AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,5
36 titres de presse
-
Version Femina
-
20 Minutes
-
Bande à part
-
Closer
-
Dernières Nouvelles d'Alsace
-
Diverto
-
Femme Actuelle
-
Franceinfo Culture
-
Konbini
-
L'Humanité
-
La Croix
-
La Voix du Nord
-
Le Dauphiné Libéré
-
Le Figaro
-
Le Parisien
-
Le Point
-
Nice-Matin
-
Ouest France
-
Positif
-
Public
-
Sud Ouest
-
Télé 7 Jours
-
Télérama
-
Cahiers du Cinéma
-
L'Obs
-
La Tribune Dimanche
-
Le Journal du Dimanche
-
Le Monde
-
Les Fiches du Cinéma
-
Télé 2 semaines
-
Télé Loisirs
-
Abus de Ciné
-
Les Inrockuptibles
-
Libération
-
Marianne
-
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Version Femina
Totalement engagée, vibrante, Sandrine Kiberlain relève le défi avec un immense talent. Le reste de la distribution (…) forme une unité parfaite, dans des décors et des costumes somptueux. On savoure ce beau cinéma.
20 Minutes
Sandrine Kiberlain incarne brillamment la tragédienne mythique dans le passionnant « Sarah Bernhardt, la divine ».
Bande à part
Sandrine Kiberlain prouve une fois encore qu’elle est capable de percer des trouées dans le temps. Ce qu’elle accomplit sous la houlette de Guillaume Nicloux, cinéaste travaillé par les espaces où morts et vivants se cherchent et se trouvent parfois, relève de la haute voltige.
Closer
Un film pop et culotté.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Flamboyante et irrésistible, Sandrine Kiberlain se soulève de la folle exubérance de Sarah Bernhardt, dans un mimétisme épatant.
Diverto
Pour les amateurs de créations françaises, courez voir "Sarah Bernhardt, La Divine" de Guillaume Nicloux. Tout d’abord, pour découvrir la vie de l’une des plus grandes tragédiennes françaises.
Femme Actuelle
Un régal.
Franceinfo Culture
Coup de chapeau à Sandrine Kiberlain pour son talent à endosser ce rôle prestigieux, dans une production ambitieuse, sans concession, et dont le jeu rend hommage à une icône du patrimoine français, quelque peu oubliée et réhabilitée.
Konbini
Un biopic dingue pour un parcours dingue ; il n'y avait que Guillaume Nicloux pour se plonger dans ce genre de projet.
L'Humanité
Sandrine Kiberlain trouve, dans « Sarah Bernhardt : la divine », l’un de ses rôles majeurs et remet en lumière, pour le grand public, une femme en avance sur son temps.
La Croix
L’une des grandes forces du film de Guillaume Nicloux est d’avoir su dépoussiérer le mythe pour nous offrir une Sarah Bernhardt vivante et vibrante, dont l’extrême modernité résonne jusqu’à nous.
La Voix du Nord
Le tableau est foisonnant, et construit autour de deux événements phares : un moment de consécration… et l’amputation d’une jambe. Majoritairement posté à l’écart de la scène, mais attaché à dépeindre un théâtre permanent, le film traduit l‘amour des mots, la liberté de conscience et la bataille contre les carcans. Prêts pour les trois coups ?
Le Dauphiné Libéré
Une fantaisie d’époque à la gloire de son personnage spectaculaire, tragédienne et artiste superstar décédée en 1923.
Le Figaro
Avec ce portrait haut en couleur de la comédienne, Guillaume Nicloux montre qu’il est un cinéaste éclectique. Et Sandrine Kiberlain une actrice talentueuse.
Le Parisien
Nicloux fait revivre la comédienne de manière extrêmement moderne, et Sandrine Kiberlain en propose une incarnation vibrante et virevoltante. De sa prestation, on retient notamment ce rire qui jaillit comme un grand éclat de vie et de liberté.
Le Point
Surprenante, fantasque, Sandrine Kiberlain est exceptionnelle et use de toutes les nuances du personnage face à un Laurent Lafitte d'une belle profondeur humaine.
