Mon compte
    The Apprentice
    Note moyenne
    3,9
    2801 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Apprentice ?

    225 critiques spectateurs

    5
    17 critiques
    4
    119 critiques
    3
    74 critiques
    2
    7 critiques
    1
    7 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    118 abonnés 345 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2024
    A vu « The Apprentice » du réalisateur dano-iranien, Ali Abbasi. Le film retrace l’ascension vers les sommets architecturaux et politiques du jeune et peu sûr de lui Donald Trump, avec l’aide de, en premier de cordée l’avocat Roy Cohn, conservateur, homosexuel et « grand cerveau » lors de la chasse aux sorcières dans les années 50 menée par McCarthy. Cet avocat est un personnage faustien en diable, assumant toutes ses contradictions. Le film que l’équipe Trump a tout fait pour en interdire la sortie, est passionnant dans la peinture de ce duo d’arrivistes dont la motivation est puisée par l’envie démesurée du pouvoir et de passer pour des « tueurs » et non les loosers qu’ils sont aux yeux de la haute société new-yorkaise. Le film dont l’image tout en grain fait énormément penser aux sitcoms américains des années 70-80 est captivant et accompagné d’une bande son musicale du tonnerre. Cynique, caustique, percussif… les 140 minutes passent à toute vitesse et l’on est happé par le pacte maléfique qui unit ces deux personnages qui n’ont aucune considération l’un pour l’autre, si ce n’est que chacun à besoin de l’autre. Ce film n’est pas un biopic sur Donald Trump à proprement parlé car le scénario est plutôt axé sur le binôme (merveilleuse idée) et qu’il ne se concentre que sur quelques années, celles d'apprentissage. « The apprentice » comme son titre l’indique est plus à voir comme un parcours initiatique shakespearien et effrayant. L’interprétation de Sebastian Stan (Donald Trump) est superlative et évite toute caricature. Mais la prestation la plus puissante est celle de Jeremy Strong dans le rôle bien plus intéressant et fondamental qu’est celui de Roy Cohn : spoiler:
    une sorte de Gepetto qui se fait dévorer tout cru par sa marionnette spoiler:
    . De plus il y a les tubes disco de Donna Summer, Brooklin dreams… et autres pour faire passer les pilules du cynisme et de l’immoralité de façon plus agréable.
    Theo
    Theo

    19 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2024
    "The Apprentice" est un film qui, sans aucun doute, capte l’attention, mais laisse un arrière-goût d’inachevé. Il se présente comme une exploration fascinante des premières années de Donald Trump, un sujet certes complexe, mais qui aurait pu être traité avec plus de profondeur et d’audace. D’entrée de jeu, le film propose un casting solide avec Sebastian Stan et Jeremy Strong en tête, chacun brillant dans leur rôle respectif de Trump et Roy Cohn. Ces performances sont indéniablement le point fort du film, apportant une intensité indiscutable à chaque scène. On ressent clairement l’alchimie et l’influence toxique entre les deux personnages, ce qui reste l'un des meilleurs aspects de l'œuvre.

    Cela dit, malgré cette interprétation remarquable, le film semble hésiter à aller jusqu’au bout de ses idées. Il y a un manque de prise de risques, tant dans le scénario que dans la mise en scène. Le film se veut captivant et dramatique, mais il reste souvent en surface, sans jamais vraiment plonger dans les aspects les plus sombres ou les plus complexes de la personnalité de Trump. On aurait espéré une exploration plus poussée de ses motivations, de ses contradictions, voire de son héritage moral. Mais au lieu de cela, "The Apprentice" choisit de rester relativement convenu, évitant les polémiques profondes tout en effleurant les grands thèmes du pouvoir, de la cupidité et de la corruption.

    Visuellement, le film est bien conçu. La reconstitution des années 70 et 80 est impeccable, avec une attention aux détails qui rend justice à l’époque. Toutefois, cette perfection visuelle masque une certaine froideur dans la réalisation. Ali Abbasi, connu pour son style plus tranchant dans ses films précédents, semble ici bridé, optant pour une approche presque trop maîtrisée, trop lisse. On sent qu’il aurait pu se permettre davantage d’audace dans sa manière de raconter cette histoire, mais le résultat final reste mesuré, comme s’il craignait de s’attirer les foudres d’une partie du public ou des critiques.

    Là où le film marque des points, c’est dans sa capacité à maintenir une distance par rapport aux tendances actuelles de la morale cinématographique. À aucun moment il ne s'égare dans des discours moralisateurs ou ne cherche à répondre à l'air du temps, ce qui est rafraîchissant. Cela dit, ce refus de prendre position laisse parfois le film sans direction claire, flottant entre le simple divertissement et une étude de personnage plus complexe qui aurait mérité d’être plus creusée. C'est ce manque de cohérence dans l’intention qui empêche "The Apprentice" de s’élever au-delà du film biographique conventionnel.

