste se veut alarmant, l'homme est au bord du gouffre, sur le fil, l'autodestruction est proche, jusqu'à l'excès de trop ... les prophéties semblent se concrétiser.
    Je ne sais pas si on peut considérer ce film comme écolo, car il va bien plus loin, c'est un vrai message sur le monde, de sa plus profonde substance à son plus petit détail, comme une odyssée visuelle et sensitive permettant de voir notre planète d'un point de vue nouveau, les time-lapes sont tellement saisissantes qu'elles donnent une dimension métaphysique au contenu.

    "Koyaanisqatsi" est une œuvre absolument incroyable, sans doute une de mes plus grandes expériences cinématographiques, on est littéralement scotché du début à la fin devant tant de beauté et de spectacle, une ambiance, des images et une bande son qui nous font voyager au delà de notre perception du monde qui nous entoure, grandiose !
    Plume231
    Plume231

    3 891 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    Un documentaire, enfin peut-être, enfin du moins un OVNI, un OVNI ou disons un documentaire expérimental OVNI qui est un assemblage d'images autour du thème d'un monde qui s'est totalement perdu dans l'industrie et la technologique ; le tout sans le moindre commentaire, une heure et demie sans intrigue...
    Les premières images tournent autour des merveilles de la Nature, des véritables merveilles. Une introduction qui apaise avant de plonger de plein fouet dans une frénésie industrielle et technologique que l'accélération de l'image ne fait qu'amplifier. On est choqué en même temps que fasciné. Le pouvoir de l'image n'a pas de limite.
    Et si celle-ci est indéniablement l'actrice principale, elle doit partager tout de même la vedette avec l'excellente musique du grand Philip Glass dont on reconnait la patte entre mille.
    Bon, je dois avouer que le cinéma expérimental n'est pas du tout ma tasse de thé et que le cinéaste Godfrey Reggio ne fait pas de manière pour appuyer son propos et délivrer un message écologique, mais dans le genre on est incontestablement dans le haut du panier et il faut bien avouer qu'on a le droit à des moments hypnotiques.
    L'oeuvre contemplative par excellence, mais avec un fond, où image et son, enfin plutôt musique, font quelques merveilles.
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