Nice-Matin
On prend ici toute la mesure de la légende et on comprend pourquoi plus d’un siècle après sa mort, on connaît encore le nom de Sarah Bernhardt. Un film indispensable.
Ouest France
Un portrait virevoltant et réussi.
Positif
[Une] production luxueuse et séduisante.
Public
Un biopic spectaculaire.
Sud Ouest
Évitant avec intelligence l’écueil du biopic, Guillaume Nicloux réussit dans « Sarah Bernhardt, la divine » le portrait passionnant de la fabuleuse tragédienne.
Télé 7 Jours
Sandrine Kiberlain, jamais intimidée par la démesure de son modèle et d'une formidable énergie contagieuse, en propose une version étincelante et sensible [...].
Télérama
Le réalisateur n’aurait pu faire un choix plus (im) pertinent que Sandrine Kiberlain. Face à un magnifique Laurent Lafitte, si charismatique en Lucien Guitry, la comédienne offre toute l’ampleur de sa fantaisie, et chaque millimètre de sa carnation pour, tour à tour, pâlir, rougir, défaillir, éblouir sa cour, et exister plus fort que le commun des mortels.
Cahiers du Cinéma
La distance dans l’exubérance que trouve Kiberlain s’insinue dans le narcissisme lucide et amusé du monstre sacré.
L'Obs
Kiberlain habite littéralement le rôle sans tomber dans le piège du surjeu.
La Tribune Dimanche
Grâce à elle [Sandrine Kiberlain], Sarah Bernhardt n’a plus de secret pour nous : on sait ce qu’est une grande actrice.
Le Journal du Dimanche
Avec sa folle liberté et une légèreté visant à masquer des fêlures, Sandrine Kiberlain emporte cette plongée virevoltante et élégante dans les affres de la vie d’une femme passionnée par son art autant que par les élans de son cœur.
Le Monde
Peu intéressé par les faits, le film travaille à n’être fidèle qu’à une seule chose : au magnétisme indécent de cette femme, personnalité tellement séduisante qu’on finit par tout lui passer.
Les Fiches du Cinéma
Guillaume Nicloux met à nu les passions et les tourments de l’actrice Sarah Bernhardt dans un biopic singulier. Parfois improbable et dispersé, l’ensemble se regarde avec curiosité et devrait même séduire pour la performance de Sandrine Kiberlain.
Télé 2 semaines
Sandrine Kiberlain incarne avec brio celle qui a mené sa vie personnelle et sa carrière avec flamboyance et liberté. Dommage que l'on ne retrouve pas ces deux aspects dans la réalisation très académique de Guillaume Nicloux.
Télé Loisirs
[...] Sandrine Kiberlain incarne avec brio celle qui a mené sa vie personnelle et sa carrière avec flamboyance et liberté.
Abus de Ciné
Comme dommage collatéral d’une performance d’actrice à ce point sinusoïdale, c’est fatalement le cabotinage qui vire à l’aigu. D’aucuns diront que le respect du personnage justifiait cela. On rétorquera que cela ramène surtout le biopic à sa fonction la plus faible : retranscrire sans chercher à transcender.
Les Inrockuptibles
La performance de Sandrine Kiberlain ne fait pas de "Sarah Bernhardt, La Divine", un chef-d’œuvre, loin de là, mais elle rend son spectacle supportable, voire agréable, et c’est déjà pas mal.
Libération
Malgré une Sandrine Kiberlain énergique, le cinéaste Guillaume Nicloux signe un biopic lourdement académique.
Marianne
Une fiction poussive et sans imagination qui repose intégralement sur les épaules de Sandrine Kiberlain, une de nos meilleures actrices qui, pour une fois, semble embarrassée par sa partition.
Première
Rien n’accroche vraiment ici, si ce n’est l’interprétation échevelée et plutôt marrante de Sandrine Kiberlain, clairement galvanisée à l’idée de se confronter à un tel totem.