Chère madame Angot Merci pour votre courage, votre recherche de vérité Merci, grâce à votre documentaire ,de nous montrer( si l'on ne le savait déjà) les procédés d'auto protection de chacun ( votre mère, belle mère, mari) pouvant aller jusqu'au déni, si vous n'aviez jamais écrit Merci de nous mettre chacun devant notre propre miroir de conscience: qu'aurions nous fait? Toutes les scènes sont poignantes: on retient ses sanglots mais pas les larmes silencieuses On voudrait crier son dégout pour ces émissions d'un certain T Ardisson, débordant d'une violente vulgarité ( cette retransmission TV a été la scène la plus révoltante, de votre film, pour moi!) Merci pour l'espoir représenté par votre fille et ce dernier regard sur la mer avec la voix de C Trenet. Merci
Merci à Christine ANGOT pour avoir eu le courage de faire ce film. Triste et désolée pour son enfance massacrée. Que ce film ouvre les portes des maisons, des chambres noires . . . Que ce film réveille les esprits endormis et apporte toute la bienveillance et l'amour que l'on doit aux enfants. Comme pour les violences faites, aux femmes et aux hommes, le vent tourne prenez garde !! On veille.
Un immense merci à Christine Angot pour ce film d une puissance époustouflante. Jamais je n étais sorti d un cinéma dans un tel état, entre sidération et fascination. un film d utilité publique, qui devrait être montré à tous les ados a titre pédagogique. Une grande dame d une force de caractère incroyable !
J’ai été bouleversée par ce grand film, extrêmement touchant et fort. Il est d’utilité publique et devrait être diffusé à l’échelle la plus large qui soit ! C’est poignant de sincérité, pour raconter une réalité terrible dont Christine Angot semble s’extirper avec brio, si cela est même possible, nous laissant plein d’un lumineux espoir, et prêts à l’accompagner de nos voix pour briser le tabou de l’inceste. Merci infiniment pour ce film !
Très bon film , parcequ elle pousse vraiment l’entourage dans ses retranchements, elle le pousse à avoir un autre point de vision, à lui faire ressentir ce qu elle a ressenti, elle demande à son entourage et aux public d ailleurs d être elle, seule moyen de mesurer l ampleur du dégât , ressentir et de sortir de leur protection. Quand on voit finalement qu elle le subit à nouveau sous les yeux pratiquement de son mari , on mesure à quel point c’est un gouffre et un manque sans fond que de ne pas avoir l amour de son pere, Je ne vois que cette réponse pour comprendre pourquoi elle ne part pas , et pourquoi elle l approche à nouveau.
Ce documentaire est à voir de toute urgence. Il est absolument magistral, précieux, essentiel, nécéssaire, juste et courageux. Christine Angot, en plus d'être une écrivaine extraordinaire, nous fait là un cadeau d'une générosité incroyable. Il faut la lire. Il faut entendre ce qu'elle dit. Il faut entendre ce qu'elle nous donne à entendre. Ce n'est pas rien. C'est même tout l'inverse. C'est très important. Tout en dignité, elle montre sa vulnérabilité et c'en est bouleversant de force. Elle remet tout à l'endroit et nous avec. Et cette force elle la partage avec nous. Après je sors du cinéma un peu plus forte de son partage. Pas seulement un peu moins seule. Je sors du cinéma comme équipée. Equipée d'une caméra possible. Alors merci. C'est un documentaire qui fera date. Elle ne joue pas avec nos émotions de spectateur, elle ne prend pas le spectateur pour un con, elle le prend à témoin, elle lui partage quelque chose. Ne passez pas à côté. Allez simplement le voir. Pour la soutenir elle, mais surtout pour vous, pour vous ouvrir les yeux et remettre tout à l'endroit. Ce n'est pas confortable, mais c'est ce qui est juste. C'est ce qui est important. Merci, merci, merci Madame Christine Angot !
Film pathétique et toxique, de la haine, de l'agressivité de la colère, sans ouverture sur quelque compréhension que ce soit.... Machine à détruire l'altérité et l'empathie. épreuve à éviter à toute personne qui cherche à comprendre la vie humaine !
l'exercice est périlleux et sans doute indispensable à sa réalisatrice. On accepte de la voir se débattre avec son cruel souvenir en regrettant le voyeurisme qu'elle nous impose.