Sandrine Kiberlain nous sort un grand numéro, bien épaulée par Laurent Laffite. Les retours en arrière nuisent un peu à la fluidité du film, mais on s'y retrouve tout de même. Cela donne envie de s'informer un peu plus sur la vie de cette personnalité forte et fantasque dans un contexte historique riche. La dernière scène m' a beaucoup ému.
Vu en avant-première. Un film plutôt bon mais hélas incomplet. Le film ne traite presque que de la personne qu'était Sarah Bernhardt et que trop peu, voire presque pas du tout de l'artiste. Le choix est clair : on ne veut pas montrer ce qu'elle était mais qui elle était. Et sur ce point c'est très réussi, on nous fait le portrait d'une artiste aussi excentrique qu'émotionnellement brisée porté par une excellente Sandrine Kiberlain. Mais on ne peut que regretter que le film n'aille pas plus loin. Qu'est-ce qui la démarquait des autres ? À quel point était-elle une grande actrice ? Qu'est-ce qui justifie sa popularité ? Toutes ces questions restent sans réponses, et c'est bien dommage pour un tel biopic. Un film correct donc, mais qui hélas ne va pas jusqu'au bout.
Excellente interprétation de Sandrine Kiberlain! Jeux d'acteurs fabuleux. Sarah est une femme libre, sensible, drôle et charismatique. Personnage incroyable pour son époque!! Les décors et costumes sont magnifiques.. Film à voir!
Une fois de plus je suis ébahie par la manière dont Sandrine Kiberlain sait si bien interpréter, elle est dans la peau du personnage et sait s’adapter, c’est une très grande actrice aux mille facettes. En plus du fait que l’histoire soit intéressante et vraie (dans l’ensemble), nous faisons face à des actrices et acteurs absolument incroyables dans leur rôle avec des répliques qui s’enchaînent très bien. J’ai été, jusqu’à la fin du film, captivée par les dialogues, le jeu de chacun, tout, en fait. Le public a rigolé et personnellement j’ai été aussi émue, le film est grandiose. Je suis très fière de dire que c’est Sandrine Kiberlain qui fait vivre une seconde fois Sarah Bernhardt, personne n’aurait pu réussir mieux qu’elle. Je ne peux pas en dire plus alors regardez le !!!
Sandrine Kiberlain est royale dans la peau de Sarah Bernhardt, qui connaît enfin son premier biopic en France. Bien qu’imparfait et trop sage, ce biopic réalisé par Guillaume Nicloux assure toutefois l’essentiel et offre un éclairage bienvenu sur une artiste hors normes.
Vu ce soir a l’Arlequin. Quelle catastrophe, scenario banal, on s’ennuie a mourir. Si vous voulez mieux connaitre Sarah Bernard il y a un bon docu sur Arte. Quand au cinéma il y a tellement de tres bons films actuellement ( « leurs enfants apres eux », « vingt dieux », « Anora ») que c est dommage de perdre son temps face a un tel spectacle. Pour voir Laurent Lafitte et Sandrine Kiberlain, revoir « elle l’adore » c est tellement mieux. Que sont ils donc allés faire dans cette galère
Vu en AP avec Sandrine Kiberlain et la scénariste Nathalie Leuthreau. Ce biopic ne m'a pas vraiment enthousiasmé. Beaucoup de mondanités, cela parait un peu superficiel et vain...
Oups... Encore et encore un ’soi disant’ portrait d’une figure manquante, certes, mais floue dans un passé révolu. Tout le bla-bla convenu en promotion du film, la non possibilité de vérification réelle ( le sujet féminin est décédé depuis fort longtemps et ne peut contredire, entre autres...) SURTOUT comment S.Kiberlain ose t’elle affirmer ’INCARNER ’’ Sarah qu’elle, ni les auteurs, n’ont réellement connus .
Supercherie française , la légitimité féminine première ne passe pas par cette production.
Vu en avant première. Sandrine Kiberlain, excellente comme à son habitude dans ce qui n'est pas un biopic, plutot un "morceaux choisis" de la vie de comédienne. Le film de Guillaume Nicloux montre bien ce qu'était cette femme divine : un personnage excentrique et en avance sur son temps,
Ce n’est pas un biopic, trop ambitieux sans doute. Le film s’appuie sur deux moments de la vie de « la divine » : au moment où on lui consacre une journée entière d’hommage « la journée Sarah Bernhardt », le 9 décembre 1896 (elle a 52 ans) et 19 ans plus tard lorsqu’elle se fait amputer d’une jambe. Elle mourra en 1923 à 79 ans. Ces moments sont des prétextes à examiner la profondeur des relations qu’elle entretient avec ses proches et sa vulnérabilité face à son grand amour, Lucien Guitry. On nous donne à voir plus sa personnalité que son travail théâtral : sa folle modernité, son éclectisme amoureux, sa démesure, sa gaieté, son exigence, son courage, son engagement, etc. Bref, tout ce qui fit d’elle un être adulé, aussi insupportable que délicieux et essentiel. Je ne suis pas entièrement convaincue par le parti-pris de départ, mais on passe un joli moment en compagnie d’excellents acteurs dont les deux principaux : Sandrine Kiberlain (Sarah) et Laurent Laffitte (Lucien Guitry).
Un biopic de bonne facture, animé par d'excellents comédiens et comédiennes. Il faut bien suivre les sauts dans le temps pour se repérer, car les visages n'ont pas vieilli ou rajeuni autant qu'il aurait fallu.