    Le rythme, bien que globalement acceptable, souffre de quelques longueurs. Les moments les plus marquants, tels que les interactions entre Trump et Cohn, sont souvent suivis de scènes qui traînent en longueur, diluant ainsi l’impact émotionnel du film. On passe rapidement d’un événement marquant à l’autre, sans vraiment prendre le temps de s’immerger dans les conséquences de ces actions. Le résultat est une progression narrative qui, bien que cohérente, manque parfois de profondeur et d’émotion.

    Enfin, bien que le film ne cherche pas à glorifier Trump, il semble aussi hésitant à le déconstruire. On ressent une certaine neutralité, presque une réticence à s'engager pleinement dans une critique de ses actions. Cela pourrait plaire à certains, mais laisse un goût d’inachevé pour ceux qui espéraient une analyse plus mordante et incisive du personnage.

    En somme, "The Apprentice" est un film qui oscille entre efficacité et frustration. Il est suffisamment bien fait pour être apprécié, mais il manque cette étincelle, ce quelque chose en plus qui en ferait une œuvre véritablement marquante. Il se laisse regarder sans déplaisir, mais une fois le générique terminé, on se rend compte qu’il aurait pu être tellement plus. Un film qui fait le travail, mais sans briller pleinement.
    Swindgen
    Swindgen

    9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2024
    C Ce film vient rattraper notre manque de connaissance sur le sujet Trump. Rappeler que pour une certaine intelligentsia new-yorkaise, le gars fut une idole, un millionnaire starisé considéré comme glamour et synonyme de succès, bien avant de devenir star de téléréalité et homme politique idole des néo-conservateurs.


    Vous n'en avez pas envie ? Moi non plus. De la même façon que les spectateurs du dictateur de Chaplin n'en avaient pas forcément envie non plus. D'autant que là,le taux de rigolade est inversement proportionnel aux nombre de mensonges débités par son personnage principal. Pourtant ce film, à sa manière mineure, propose aussi une vision dépassant son sujet premier.


    Dans le roman culte American Psycho de Brett Easton Ellis, le héros est trader et un psychopathe auteur de meurtres horribles sur des femmes. Et l'idole de ce gars, qui est un monstre, est Donald Trump. Certains grands écrivains, c'est vérifié, ont des dons de clairvoyance, et chacun(e)s jugera s'il avait mis dans le mille.


    Nous découvrons un jeune Donald qui aime ce qui brille, une coquille vide et opportuniste en quête d'un gouvernail pour sortir de l'ombre de son riche entrepreneur de père, ce qu'il va trouver en la personne du célèbre avocat Roy Cohn, magistralement interprété par un Jeremy Strong comme possédé. Pour une raison obscure (désir?), ce mentor magouilleur machiavélique et doté d'un grand entregent est séduit par le potentiel du jeune Donald, à qui il va enseigner l'art de gagner, ouai bébé. En trois règles _ qui n'ont pas leur place dans ses lignes.


    Son ascension se suit d'un trait, le film trouvant le moyen de nous intéresser à cette énorme baudruche lancé à l'assaut du ciel new-yorkais, cet homme si médiocre humainement sous le fric, les paillettes, le marbre rose et l'épiderme orange. Sa réussite américaine jusqu'à la caricature. Bigger than life en un sens, le plus pourri de l'intérieur et le plus vide. Et qu'est-ce que le mal, sinon l'absence de bien ?


    Pour la première fois, on touche du doigt la glaise du personnage et c'est fascinant. Et éprouvant. On voit bien cette tendance lourdes issue des séries anglo-saxonnes de prendre pour héros central un sale type, dont nous découvrirons les facettes jusqu'à le rendre humain. Mais là, les rires de la salle pour saluer la poignée éparse de gags à l'écran mouraient dans les gorges. Car si il a été évoqué la difficulté à représenter ce gars dans une fiction, ce film semblait trop réel.


    Son interprète, Sebastian Stan, livre une performance énorme digne de celle de Jeremy Strong, ce qui n'est pas peu dire. On notera au passage les piques adressée à l'upper middle class East coast superficielle des années Reagan, dont la décadence n'a pas attendu l'Amérique d'aujourd'hui, y compris son milieu artistique, où la rencontre avec Andy Warhol est avérée. Mais s'il se montre sans complaisance à l'égard de ses personnages, le film laisse en partie le spectateur juge, d'où un possible syndrome Scarface chez les plus impressionnables ou réacs _ comme dans la vraie vie, donc.


