Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Claudine G
207 abonnés
496 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 18 décembre 2024
J'avoue ne pas être fan de Sandrine Kiberlain encore moins de Sarah Bernhardt qui à mes yeux n'a rien d'une actrice de théâtre "divine". De plus, sa vie intime laisse plus qu'à désirer. Je ne la connaissais pas sous ce jour là. Bref une fois de plus j'ai vu un pur navet.
Très bon film, Sandrine Kiberlain est superbe dans ce rôle et crève l’écran. Les décors, la lumière et les costumes sont magnifiques. Un film à conseiller.
Un biopic assez amusant de la comédienne la plus célèbre de son époque axé sur sa vie privée: son histoire d'amour avec Lucien Guitry jouée avec émotion par Sandrine Kiberlain et Laurent Lafitte, ses relations mondaines, son fils. Le reste de la distribution est très bien. Le film évoque l'affaire Dreyfus et l'antisémitisme de l'époque. Un seul moment avec elle sur scène.
Un beau portrait vibrant de Sarah Bernhardt, avant-gardiste et féministe. Ce film rend un hommage envoutant de l'icône intemporelle de théâtre ! Une performance bouleversante de Sandrine Kiberlain et une réalisation juste et impeccable !
Le film dresse un portrait émouvant de cette star du théâtre et de cette grande figure féministe. Le casting est juste dingue… J’ai vraiment passé un moment hors du temps en plongeant dans ce film avec des décors et des costumes somptueux. Bravo !
Sarah Bernhardt (1844-1923) est considérée comme l’une des plus grandes tragédiennes de son temps. Elle fut, avant l’invention du cinéma, la première star mondiale.
À l’heure où le moindre artiste un tant soit peu célèbre, écrivain, peintre (Manet), chanteur de variété (Aznavour, Gainsbourg, Piaf), star de rock, couturière (Coco Chanel) se voit consacrer son biopic, il était inévitable que le cinéma français s’empare de la figure haute en couleur de Sarah Bernhardt. Femme libre, immense actrice de théâtre, elle incarne à elle seule une période, celle de la Belle Epoque, tellement cinégénique.
Guillaume Nicloux, plus à l’aise dans le polar poisseux que dans le film d’époque, s’acquitte dignement de la tâche. Les décors et les costumes sont resplendissants ; le casting rassemble tout ce que la Comédie-Française a de meilleur : Laurent Lafitte, Laurent Stocker, Sébastien Pouderoux. Et Sandrine Kiberlain, plus exubérante que jamais, lâche les chevaux en tête d’affiche.
Le problème de ce film est son point de vue. Sarah Bernhardt nous est certes présentée comme une femme libérée, une féministe avant l’heure, bisexuelle et ne se cachant pas de l’être, dreyfusarde quand l’antisémitisme suintait par tous les pores de la IIIème République. Mais elle est somme toute ramenée à un schème très sexiste : une femme qui n’a aimé qu’un seul homme, Lucien Guitry (Laurent Lafitte), et s’est consumée d’amour pour lui.
Plus grave encore : on nous vend le biopic d’une actrice qu’on ne voit jamais jouer. Pas une scène où on la voie sur scène ! C’est un comble ! Et surtout pas une scène où on l’entende parler de son art, sinon quelques allusives allusions à "Lorenzaccio", à "Cyrano" – qu’elle reproche à Rostand d’avoir écrit pour Coquelin – ou à Shakespeare.
Un show Kiberlain qui cabotine sous prétexte que Sarah Bernardt était une diva excentrique. Si vous êtes fan de l'actrice, vous serez comblé, pour les autres c'est souvent embarrassant et pas drôle... Sinon le film part dans tous les sens, essayant d'éviter l'académisme du biopic, en restant léger et superficiel. Ca donne surtout envie de lire une biographie sérieuse et détaillée.
