Mon compte
    Highway 65
    Note moyenne
    3,0
    195 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Highway 65 ?

    28 critiques spectateurs

    5
    1 critique
    4
    8 critiques
    3
    10 critiques
    2
    8 critiques
    1
    1 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    islander29
    islander29

    879 abonnés 2 381 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2024
    Un film « policier » qui manque parfois d’adrénaline et de surprises…..Le scénario est lent, l’enquêtrice est loin d’être un sexe symbole??? On est dans la série Colombo en terme de rythme…..je m’égare sans doute, c’est un film israélien, qui n’a rien à voir. Le film est quand même intéressant mais avec des longueurs, et peu d’esthétisme, c’est un regret, absence de panorama, de musique, de travelings etc.…..Manque de tension, aussi…. Bref ça ronronne et on aurait pu couper vingt bonnes minutes…..Ni bon, ni mauvais, à vous de voir d’autant que cela aurait pu se passer n’importe où en dehors d’Israël…. C’est peut être cela le vrai reproche, un manque d’identité….Titre trompeur rien à voir avec une highway ???
    capirex
    capirex

    99 abonnés 340 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 août 2024
    Très intéressant film de Maya Dreifuss , tourné en Hébreu , qui repose sur un habile scénario assez sinueux !
    A noter qu'ici se sont les Femmes qui ont des rôles clés ce qui est assez rare , dans le Genre Policier , pour être souligné !
    Joce2012
    Joce2012

    213 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2024
    Très bon film qui tient en haleine dès le début, bon scénario et bonne interprétation, profil du personnage principal pas commun et original appréciable
    Noël C
    Noël C

    9 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 août 2024
    Un film qui pourrait être présenté comme le premier épisode d’une série intitulée “enquêtrice Daphna” , avec cette super héroïne Daphna, sorte de Capitaine Marleau atypique qui arrive dans un commissariat (gendarmerie) de province et, bien sûr, va trouver qui et comment, après quelques dizaines de séquences violentes, presque loufoques…
    traversay1
    traversay1

    3 671 abonnés 4 887 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 août 2024
    Certains polars valent plus par leur atmosphère et l’ambiguïté de ses personnages que par le suspense, voire la vraisemblance, de leur scénario. C'est au cœur d'Israël, dans une petite ville sans attrait, que Maya Dreifuss a situé son histoire, autour de la disparition d'une femme, veuve d'un soldat mort au combat. Le récit trouvera son dénouement, comme il se doit, mais la réalisatrice, dans ce récit à mèche longue (trop penseront sans doute certains), s'intéresse avant tout à Daphna, son héroïne, flic déclassée, moitié rebelle, moitié nonchalante, qui ressemble à une version féminine de policiers bien connus de la littérature, que ce soit chez Arnaldur Indridason ou Michael Connelly. Un personnage assez mal embouché qui se heurte à la toute puissance d'une famille, au patriarcat dominant et à la corruption locale. La mise en scène, sans faire grimper au rideau, est très précise et le scénario, tout en respectant les règles du genre policier, s'échappe assez souvent dans ce qui paraissent être des digressions mais qui contribuent au climat poisseux qui règne dans ce bled sans caractère. L'empêcheuse de tourner en rond est jouée par l'étonnante Tali Sharon, parfaite dans une rôle qui offre une vision de la féminité assez éloignée des canons du genre. Un excellent film si l'on est patient et sensible à son humour (mais oui !) et à son intelligence descriptive.
    RENEE D.
    RENEE D.

