L’Usine, Le bon, la brute et le truand : Critique presse
L’Usine, Le bon, la brute et le truand
Note moyenne
3,4
5 titres de presse
Les Fiches du Cinéma
Ouest France
Le Monde
Première
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce documentaire suit, un an durant - avec pédagogie, et non sans porter un certain espoir -, le feuilleton industriel de Chapelle-Darblay, usine de recyclage et de fabrication de papier longtemps menacée d’être remplacée par un site de production d’hydrogène.
Ouest France
par La Rédaction
Un documentaire aussi engagé qu'engageant.
Le Monde
par Cl. F.
La musique du film n’est pas d’Ennio Morricone (1928-2020), mais le ton y ressemble, installant la dramaturgie dès les premières images.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Elias Zabalia
La réalisatrice Marianne Lère Laffitte surprend par son traitement de la musique : des chants populaires ouvriers interprétés comme un opéra. Elle inscrit finement les petites histoires dans la grande et les inconnus dans nos mémoires. Un peu comme dans un western, au fond.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Etienne Labrunie
Une ode au combat et à l’humanisme, soulignant en creux le cynisme d’un capitalisme encore et toujours sans limite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Ce documentaire suit, un an durant - avec pédagogie, et non sans porter un certain espoir -, le feuilleton industriel de Chapelle-Darblay, usine de recyclage et de fabrication de papier longtemps menacée d’être remplacée par un site de production d’hydrogène.
Ouest France
Un documentaire aussi engagé qu'engageant.
Le Monde
La musique du film n’est pas d’Ennio Morricone (1928-2020), mais le ton y ressemble, installant la dramaturgie dès les premières images.
Première
La réalisatrice Marianne Lère Laffitte surprend par son traitement de la musique : des chants populaires ouvriers interprétés comme un opéra. Elle inscrit finement les petites histoires dans la grande et les inconnus dans nos mémoires. Un peu comme dans un western, au fond.
Télérama
Une ode au combat et à l’humanisme, soulignant en creux le cynisme d’un capitalisme encore et toujours sans limite.