Comme d'habitude ou presque, Pascal Bonitzer nous offre une bon téléfilm. Un casting bien fait, une intrigue rassurante et deux trois poncifs de nature à conforter le téléspectateur dans ses a priori. Si vous avez un abonnement et que vous passez devant le cinéma, pourquoi pas ? Sinon attendez qu'il passe à la télé, vous ne verrez pas la différence avec les téléfilms de France 3.
Un film sympathique porté par un Alexandre Lutz charismatique dans un environnement assez peu représenté au cinéma et avec une histoire en soi assez intéressante. Si les grosses lignes de l'histoire mérite un récit, il reste dommage que les relations soient gentillettes et/ou caricaturales et finalement peu crédibles. Difficile d'attacher la moindre importance à la relation entre André et Aurore, de croire à la bienveillance caricaturale d'une partie du monde de l'art vis-à-vis de Martin, de réellement se satisfaire de cette relation entre Martin et ses amis expéditivement brossée ou de comprendre certains personnages à commencer par Aurore qui ne cesse d'être au cœur de situations étranges. spoiler: spoiler: A quel moment l'ex femme peut-elle par exemple trouvé acceptable d'amener Aurore dans la chambre de son Ex mari alors que ce dernier dort, et encore plus de la laisser seul dans l'appartement en laissant supposer une relation proche entre les deux personnages, alors qu'il semble évident que ce n'est pas le cas.
Manque flagrant de finesse d'écriture qui donne cependant étrangement une énergie plaisante à ce film maladroitement décalé.
Autant la découverte d'un tableau disparu depuis la 2e Guerre mondiale est un puissant moteur pour montrer le dessous du monde des commissaires priseurs, des avocats américains, de la restitution des oeuvres juives spoliées. Tout cela n'est qu'effleuré par Pascal Bonitzer. Et c'est bien dommage. Il aurait fallu creuser davantage dans cette voie où les crabes pullulent... Hélas on a des scènes, avec une stagiaire : Aurore, mythomane au dernier degré. Et qui vient casser l'intrigue du film, SANS RIEN APPORTER au récit ? Sauf vers la fin ...Mais que de faux suspense entre deux. ! Alex Lutz - que je ne connaissais pas - est excellent dans son rôle de commissaire priseur chez Scottie's. Laura Drucker est aussi bien dans son rôle de Bertina... Le scénario aurait demandé plus d'écriture sur la restitution des oeuvres spoliées...Dans ce film on apprend RIEN
Un peu déçu par le film Bons acteurs mais plusieurs fils à l’histoire que j’ai trouvé finalement assez inintéressant notamment la relation entre la fille et le père je ne vois vraiment pas ce que ça apporte au film Par ailleurs toute l’histoire de l’art dégénéré et de la spoliation de l’art par les nazis et finalement qu’effleuré Le film manque d’émotion par ailleurs
J'ai aimé : le jeu d'acteur de Alex Lutz, bluffant, et fort Je n'ai pas aimé : narration plate du film, linéaire, par moment proche de l'ennuie Ce film ne me laissera pas un souvenir impérissable, mais je me souviendrais du jeu d'acteur d'Alex Lutz qui sauve le film qui est pour ma part trop quelconque , pour sa prestation je met un 11/20 au film
Film oubliable, bien qu’il dépeigne plutôt correctement les personnages qui sillonnent le monde de l’art. Mais sinon, tout est caricatural, sommaire, classiste et bourré de placements produits dérangeant. Dommage.
L'histoire aurait pu être intéressante si elle avait été mieux racontée. La réalisation atone, et l'écriture des personnages à peine ébauchée, plombent ce film. Par exemple spoiler: Pourquoi la stagiaire ment-elle tout le temps à tout le monde ? On n'en saura presque rien. Des trois djeuns travaillant à l'usine, on ne saura pas grand chose non plus. Bref, ce n'est pas mauvais, mais ce n'est pas passionnant du tout.
L'histoire du tableau est en soi intéressante, mais le scénariste a fait un travail très pauvre: il a voulu créer des personnages mais cela s'avère sans intérêt, même si les acteurs sont bons. 0 pour le scénariste
Un film assez décousu, au total peu intéressant, avec des dialogues d'une platitude extrême et quelques invraisemblances agaçantes, des sonneries de téléphone en guise de bande son. Une stagiaire mythomane qui passe son temps à mentir, puis qui ne ment plus, on ne sait pas pourquoi. Deux actrices s'embrassent sur la bouche, waouh ! Ah si, on se retrouve à visiter le musée de l'Automobile à Mulhouse et ça donne l'occasion d'entrapercevoir 3 ou 4 Bugatti en présence d'Alex Lutz. A part ça, pas grand chose. Ici, ce n'est pas le tableau qui a été volé mais mon temps.
Si on ne savait pas que l'histoire à l'origine du scénario est réelle, on trouverait ce film cousu de fil blanc voire caricatural. J'ai vécu ce film avec l'impression d'être le témoin d'une pluralité de vols. Celui à l'origine de la disparition du tableau évidemment mais aussi, celui de toutes les tentations qui vont tourner autour de sa réapparition. Quête d'identité de ce tableau pourtant formellement identifié mais aussi quête d'identité pour la plupart des personnages que l'on croise ici dans une recherche personnelle, un carrefour de leur vie, une volonté de reconnaissance. Il me semble que c'est là l'essentiel du film où qu'on regarde, cette volonté d'être reconnu de chacun dans son milieu professionnel mais aussi dans sa vie d'être humain, dans sa vie sociale, affective au sens large (amoureuse et amicale). comme en écho au tableau dont on suit la trace. Cela donne un film qui part donc un peu dans tous les sens dans de multiples récits secondaires mais qui se laisse voir avec plaisir néanmoins.
Il y a deux trois choses que j’aurais faites différemment sur le scénario; des détails soit qui paraissent naifs soit qui ne marchent pas très bien à l’image. Mais ce sont pour moi surtout les dialogues qui pêchent. Surtout comme ils sont joués: ils paraissent très faux, mal joués, et creux. L’image n’est pas très belle ou léchée non plus d’ailleurs. Pas mauvais pour autant.
Un film dont j'attendais beaucoup mieux. Si l'histoire est intéressante, il présente beaucoup d'à peu près (l'entente soudaine entre la fille et le père - pourquoi ?), idem entre la stagiaire et son patron qu'elle déteste les 3/4 du film, sans oublier cette scène totalement inutile du baiser entre deux femmes, qui n'apporte absolument rien à l'histoire, mais qu'il est de bon ton de placer systématiquement dans les film et les séries actuelles.