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    Sarah Bernhardt, La Divine
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    57 critiques spectateurs

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    Philippe M
    Philippe M

    7 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2024
    Vu en avant-première, jeudi dernier, à l'UGC Atlantis St Herblain.
    Le choix de Guillaume Nicloux de ne pas en faire un "biopic classique" est pertinent.
    En mettant en lumière certaines étapes de la vie de Sarah Bernhardt, il donne à ce film une force à la hauteur de cette artiste incomparable.
    Magnifiquement interprétée par Sandrine Kiberlain. A la réflexion qui pouvait incarner aussi bien ce rôle que Sandrine Kiberlain ? Elle endosse avec talent le costume de cette femme, de cette artiste, de cette épicurienne libérée. L'occasion de rappeler que Sarah Bernhart a écrit l'une des plus belles pages de l'Histoire culturelle et sociale de notre pays.
    N'hésitez pas à vous rendre en salle dès la sortie de ce film prévue le 18 décembre.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    146 abonnés 571 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2024
    En 1915, Sarah Bernhard est en route pour l'hôpital pour se faire amputer de la jambe. Entourée de ses proches de toujours, elle profite de ce moment pour faire un point sur sa vie auprès du jeune Sasha Guitry. Elle revient en particulier sur les liens qui l'unissent à son père, Lucien Guitry, acteur également et amour de la vie de Sarah Bernhard. Flashback sur une femme libre et amoureuse. En salle le 18 décembre.

    spoiler: "Sarah Bernhard, la divine" n'est pas réellement un biopic de la célèbre actrice. Le film se concentre sur quelques périodes de sa vie et prend le parti d'utiliser le prisme de son amour pour nous faire découvrir la personnalité ultra-moderne et précurseur de l'idole. J'ai apprécié l'interprétation libre de Sandrine Kiberlain qui évolue auprès de nombreux personnages historiques. La plongée dans l'univers mondain du Paris de la fin du 19e siècle est intrigante. Les décors et les costumes sont particulièrement réussis, comme une pièce de théâtre. Quelques artifices ne m'ont pas convaincus toutefois comme le raccord des flashbacks ou la scène finale avec le fantôme
    evariste75
    evariste75

    160 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 novembre 2024
    J'aime bien, sans être un énorme fan, Sandrine Kiberlain, que j'ai pu apprécier dans de nombreux films comme actrice (Les patriotes, Petite vadrouille,...) et comme réalisatrice (Un été 42,...)... Je suis par ailleurs curieux de la vie et, sirtout, des prestations d'actrice de la grande Sarah Bernhard. J'étais donc a priori bien disposé vis-à-vis de ce film qui s'annonçait passionnant... Quelle déception ! J'ai trouvé Sandrine Kiberlain insupportable, et je suis toujours aussi ignorant de la vie et de l'œuvre de Sarah Bernhard. Quel ennui ! Quelle vacuité !
    Franck Marchal
    Franck Marchal

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 novembre 2024
    Vu en avant première. Film très rythmé, souvent drôle, avec une prestation grandiose de la toujours brillante Sandrine Kiberlain
    Romaric44
    Romaric44

    20 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2024
    Un film très complet émotion et humour. Sandrine Kiberlain est simplement parfaite. Le film donne clairement envie d'en savoir plus sur cette femme légendaire.
    rjankcri
    rjankcri

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 novembre 2024
    Sandrine Kiberlain est royale dans la peau de Sarah Bernhardt, qui connaît enfin son premier biopic en France. Bien qu’imparfait et trop sage, ce biopic réalisé par Guillaume Nicloux assure toutefois l’essentiel et offre un éclairage bienvenu sur une artiste hors normes.

    Romain Jankowski - L'Antre du cinéphile

    Vu au festival du film d'Arras
    Lolallociné
    Lolallociné

    35 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 novembre 2024
    Ayant eu la chance de voir ce bijoux en avant-première, je peux attester que c'est super. 👍
    Les décors et les costumes sont tout simplement magnifiques, les comédiens n'en parlons pas...
    J'ai été agréablement surprise de rire autant, les dialogues sont magique, en tant que spectateur on a presque envie de se joindre aux discussions tellement c'est bien joué :))
    Fiers R.
    Fiers R.

    110 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 novembre 2024
    Vu en festival à Montréal.

    Décidément Guillaume Nicloux figure peut-être comme l’un de nos réalisateurs les plus stakhanovistes depuis quelques années, avec un rythme d’un film voire plus par an (cette année il y en a donc eu deux avec « Dans la peau de Blanche Houellebecq »), mais aussi et surtout l’un de nos plus hétéroclites. Et cela, depuis le début de sa carrière avec le film qui l’a révélé : « Le Poulpe ». Il passe du polar à l’horreur, du drame à l’expérimental ou encore de la comédie au documentaire avec une aisance rare. Alors bien sûr, la qualité s’en fait parfois ressentir (au hasard, « La Tour ») mais il nous a livré aussi quelques perles comme le polar « La Clef », la comédie complètement azimutée entre fiction et réalité avec Depardieu et Houellebecq « Thalasso » et surtout l’immense et sublime drame mâtiné de fantastique « Valley of love » qui magnifiait le couple Depardieu-Huppert dans la Vallée de la mort. Et voilà que le bonhomme nous revient déjà pour un projet inattendu le concernant : un biopic en costumes sur Sarah Bernhardt! Et puis, au final, au vu de sa versatilité on se dit que plus rien ne nous étonne... Il s’en est d’ailleurs fallu de peu pour que ce film soit une totale réussite...