    19 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2024
    J'ai adoré ce film. Il m'a tenu en haleine tout le temps. La femme flic devient attachante, et même féminine à la fin.
    Doinel
    Doinel

    12 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 juillet 2024
    Une bonne surprise. Un film prenant qui repose sur un habile scénario et le jeu impeccable des acteurs en particulier de celle qui tient le rôle principal. On pourrait juste déplorer des faiblesses de réalisation : images et surtout montage.
    FaRem
    FaRem

    8 844 abonnés 9 664 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2024
    Daphna débarque de Tel-Aviv pour travailler dans la ville d’Afula. Un endroit tranquille en apparence, mais sa première enquête sur la disparition d'une jeune femme ne va pas être de tout repos. Elle prend son travail au sérieux, ce qui ne semble pas être le cas de beaucoup de ses collègues. Elle fouine et ça semble déranger... Une omerta dont elle se moque tout comme des conséquences. À l'image de Daphna, le film a un côté je-m'en-foutiste très étrange. Elle bosse, ce n'est pas le problème, mais on ne ressent jamais l'urgence de la situation. À ce niveau-là, "Highway 65" est totalement dénué de tension. On est loin du polar de l'été comme écrit sur l'affiche française. L'enquête se laisse tout juste suivre, mais il n'y a rien de captivant ou de haletant. Par contre, j'ai bien aimé le personnage de Tali Sharon qui vit comme elle l'entend puisqu'elle ne représente pas ce que la société attend d'une femme. Au final, c'est moyen sans plus.
    selenie
    selenie

    6 378 abonnés 6 216 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2024
    On devine d'emblée que cette policière (enquêtrice plutôt !) vient d'être mutée, et on devine que c'est disciplinaire. Policière têtue, femme célibataire et indépendante, là voilà dans une petite ville de province où les gens s'interrogent plus sur son célibat et l'absence d'enfant à son âge plutôt qu'à la disparition d'une jeune femme. Dès le départ de l'enquête on a deux faits certains, le ou les coupables sont de la belle-famille, mais que l'enquête ne tient pas la route une seule fois tant tout repose sur de simples suppositions puis sur des actions-réactions de la policière toutes plus illégales ou invraisemblables les unes que les autres... SPOILERS cliquez pour en savoir plus !... C'est le B.A.BA mais il manque des preuves tangibles, au moins une. Heureusement il y a Daphna/Sharon, et surtout un climax aussi anxiogène que contemplatif appuyé par une canicule qui ne semble touché que l'héroïne, puis on aime l'ambiguité des autres personnages même si on aurait aimé un propos féministe (avec sa supérieure notamment) plus pregnant ou plus assumé.
    Site : Selenie.fr
    Yves G.
    Yves G.

    1 507 abonnés 3 527 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 août 2024
    Daphna est inspectrice de police. Elle vient d’être mutée à Afoula, une petite ville de province, loin de Tel Aviv et s’y morfond. Elle s’émeut de la disparition d’Orly, une ancienne reine de beauté, veuve d’un soldat tombé au front, et suspecte un crime sur fond d’adultère.

    Grand Prix du dernier festival Reims Polar, "Highway 65" nous vient d’Israël. Mais son sujet est universel. Son ambiance moite m’a rappelé le bayou de Louisiane de "True Detective". La loi du silence à laquelle Daphna se heurte m’a quant à elle rappelé l’Andalousie de "La Isla Minima".

    Comme tous les bons polars, "Highway 65" vaut d’abord par son héroïne. La quarantaine, bougonne et solitaire, le visage mangé par ses lunettes, incapable de manger un falafel sans en étaler la sauce sur son corsage, Daphna n’a rien d’aimable. Pourtant, on s’attache à elle et on partage vite son entêtement à résoudre l’énigme à laquelle elle est confrontée.

    Cette énigme trouve peut-être sa solution dans une vidéo que Daphna découvre sur le portable d’Orly. Des indices se révèlent progressivement, mettant Daphna sur la piste de la belle-famille d’Orly, les Golan, qui ont pris sous leur protection la jeune femme après la mort de son mari. Les soupçons de Daphna se resserrent : le père, qui peut-être a entretenu une liaison avec Orly ? la mère qui se tait pour protéger les siens ? le fils cadet qui exerce sur Daphna une attirance vénéneuse ? Mais les Golan, riches entrepreneurs, jouissent à Afoula d’une réputation sans tache et Daphna ne peut pas compter sur sa hiérarchie pour mener à bien ses investigations.

