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PE M
1 critique
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3,0
Publiée le 3 mai 2024
Alex Lutz est jubilatoire avec la finesse de son jeu, comme souvent. Malheureusement, comme beaucoup de films aujourd’hui, ça va trop vite à l’essentiel et à l’efficacité. Il ne reste pas grand-chose après coup.
Voilà une bonne surprise, avec une intrigue qui tient la route et avec des acteurs qui jouent juste. Bonitzer parvient à ne pas tomber dans les clichés "déjà vus" du gentil provincial un peu simplet et naïf contre le parisien du monde de l'art véreux et snobinard. on passe un excellent moment à suivre la nouvelle vie de ce tableau oublié et les péripéties de la vie des personnages, qui révèlent chacun une part de leur secret...
Bon film qui repose en grande partie sur le rôle et l interprétation très juste d Alex Lutz. A voir si vous ne payez pas plein tarif la place, sinon attendez la VOD vous passerez un bon moment.
Pascal Bonitzer, en raconteur doué, décortique avec malice et brio le monde du commerce de l’art. Un tableau d’Egon Schiele spolié par les nazis réapparaît dans un pavillon ouvrier et lors, tel une goutte de sang appâtant les requins, la toile ainsi ressurgie attire un vol de marchands d’art rapaces. De cette histoire réelle, le tableau s’est vendu des millions d’euros en 2006, Pascal Bonitzer tire un récit fluide et élégant. Il tisse une savante toile entre des personnages caractérisés avec soin et portés par une brochette d’acteurs cinq étoiles. Nous connaissions le talent immense d’Alex Lutz, ici en commissaire-priseur à la fois cynique et attachant, et de Léa Drucker, au jeu tout en ambiguïté, mais deux jeunes acteurs se révèlent, Louise Chevillotte, merveilleuse assistante mythomane, et Arcadi Radeff, très émouvant en ouvrier tombé des nues. Le film est éclairé par son écriture, son humour piquant, les échanges vifs et caustiques virevoltent entre les différents protagonistes et dissèquent avec une délectation communicative les coups bas et faux-semblants du marché de l’art.
Le film de Pascal Bonitzer est une belle invitation à découvrir les coulisses du milieu des salles de ventes aux enchères. Admirablement servi par l’interprète d’Axel Lutz en commissaire -priseur cynique et provocateur., il met ds manière un peu manichéenne en relief l’opposition entre le milieu ttes raffiné des ultra-riches habitués des enchères à six chiffres et plus, et celui d’une famille ouvrière de la banlieue de Mulhouse ayant hérité par hasard d’un tableau d’Egon Schiele issu d’une spoliation par les Nazis à une famille juive autrichienne avant la guerre. L’intrigue se suit agréablement sans que l’on croit vraiment aux personnages. Une belle découverte, le jeune comédien qui joue le rôle de l’ouvrier qui , à une vie bouleversée par cet argent qui lui tombera du ciel. préfèrera poursuivre .sa vie comme avant. A méditer !
On s'accroche aux personnages qui évoluent dans l'univers particulier des commissaires priseur, principalement dans le domaine de l'art. Un casting qui fonctionne parfaitement, qui nous emporte dans un scénario très bien construit.
Un peu déçus car on nous en avait dit beaucoup de bien. Pas un chef d œuvre. Après-midi agréable, très bonne interprétation. On m avait parlé des coulisses du monde des ventes aux enchères. On est restés sur notre faim
Le film était ennuyeux, je ne comprenais pas où ils voulaient en venir, c'était un film lent mais ce que j'ai aimé, c'est que les personnages étaient bons. L'histoire commence avec deux personnes qui les appellent et trouvent un tableau qu'elles pensaient être perdu, et c'est ainsi que l'histoire progresse.