Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) Toutes les nuits est un objet inattendu, étonnant, magnifique. Son auteur, Eugène Green, signe à 50 ans un premier film à la fois incandescent et mûrement réfléchi.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) le film dégage une grande poésie et (...) le mélange de candeur et de gravité des personnages, épris de pureté, devient à la longue bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
On s'inquiète d'abord un peu du tour un peu trop bressonien de ce premier film d'Eugène Green (...). Il faut aller au bout de Toutes les nuits pour en goûter la beauté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Attention, ovni ! Comment appeler autrement un film qui, de quelque façon qu'on l'examine, ne ressemble à rien de connu, n'entre dans aucune case, ne sort d'aucune famille identifiable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Olivier Séguret
(...) l'œuvre mature et aboutie d'un observateur particulièrement délicat qui a fait de la jeunesse, physique et sentimentale, l'objet de toute son attention.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Un rien de distancé qui peut charmer ou agacer, mais qui a le mérite de ne pas lorgner sur les plates-bandes du cinéma réaliste «traditionnel». Eugène Green joue également avec des décors et des éclairages qui mêlent le naturel à l'artifice de la construction.
Télérama
par Louis Guichard
On peut chicaner. Juger désinvoltes l'évocation de 68 et la satire antiféministe (...). Mais c'est peu de chose, rapporté à la grâce de trois acteurs bouleversants (...) qui emmènent leurs personnages au-delà du croisement des lignes de vie (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
La beauté de Toutes les nuits est de ne jamais rien céder aux trompettes de la bienséance esthétique et du bien-pensant politique, soliste magnifique et incongru jouant avec sérénité de son propre instrument.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Pour sa première réalisation, Eugène Green, homme de théâtre et de littérature, impose un style que certains qualifieront positivement de "très personnel", quand les autres diront "rebutant".
La critique complète est disponible sur le site Aden
Positif
par Stéphane Goudet
Il ne suffit pas, à nos yeux, d'être un cinéaste à système pour être un grand metteur en scène. Certes, les partis pris formels sont ici très affirmés (...). Mais le système tourne parfois à vide.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Repérages
par DV
Sobre et dépouillé, ce premier film se cherche en optant pour un regard "bressonien" sur la fin de l'adolescence, mais n'est pas Bresson qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Les Inrockuptibles
(...) Toutes les nuits est un objet inattendu, étonnant, magnifique. Son auteur, Eugène Green, signe à 50 ans un premier film à la fois incandescent et mûrement réfléchi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
(...) le film dégage une grande poésie et (...) le mélange de candeur et de gravité des personnages, épris de pureté, devient à la longue bouleversant.
Le Figaroscope
On s'inquiète d'abord un peu du tour un peu trop bressonien de ce premier film d'Eugène Green (...). Il faut aller au bout de Toutes les nuits pour en goûter la beauté.
Le Monde
Attention, ovni ! Comment appeler autrement un film qui, de quelque façon qu'on l'examine, ne ressemble à rien de connu, n'entre dans aucune case, ne sort d'aucune famille identifiable.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) l'œuvre mature et aboutie d'un observateur particulièrement délicat qui a fait de la jeunesse, physique et sentimentale, l'objet de toute son attention.
MCinéma.com
Un rien de distancé qui peut charmer ou agacer, mais qui a le mérite de ne pas lorgner sur les plates-bandes du cinéma réaliste «traditionnel». Eugène Green joue également avec des décors et des éclairages qui mêlent le naturel à l'artifice de la construction.
Télérama
On peut chicaner. Juger désinvoltes l'évocation de 68 et la satire antiféministe (...). Mais c'est peu de chose, rapporté à la grâce de trois acteurs bouleversants (...) qui emmènent leurs personnages au-delà du croisement des lignes de vie (...)
Urbuz
La beauté de Toutes les nuits est de ne jamais rien céder aux trompettes de la bienséance esthétique et du bien-pensant politique, soliste magnifique et incongru jouant avec sérénité de son propre instrument.
Aden
Pour sa première réalisation, Eugène Green, homme de théâtre et de littérature, impose un style que certains qualifieront positivement de "très personnel", quand les autres diront "rebutant".
Positif
Il ne suffit pas, à nos yeux, d'être un cinéaste à système pour être un grand metteur en scène. Certes, les partis pris formels sont ici très affirmés (...). Mais le système tourne parfois à vide.
Repérages
Sobre et dépouillé, ce premier film se cherche en optant pour un regard "bressonien" sur la fin de l'adolescence, mais n'est pas Bresson qui veut.