    Un petit bijou en tandem scénar/réalisation, fouillé, nerveux mais laissant place aux nuances. Pour le premier on retrouve la plume de gabriel Sherman, l'auteur de The Loudest voice in the room, excellente mini-série sur la genèse (déjà) de Fox News. Qui confirme son talent. Tandis qu'Abbasi s'avère un cinéaste à suivre, confirmant peut-être qu'il n'y a pour l'heure que des cinéastes étrangers capables de s'attaquer au maelstrom secouant les États-Unis.


    Leur duo démaquille le show d'un Manhattan dont les brillants reflets ne se trouvent plus que dans les caniveaux. Sans gras. Sauf à la ceinture de son personnage, auquel il serait criminel de consacrer un tel film, si ce n'était si nécessaire. Recommandable. Potentiellement accablant.
    Inès Faure
    Inès Faure

    8 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2024
    Réalisation et jeu d’acteur de qualité, mais le film manque un peu de profondeur. On a au final l’impression de tourner autour du pot, malgré l’évolution du personnage de Trump.
    sameplayerparis
    sameplayerparis

    35 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2024
    Un film prenant, qui plonge dans le New York des années 70 et 80 et sur la façon dont Donald Trump a été inspiré et formé par des personnages tous plus immoraux les uns que les autres.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    95 abonnés 425 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2024
    Nous sommes dans le registre de la farce et de la satire pour un double portrait, celui du maître en la personne de Roy Cohn, avocat influent et entremetteur (qui se vante sans vergogne d'avoir conduit les Rosenberg à la chaise électrique) et du disciple incarné par le jeune Donald Trump qui va bientôt faire fortune dans l'immobilier.
    Dans le New York des années 80, dévoyé et fasciné par l'argent, l'élève va apprendre très vite jusqu'à vampiriser peu à peu son mentor.
    Dans une esthétique plutôt laide, en écho de la déliquescence de Big Apple, The Apprentice prend souvent les allures d'un clip au montage saccadé et ponctué par les hits de l'époque. Trump n'y est certes pas dépeint avec mansuétude : personnage vulgaire et détestable au comportement d'un goujat avec les femmes, y compris la sienne, sans foi ni loi, obnubilé par la sauvegarde de son pays. Difficile dès lors comment le film peut être reçu de l'autre côté de l'Atlantique, mais ce qui pose problème avec un peu de recul, c'est le ton désinvolte qui caractérise l'ensemble, éloignant du coup sa potentielle gravité. On parle tout de même d'un homme qui va être Président dans quelques années de la première puissance mondiale - et peut-être d'ici quelques semaines.
    Ali Abbasi semble avant tout s'amuser, choisir le parti de la dérision comme si tout cela n'était qu'un canular ou, pire encore, un jeu. On nous donne à voir un spectacle graveleux et terrifiant pour lequel une fascination malsaine et inconsciente s'exerce.
    On reste au final dubitatifs sur le choix du réalisateur et sceptiques quant à son opportunité.
    Jylg
    Jylg

    46 abonnés 391 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2024
    Intéressant de bout en bout. L’acteur incarne Trump avec de plus en plus de justesse au fur et à mesure des années. Cependant, il me semble qu’il manque quelques années avant sa candidature au poste de gouverneur… il est vrai qu’on connaît mieux cette période…
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    57 abonnés 1 175 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2024
    Le film est à multiples facettes (le titre fait allusion à une émission de téléréalité qu’animait Donald Trump sur NBC de 2004 à 2015) : d’abord sur les débuts de Donald Trump (Sebastian STAN, 42 ans) comme hommes d’affaires, se dégageant de la tutelle de son père et apprenant les ficelles du métier ( spoiler: attaquer, ne rien avouer et se considérer vainqueur même en cas de défaite
    ) grâce à l’aide de son avocat Roy Cohn (1927-1986) (Jeremy STRONG, 46 ans) qui s’était fait une réputation lors du procès des époux Julius et Ethel Rosenberg (communistes accusés d’espionnage et exécutés sur la chaise électrique le 19 juin 1953) et lors de la chasse aux communistes (1950-1954) du sénateur McCarthy dont il était le conseiller juridique ( spoiler: sans oublier les dossiers compromettants qu’il constitue sur ses nombreux contacts
    ). On y voit le changement de Trump au fil des années, dépassant son mentor et oubliant son action bénéfique, dévoilant sa personnalité ambitieuse, égoïste, mégalomane et mythomane. C’est aussi un film sur les Etats-Unis des années 1970 et 1980, notamment sous les présidences de Richard Nixon (1969-1974) et de Ronald Reagan (1981-1989), révélatrice de l’état d’esprit de la classe dirigeante. On peut y voir une version actualisée de « Citizen Kane » (1941) d’Orson Welles (1915-1985), certes différente (Kane renie ses objectifs de départ avec l’âge et la richesse et le film vaut aussi par ses audaces photographiques et son montage avec flash-backs). Outre le scénario de Gabriel SHERMAN, ancien journaliste politique), et la qualité d’interprétation des deux acteurs (Stan et Strong), le film bénéficie d’un vrai travail de reconstitution (tournage en Ontario), ainsi que d’un montage serré (plans courts, caméra mobile) donnant un style documentaire.
    ThomasD
    ThomasD

