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Votre avis sur L’Usine, Le bon, la brute et le truand ?
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Un très beau film qui fait du bien en redonnant confiance dans l'action et l'intelligence collective! De très belles images de l'usine et des machines à l'arrêt, les 3 héros sont beaux, drôles et émouvants... Merci!
Film illustrant la fraternité le courage et l’idéal de trois employés qui ont permis de sauver une entreprise engagée dans la préservation environnementale : la papeterie de la ChapelleDarblay et d’éviter un désastre social.
Quel film ! l’usine un acteur à part entière, cette musique décalée et transgressive, 3 héros malgré eux qui avant tout expriment la solidarité et l’engagement à leur territoire et aux gens, bref tout cela est magistralement mis en valeur par la réalisatrice.
Un documentaire d'une très grande qualité, dont l'histoire incarne un tournant majeur dans la construction des luttes écologiques et sociales. Les images et la musique sont très puissantes et donnent toute sa vie au personnage de l'usine. Les 3 héros du film sont incroyablement attachants et nous font passer par toutes les émotions qu'implique une lutte de cette envergure.
Un beau documentaire, qui met en valeur un beau combat.
Bravo aux trois protagonistes pour leur courage, et à Marianne pour son approche cinématographique originale.
Bravo aux trois protagonistes pour leur courage, et à Marianne pour son approche cinématographique originale.
C’était ma crainte mais je ne me suis pas ennuyé ! La musique originale est splendide et les « acteurs » forts sympathiques.
Ce film a été une très belle découverte et une porte d'entrée sur le monde de la lutte. Une vraie définition de l'engagement. Et gros coup de coeur sur la forme du récit: l'alternance entre séquences où l'on suit les militants et séquences très cinématographiques dans l'usine est assez novatrice pour un documentaire de ce genre. Je recommande vivement !
Ce doc se penche sur un sujet socio-économique majeur, mais en plus il a réalisation le rend haletant: On est au plus près de ces 3 gaillards, on est avec eux,, on éprouve leurs colères, leurs découragements et leurs joiie. Une ode au collectif qui vous rebooste avant de reprendre le boulot lundi;)
Excellent film documentaire, au récit haletant, aux images superbes et émouvantes accompagnées d'une musique très présente et belle. Un western des temps modernes, où les héros nous montrent les fruits de la fraternité, de la solidarité et de l'action collective, avec une touche d'humour et de chambrages entre eux qui est réjouissante. Et surtout une belle illustration de l'importance d'allier luttes sociales et environnementales.
J'ai beaucoup aimé ce documentaire social et écologique sur le dernier site de fabrication de papier recyclé en France, que les employés tentent de sauver. Il s'empare d'une problématique actuelle et cruciale, et nous montre ce que d'habitude on ne voit jamais : toutes les tractations entre les grands industriels et les pouvoirs publics, qu'il s'agisse de l'Etat ou des collectivités locales. On suit en particulier le combat de trois employés, tous plus sympathiques les uns que les autres, et avec chacun leur caractère. L'usine elle-même est traitée comme un personnage, notamment quand la caméra s'attarde sur ses entrailles monumentales, en attente de redémarrage. Une histoire d'autant plus réjouissante
spoiler:
qu'elle s'achève par un happy end, avec le sauvetage de l'usine!
On en ressort instruit et en se disant que tant qu'il y a des gens pour se battre, tout n'est pas perdu.
On en ressort instruit et en se disant que tant qu'il y a des gens pour se battre, tout n'est pas perdu.
Derrière l'implication des trois "cow-boys", la réflexion sociale, économique et écologique est réelle. Le ton n'est pas à la révolte ni au pathos mais au calme, à la malice, et la question de l'héritage militant clairement posée. Plans et cadrages soignés, B.O audacieuse, bien plus qu'une simple description de l'action menée : un film singulier et d'utilité publique !
Bravo pour ce film documentaire ressourçant, ponctué d'humour et avec un choix musical original. A voir absolument !
La vision de la lutte pour garder l'usine est totalement nouvelle et ouvre de nombreuses questions sur l'engagement collectif et le syndicalisme. Les images de cette usine vides sont très belles. Avoir absolument
La désindustrialisation, la lutte contre le démantèlement de l’outil de production, le combat contre le libéralisme sauvage, la conscience écologique dans les projets de transformation des sites, les plans de licenciement devenus dans le langage politiquement correct des plans de sauvegarde de l’emploi… Ces expressions, on les entend quasi-quotidiennement et, au-delà des mots, on ne sait plus vraiment ce qu’elles signifient.