    "Highway 65" est un polar canonique, respectueux des règles du genre qui ne révèle guère de surprises, jusque dans les surprises qu’il révèle.
    velocio
    velocio

    1 324 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 août 2024
    Comparer ce film à un téléfilm de France 3 serait presque injurieux pour les productions de France Télévision. Disons qu'il y a certes des téléfilms de France 3 ou de France 2 qui sont plus médiocres que "Highway 65", mais que, heureusement, il y en a de bien meilleurs. C'est un euphémisme de dire qu'on s'ennuie à suivre Daphna, une policière quadragénaire qui a été mutée dans un coin paumé d'Israël et qui se lance à la recherche d'une jeune femme dont on a retrouvé le téléphone près d'un champ de maïs. Cette jeune femme a beau se prénommer Orly, le film ne décolle jamais. C'est laborieux, c'est souvent invraisemblable. Les films israéliens ont souvent le bon goût de se montrer très critique envers leur gouvernement. Ce n'est pas le cas ici ! Tout juste peut on sauver Tali Sharon, l'actrice qui interprète le rôle de Daphna, une policière très atypique.
    Cinememories
    Cinememories

    489 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2024
    "Quand bien même la condition de la femme en terre israélienne est de moins en moins ambiguë, il reste encore du chemin à parcourir avant de rééquilibrer le rapport de force, toujours dicté par la culture du patriarcat. Maya Dreifuss ne cache donc pas son envie d’en étudier les contours dans ce Highway 65, une route circulaire, qui ramène les personnages vers ce point de rupture qu’ils ont trop longtemps esquivé."

    "Les jeux de pouvoir entre les hommes et les femmes tenaient déjà une place importante dans She is coming, son premier long-métrage. Cette fois-ci sans romance pour approfondir le sujet, Highway 65 se présente comme une denrée rare dans le paysage cinématographique israélien et tournée en hébreu. Véritable défi de production, ce film policier possède tous les éléments qui rendent hommage au cinéma de Chabrol, Hitchcock et Melville, si chère à la cinéaste. On se réjouit qu’un tel registre soit mis en avant par une militante aussi impliquée. Malheureusement, le fantasme ne dure que le temps de l’exposition. Le reste de l’intrigue manque d’éveiller cette fureur féminine, ou ce souffle sororal, qui justifieraient toutes ses lettres de noblesse au polar."

    "Highway 65 manque tristement d’efficacité dans ce qu’il entreprend. D’une scène à l’autre, l’intensité ne génère aucune tension, rendant ainsi les enjeux du récit obsolètes. Maya Dreifuss mise sur une approche trop théorique sur la condition des femmes dans son pays et nous perd dans un faux-rythme. Elle échoue cependant à joindre les deux bouts lorsque vient le moment de rendre des comptes. La performance de la comédienne principale ne peut effacer toute cette frustration, mais il faut reconnaître que la problématique des femmes dans l’Israël actuel ne laisse personne indifférent."

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    ned123
    ned123

    162 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2024
    J'ai vu un film... un thriller avec une intrigue assez classique... Une femme disparaît et une policière enquête... Mais ce n'est pas là la grande originalité... Dans les enquêtes policières à l'étranger, ce qui fait souvent l'intérêt du film, c'est sa dimension sociologique de la présentation d'une société (la police, le rapport entre les hommes et les femmes, les détails...)... Et ici, il est question de jeux de pouvoir patriarcaux, de justice et la place de la femme dans la société israélienne...