    32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2024
    En soi, c’est un très bon film, et je n’ai pas vu les 2 heures passer. Mention spéciale aux deux acteurs principaux qui sont époustouflants. Reste le message du film : pour ou contre Trump ? Eh bien… ceux qui l’aiment seront confortés, ceux qui le détestent aussi. Le film est probablement desservi par cette ambiguïté. Mais peut-être que sa vocation profonde est d’abord d’expliquer pourquoi les États-Unis d’aujourd’hui se déchirent autant au sujet de Trump et de ce qu’il représente.
    DUCARNE
    DUCARNE

    3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2024
    Qui aime bien Donald La Trompette détestera ce film. Qui abhorre le personnage devrait adorer. Cela reste un film intéressant pour mieux comprendre celui qui est décrit comme le plus opportuniste, cupide et arriviste des entrepreneurs américains
    devenu sur le tard un homme politique de tout premier plan en ce début de 21ème siècle.
    Cyril d.
    Cyril d.

    14 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2024
    Un biopic intéressant qui permet de mieux comprendre le parcours de Donald Trump et comment il en est arrivé là. J’aurais pensé qu’on irait un peu plus loin, jusqu’à son élection, mais le film s’arrête finalement assez tôt. Cependant, il montre bien son ascension et c'est captivant à voir. Je ne suis pas sûr que ce soit totalement objectif, mais en tout cas, on apprend pas mal de choses sur le personnage. C'est vraiment intéressant pour ceux qui veulent en savoir plus sur son histoire.
    Liam Hufford
    Liam Hufford

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2024
    Un film très bien fait !! Une légère similitude dans l'histoire avec "Le Loup de Wall Street" sur le monde qui nous dépasse (même si ce film reste au-dessus). On distingue bien l'évolution de l'homme dans la haute-société. Le film parle pas seulement de Trump, mais aussi de thèmes qu’on peut tous comprendre, comme la montée en puissance, le pouvoir et les manigances. Sebastian Stan (Donald J.Trump) joue d'une manière similaire un rôle loin d'être commun. Jeremy Strong (Roy Cohn) montre d'une manière robotique un personnage expérimenté dont la progression de sa vie incroyablement particulière se fragilise... Un film intéressant, facile à comprendre et fascinant si vous ne connaissez pas l'histoire du milliardaire. Pour ma part, je l'ai vu en VOSTFR et j'ai beaucoup plus apprécié le fait d'avoir les vraies voix des acteurs : je trouve ça plus immersif !! Un film que je conseille... 4 ⭐⭐⭐⭐
    capirex
    capirex

    102 abonnés 346 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 octobre 2024
    Excellent pamphlet Politique d'Ali Abbasi sur les années d’apprentissage de l’ancien Président Américain grâce à son mentor Roy Cohn !
    On assiste là à la naissance d'un monstre Libéral à travers un récit qui se veut précis , ironique , cinglant et implacable !
    Sebastian Stan et Jeremy Strong sont ahurissants dans leurs rôles respectifs !
    Mustafa Asil
    Mustafa Asil

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 octobre 2024
    Excellent film retraçant l’ascension de l’entrepreneur puis président des USA.
    La complicité entre l’avocat et le client est très importante. De manière générale, le film porte sur l’intérêt propre de Trump triomphant toujours sur ses relations (conjugales, familiales et professionnelles).
    De plus, le film parvient à garder une certaine neutralité car il laisse libre d’admirer et/ou détester l’homme.
    Ufuk K
    Ufuk K

    529 abonnés 1 492 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2024
    "The Apprentice" assez bien noté par la critique, en compétition cette année au festival de Cannes (sélection officielle) est un drame historique pertinent. En effet, le réalisateur Ali Abbasi livre aux spectateurs un "faux biopic" retraçant l'ascension de Donald Trump entre les années 1970-1980 dans un récit précis et parfois choc, avec une atmosphère et une reconstitution de qualité ainsi qu'un duo d'acteurs qui fonctionne parfaitement à l'écran (Sebastian Stan et Jeremy Strong).
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top