« L’usine, le bon, la brute et le truand » nous montre très concrètement de quoi il s’agit, à travers la fermeture la Chapelle-Darblay, une usine de recyclage du papier, vouée à devenir un site de production d’hydrogène. Ce n’est pas seulement une usine qui ferme, c’est l’histoire d’une région, de familles… Un patrimoine en péri, en plus des emplois détruits.
Mais des salariés se battent contre le rouleau compresseur et, ce qui différencie « L’usine, le bon, la brute et le truand » d’un reportage télé est dans l’incarnation de Cyril, Julien et Arnaud, trois fortes têtes aux caractères très différents. Les deux premiers sont des ouvriers syndiqués à la CGT, le dernier est un cadre sans étiquette. Les trois donnent un visage à la lutte du pot de terre contre le pot de fer, ils se démènent pour trouver une solution de reprise et quand ils la trouvent, ils font face à l’absurdité administrative et politique des décideurs. Ils sacrifient leur temps à des réunions, des conférences de presse aux quatre coins de la France et ils réussissent à mobiliser grâce à leur énergie, à leur volonté et à leur saine colère.
Ce côté humain de la révolte fait de « L’usine, le bon, la brute et le truand » un vrai projet de cinéma, porté par la superbe réalisation de Marianne Lère Laffitte, qui filme les hommes au plus près, en proie à leurs doutes, portés par leur espoir. Des choix d’autrice forts et originaux, comme celui de la bande son - du chant lyrique. On sera aussi saisi de la façon presque charnelle dont la réalisatrice filme les machines.
Une belle histoire ? Oui, mais pas angélique et, à côté du combat pour la préservation du site de la Chapelle Darblay, le film documentaire montre bien que d’autres, dont les revendications sont aussi légitimes, échouent.
« L’usine, le bon, la brute et le truand » est un film humaniste, émouvant, inspirant… En un mot : fort, très fort et on ressort de la séance avec une énergie et une conscience sociale décuplées.
« L’usine, le bon, la brute et le truand » nous montre très concrètement de quoi il s’agit, à travers la fermeture la Chapelle-Darblay, une usine de recyclage du papier, vouée à devenir un site de production d’hydrogène. Ce n’est pas seulement une usine qui ferme, c’est l’histoire d’une région, de familles… Un patrimoine en péri, en plus des emplois détruits.
Mais des salariés se battent contre le rouleau compresseur et, ce qui différencie « L’usine, le bon, la brute et le truand » d’un reportage télé est dans l’incarnation de Cyril, Julien et Arnaud, trois fortes têtes aux caractères très différents. Les deux premiers sont des ouvriers syndiqués à la CGT, le dernier est un cadre sans étiquette. Les trois donnent un visage à la lutte du pot de terre contre le pot de fer, ils se démènent pour trouver une solution de reprise et quand ils la trouvent, ils font face à l’absurdité administrative et politique des décideurs. Ils sacrifient leur temps à des réunions, des conférences de presse aux quatre coins de la France et ils réussissent à mobiliser grâce à leur énergie, à leur volonté et à leur saine colère.
Ce côté humain de la révolte fait de « L’usine, le bon, la brute et le truand » un vrai projet de cinéma, porté par la superbe réalisation de Marianne Lère Laffitte, qui filme les hommes au plus près, en proie à leurs doutes, portés par leur espoir. Des choix d’autrice forts et originaux, comme celui de la bande son - du chant lyrique. On sera aussi saisi de la façon presque charnelle dont la réalisatrice filme les machines.
Une belle histoire ? Oui, mais pas angélique et, à côté du combat pour la préservation du site de la Chapelle Darblay, le film documentaire montre bien que d’autres, dont les revendications sont aussi légitimes, échouent.
« L’usine, le bon, la brute et le truand » est un film humaniste, émouvant, inspirant… En un mot : fort, très fort et on ressort de la séance avec une énergie et une conscience sociale décuplées.
Excellent film !
À voir absolument
Comprendre ce qu'est un combat mené par amour de son outil de travail, par amour pour son travail, et voir cette magnifique amitié et cette magnifique fraternité qui se développent tout au long de cette grande aventure humaine...
Un énorme merci à la réalisatrice !
À voir absolument
Comprendre ce qu'est un combat mené par amour de son outil de travail, par amour pour son travail, et voir cette magnifique amitié et cette magnifique fraternité qui se développent tout au long de cette grande aventure humaine...
Un énorme merci à la réalisatrice !
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