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    Sinjar, naissance des fantômes
    Note moyenne
    3,7
    6 titres de presse
    • L'Humanité
    • Les Fiches du Cinéma
    • Transfuge
    • Télérama
    • Positif
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    6 critiques presse

    L'Humanité

    par Pierre Barbancey

    Un documentaire exceptionnel à bien des égards, à voir absolument.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Les Fiches du Cinéma

    par Gilles Tourman

    Un documentaire indispensable sur le calvaire que vécurent les Yézidis (surtout femmes et enfants) aux mains de Daesh, à partir de mars 2014. Douloureux, mais éclairant pour se rappeler que la liberté n’est jamais acquise face à une barbarie toujours aux aguets.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Transfuge

    par Jean Noel Orengo

    Magnifique documentaire que ce Sinjar, signé Alexe Liebert, où l’on se plonge dans l’horreur que Daesh a imposée aux Yézidis, au nord de l’Irak. Glaçant.

    Télérama

    par Emmanuelle Skyvington

    Photographie splendide — signée Michel Slomka —, émotion de Golshifteh Farahani lisant en voix off un texte au souffle poétique : la documentariste réussit à transmettre une histoire collective, celle d’un peuple décimé, dont le premier acte salvateur est justement de parler, raconter et dire au monde entier le dernier génocide auxquels ils ont survécu.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Positif

    par Éric Derobert

    Ce qui marque, dans Sinjar, naissance des fantômes, ce sont les témoignages difficilement soutenables de femmes irakiennes de religion yézidie, enlevées par Daech, violées, vendues de main en main comme esclaves sexuelles de 100 jusqu’à 20 000 dollars.

    Première

    par Chloé Delos- Eray

    Dix ans plus tard, pour son premier long, Alexe Liebert adopte le dispositif classique du documentaire-témoignage, mais l’épaissit de photogrammes saisissants, de textes, de chants et de silences dignes, qui redonne une consistance à ces âmes survivantes, hantées par les fantômes des disparus.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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