Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Associant ainsi avec une véritable pudeur, romantisme et mysticisme, le film s’avère incroyablement dépaysant, porteur d’une émotion à fleur de peau, et au final parfait contrepoint à toutes les grosses productions au rythme effréné qui inondent en ce moment les écrans.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Avec « Shambhala », la contemplation et sa grandiloquence esthétique est en trompe-l’œil de la violence sociale, de la déconsidération de la femme, du poids de l’égo et de la rumeur destructrice, ici au Tibet, mais là-bas en Occident, une universalisation du mal dans un écrin de merveilles.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Florence Vierron
Un temps de méditation bienvenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Un surgissement saisissant qui donne le sentiment d’être pris au cœur d’une grande fresque mythologique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Cl. F.
Il est beau de voir comment le cinéaste met en images cette épopée intime et spirituelle où les silences, les regards et les musiques entêtantes atteignent un certain magnétisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
Présenté en compétition à Berlin, Shambhala dresse le portrait d’une femme forte, prête à tout pour sauver son honneur. Malgré quelques longueurs, on retient la beauté et l’atmosphère singulière du film.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Lucie Chiquer
Une épopée aussi salutaire que l’air de ces alpages coupés du monde, qui rappelle combien il est précieux de prendre le temps. Vivifiant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Shambhala, le royaume des cieux séduit aussi par son féminisme inattendu, porté par l’héroïne du film (...) Mais l’odyssée de de ce beau personnage laisse une trop grande place à la description détaillée des rituels religieux, façon bouddhisme tibétain pour les nuls. On espérait un grand film d’aventures en terre (presque) inconnue, on a souvent l’impression d’assister à une conférence de Connaissance du monde…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
On ressent d’emblée devant Shambhala l’un des plus grands plaisirs que peut procurer le cinéma : celui de sentir qu’on explore à chaque séquence un espace, qu’on découvre petit à petit un monde qui ne nous est pas donné comme une évidence.
Abus de Ciné
Associant ainsi avec une véritable pudeur, romantisme et mysticisme, le film s’avère incroyablement dépaysant, porteur d’une émotion à fleur de peau, et au final parfait contrepoint à toutes les grosses productions au rythme effréné qui inondent en ce moment les écrans.
Culturopoing.com
Avec « Shambhala », la contemplation et sa grandiloquence esthétique est en trompe-l’œil de la violence sociale, de la déconsidération de la femme, du poids de l’égo et de la rumeur destructrice, ici au Tibet, mais là-bas en Occident, une universalisation du mal dans un écrin de merveilles.
Le Figaro
Un temps de méditation bienvenu.
Les Inrockuptibles
Un surgissement saisissant qui donne le sentiment d’être pris au cœur d’une grande fresque mythologique.
Le Monde
Il est beau de voir comment le cinéaste met en images cette épopée intime et spirituelle où les silences, les regards et les musiques entêtantes atteignent un certain magnétisme.
Les Fiches du Cinéma
Présenté en compétition à Berlin, Shambhala dresse le portrait d’une femme forte, prête à tout pour sauver son honneur. Malgré quelques longueurs, on retient la beauté et l’atmosphère singulière du film.
Première
Une épopée aussi salutaire que l’air de ces alpages coupés du monde, qui rappelle combien il est précieux de prendre le temps. Vivifiant.
Télérama
Shambhala, le royaume des cieux séduit aussi par son féminisme inattendu, porté par l’héroïne du film (...) Mais l’odyssée de de ce beau personnage laisse une trop grande place à la description détaillée des rituels religieux, façon bouddhisme tibétain pour les nuls. On espérait un grand film d’aventures en terre (presque) inconnue, on a souvent l’impression d’assister à une conférence de Connaissance du monde…
Cahiers du Cinéma
On ressent d’emblée devant Shambhala l’un des plus grands plaisirs que peut procurer le cinéma : celui de sentir qu’on explore à chaque séquence un espace, qu’on découvre petit à petit un monde qui ne nous est pas donné comme une évidence.