    En effet, premier bon point concernant ce « Sarah Bernhardt, la Divine » : on est loin, très loin de la biographie proche de l’hagiographie comme il en sort plusieurs tous les ans sur les artistes musicaux ou autres (coucou « Monsieur Aznavour »). Loin aussi du film dense de plus de deux heures qui tente d’encapsuler une vie longue et pleine d’événements sur ce laps de temps qui correspond souvent mieux au format série. Nicloux n’ira pas non plus vers le côté sérieux souvent indissociable de ce genre de films. Il propose quelque chose de léger, presque frivole, qui correspond parfaitement à la personnalité délurée de cette artiste ô combien mythique. Et il prend son histoire d’amour avec le père de Sacha Guitry, Lucien, comme liant pour nous la croquer sur trois époques distinctes dans un montage pas toujours chronologique sur plus d’une trentaine d’années. Ces choix sont majoritairement à saluer mais le prix à payer de cette audace de style et de narration est qu’on a parfois l’impression d’une œuvre un peu superficielle et peut-être frustrante. Paradoxalement, on se demande si une biographie plus classique dans la veine de « La Môme », pour prendre une référence culte, n’aurait pas mieux convenu. On préfère ne pas trop y penser et se délecter de ce long-métrage qui nous présente bien cette femme, sa vie de l’époque, son caractère impétueux et sa personnalité progressiste voire avant-gardiste pour l’époque.

    Il fait plaisir d’entendre ou de croiser tout le gratin artistique et littéraire de l’époque. On voit brièvement Freud. On fait la connaissance de Zola et Edmond Dantès. De Guitry aussi forcément. On entend parler de Dreyfus, d’Oscar Wilde et de Victor Hugo. Une ribambelle ou plutôt une valse de personnages qu’on n’a pas le temps d’apprécier tant ils ne font que passer. Et c’est un petit problème du film : hormis l’artiste, les autres rôles n’ont pas le temps ni la matière pour exister véritablement. Certains sont même incarnés par de grands acteurs comme Laurent Lafitte, Amira Casar ou Laurent Stocker mais ce ne sont que des ombres ou des pions destinés à servir la soupe à une Sandrine Kiberlain déchaînée. Une prestation dont on ne sait pas dire si elle est géniale ou en surchauffe mais en tout cas il y a du travail derrière et elle pétille de mille feux. On aurait aimé aussi que le film sorte un peu des intérieurs parisiens, certes impeccablement reconstitués de manière opulente, au vu du parcours international de cette femme. Manque et faute de budget probablement. En somme, c’est distrayant, parfois amusant et ces bribes de sa vie montre bien son tempérament mais tout cela manque peut-être un peu de rigueur et d’amplitude.

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    Mabounette
    Mabounette

    5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 novembre 2024
    Excellente interprétation de Sandrine Kiberlain! Jeux d'acteurs fabuleux. Sarah est une femme libre, sensible, drôle et charismatique. Personnage incroyable pour son époque!! Les décors et costumes sont magnifiques.. Film à voir!
    capirex
    capirex

    95 abonnés 332 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2024
    Brillamment mise en scène par Guillaume Nicloux c'est là un très bon et instructif film sur celle qui est considérée comme une des plus importantes actrices Françaises du XIXe et du début du XXe siècle qu'incarne avec grand talent Sandrine Kiberlain !
    Nestelle
    Nestelle

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2024
    J’ai eu la chance de voir ce film en avant-première au Festival De l’écrit à l’écran à Montélimar.
    Il est très intéressant de découvrir la vie de Sarah Bernhardt à travers le jeu bluffant de Sandrine Kiberlain. Passionnant et drôle.
    traversay1
    traversay1

    3 644 abonnés 4 876 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 septembre 2024
    Aussi surprenant que cela puisse paraître, aucun film n'avait été consacré jusqu'alors à la grande Sarah Bernhardt, par le cinéma français. Le biopic de Guillaume Nicloux était attendu et il n'est pas question de lui reprocher d'avoir oublié un quelconque aspect de ce "monstre sacré" du théâtre. Malgré sa savante déconstruction chronologique, le film a tout du devoir d'un bon élève, pas académique, non, mais quelque peu convenu, quand même. Celle qui fut surnommée la divine était également une scandaleuse pour son époque, femme libre, aux amours tumultueuses, et aux caprices de diva. Comme de nombreux ouvrages "historiques" récents, le long-métrage s'efforce de montrer la modernité de son héroïne, n'hésitant pas à privilégier des thèmes aussi prégnants aujourd'hui que l'antisémitisme ou le féminisme. Le film est aussi un défilé quasi ininterrompu de "stars" de l"époque, comme Lucien Guitry et son fils Sacha, incontournables, mais aussi des figures qui n'ont fait que passer dans sa vie, à l'image de Zola ou de Freud. Était-il besoin d'insister autant sur l'idolâtrie autour de la comédienne et sur son odeur de soufre ? Disons que la chose aurait parfois mérité un peu plus de subtilité dans son traitement. Pleinement investie, Sandrine Kiberlain relève le défi avec le talent qu'on lui reconnaît. Le reste de la distribution est un peu moins convaincante, à l'image de Laurent Lafitte, peut-être un peu noyée dans des décors et des costumes somptueux. Au fond, le mystère de Sarah Bernhardt reste toujours intact, plus d'un siècle après sa mort et l'on ne peut que louer le film de la montrer telle qu'elle fut vraiment, dans un bref extrait du fameux moyen-métrage de Sacha Guitry, Ceux de chez nous, réalisé en 1917.
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