    Nous sommes donc en Israël, avec une policière en rupture de ban, mutée de Tel-Aviv dans une contrée lointaine de Province (vue la taille du payse, j'ai l'impression de parler d'un état-continent ;)) partant à la recherche d’une ex-reine de beauté, veuve depuis 10 ans d'un soldat tombé à la guerre, soupçonnée d'avoir une relation avec un homme marié, qui disparaît sans laisser de trace. Anti-héroïne, Tali Sharon, l'actrice, excelle dans ce rôle de femme libre. J'adore sa façon de mordre dans les falafels... et de se tacher partout... ;)

    Audacieux dans sa représentation de la féminité, le film s’avère, malheureusement, trop mécanique, trop convenu et assez plat dans sa mise en scène (sauf 1 scène magnifique...), s’appuyant notamment sur un scénario sans grosse surprise... L'intérêt résidant dans les confrontations des personnages.. Même, si la fin parvient à surprendre (un peu), le temps semble s'étirer un peu trop en longueur...

    Dès le départ de l'enquête, on voit la direction que l'enquête va prendre... Il y a assez peu de surprises, et tout repose sur des intuitions et des coïncidences cousues de fils blancs... Bon, disons qu'il y a de l'ambition, une volonté de faire du David Lynch ou de se rapprocher des frères Coen, mais là, cet objectif n'est pas atteint....

    Ce film a reçu le Grand Prix du dernier festival Reims Polar... avec les femmes à l'honneur dans ce film...
    Timoté L.
    Timoté L.

    56 abonnés 340 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 septembre 2024
    Très bon film d'enquête comme on les aime prenant jusqu'à les toutes dernières minutes, exactement ce qu'on s'attend d'un bon thriller
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)

    18 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 août 2024
    La jeune et belle Orly a disparu depuis quelques temps, mais personne ne semble s’en inquiéter. Ni la police, ni la riche famille Golan au sein de laquelle elle vit, car Orly est la défunte épouse du fils aîné, mort au Liban quelques temps auparavant. Daphna, une enquêtrice de police récemment mutée de Tel-Aviv dans la ville d’Afula en Israël, s’empare de l’enquête pour mener des investigations poussées, interrogeant la plupart des personnes qui gravitent autour de la jeune disparue. Mais très vite, elle se rend compte qu’une sorte d’omerta règne dans la ville, que des gens semblent en savoir plus qu’ils n’en disent. Malgré les risques qu’elle prend, les nombreuses pressions de sa supérieure, et les menaces qui semblent planer sur elle, Daphna s’obstine dans sa mission afin de faire la lumière sur cette mystérieuse disparition.

    Porté par une musique ambient-guitar parfaite, composée par Pierre Oberkampf, le film récompensé du « Grand prix » au dernier festival Reims polar, vaut avant tout pour son ambiance et ses personnages. En premier lieu, cette enquêtrice solitaire, mystérieuse et perspicace, mutée pour avoir trop parlé, qui se méfie de tout le monde, et dont tout le monde se méfie. Elle est au centre du récit situé dans des décors naturels très cinématographiques, parfaits pour accueillir ce polar minimaliste et très classique dans son déroulement, nous plongeant, au fil des minutes, dans une enquête compliquée, menée par une inspectrice qui se prête à toutes les supputations pour essayer de comprendre pourquoi et comment la jeune femme a disparu.

    L’actrice Tali Sharon, qui incarne, le personnage principal, constitue une belle révélation. elle joue une femme libre et tenace autour de laquelle gravite des policiers retors, soumis à la puissante famille Golan, qui souhaite, on l’aura compris très vite, étouffer l’affaire.

    Dans une mise en scène à la fois simple et soignée, la réalisatrice Maya Dreifuss – qui signe là son second film – , réussit un beau portrait de femme, mais aussi un thriller sec et sans effet, jamais dénué d’humour et de sensualité, qui parle aussi de la place des femmes dans une société israélienne encore bien trop patriarcale.

    https://www.benzinemag.net/2024/08/12/highway-65-de-maya-dreifuss-sur-la-piste-dorly/
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top