Quand un film à une certaine ambition et qu'il ne l'a rempli pas du tout, cela va de soit qu'il est raté. La critique est facile mais lorsque l'on souhaite dresser le portrait d'une femme indépendante et avant-gardiste, ce que les dialogues absolument pas subtils essaient de retranscrire, il faut que le scénario et les scènes nous le retranscrive. Hors ce n'est pas du tout le cas : en bref on suit là une Sarah Bernhardt dépendante de l'amour d'un homme. Pas non plus aidé par une Sandrine Kiberlain en surjeu, le film se contente d'énumérer dans des dialogues inintéressants les personnalités qu'elle aurait influencé et les causes qu'elle aurait défendue...de manière très artificielle. On ne ressort pas grand chose de ce film, hormis peut être les costumes/joailleries et Laurent Stocker (Pitou) qui nous décroche quelques sourires bienvenus !
Ce n’est pas un biopic, trop ambitieux sans doute. Le film s’appuie sur deux moments de la vie de « la divine » : au moment où on lui consacre une journée entière d’hommage « la journée Sarah Bernhardt », le 9 décembre 1896 (elle a 52 ans) et 19 ans plus tard lorsqu’elle se fait amputer d’une jambe. Elle mourra en 1923 à 79 ans. Ces moments sont des prétextes à examiner la profondeur des relations qu’elle entretient avec ses proches et sa vulnérabilité face à son grand amour, Lucien Guitry. On nous donne à voir plus sa personnalité que son travail théâtral : sa folle modernité, son éclectisme amoureux, sa démesure, sa gaieté, son exigence, son courage, son engagement, etc. Bref, tout ce qui fit d’elle un être adulé, aussi insupportable que délicieux et essentiel. Je ne suis pas entièrement convaincue par le parti-pris de départ, mais on passe un joli moment en compagnie d’excellents acteurs dont les deux principaux : Sandrine Kiberlain (Sarah) et Laurent Laffitte (Lucien Guitry).
rébarbatif, pompeux, l'histoire avance recule dans le temps ce qui la rend peu passionnante. on ne sent absolument pas le charisme de la merveilleuse comédienne. De bons seconds rôles. très peu de scènes de théâtre, décevant.
Vu en avant-première. Je ne connais pas grand chose de la vie de Sarah Bernhard, seulement qu’elle était une grande comédienne, moderne et libre. Sandrine Kiberlain est hyper crédible, elle semble réellement habiter le personnage. On évolue avec elle, on rit, on s’émeut, on aime, on déteste. Je dois également citer Laurent Laffite, Clément Hervieu Léger, Sébastien Pouderoux et tous les autres. La réalisation bien qu’assez classique est belle. Un très bon moment de cinéma !
Vu ce dimanche à l’UGC Villeneuve d’Ascq en avant-première. Évocation très intimiste de cette grande figure du Théâtre français. Beaucoup de gros plans. Sandrine Kiberlain n’a pas voulu copier l’original ( de ce qu’on en a comme traces vocales, ç’eut été périlleux car la vraie Sarah avait un phrasé extrêmement daté qu’on trouverait très ridicule aujourd’hui ) et incarne plutôt la modernité, l’excentricité et le monstre de travail qu’était La Divine. Toute la troupe de comédiens ( dont beaucoup de la Comédie Française ) est excellente et permet de faire revivre tout un aréopage de célébrités contemporaines du Monstre Sacré. Film donc très agréable mais qui aurait pu prendre plus d’ampleur. Le budget était-il trop étriqué ? On attend la série sur Netflix.
Très déçus pas le film. Dans les interviews de présentation Sandrine Kiberlain assure ne pas avoir regardé d'archives sur Sarah Bernhardt, ni écouté sa voix pour ne pas se faire influencer et pour apporter la fraîcheur de son jeu. Et bien on peut dire que c'est raté !
Image pas belle, montage très discutable avec une mauvaise maîtrise des flash back et surtout une Sandrine Kiberlain pas bonne , même quand elle singe la comédienne sur scène de théâtre.... triste de devoir avouer ma déception mais ce film est raté