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Cinemadourg
782 abonnés
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2,5
Publiée le 3 mai 2024
Inspiré de l'histoire vraie de la découverte dans les années 2000 d'un tableau d'Egon Schiele ("Les Tournesols") porté disparu depuis la deuxième Guerre Mondiale, puis retrouvé chez un modeste particulier dans la banlieue de Mulhouse, ce film nous fait découvrir les dessous assez manipulateurs du milieu du marché de l'art. Le clivage entre les milieux sociaux est relativement bien mis en avant, il est dommage que le scénario se perde légèrement dans des mini-intrigues secondaires n'ayant que peu d'intérêt par rapport au sujet principal de cette comédie dramatique. Le casting est pourtant plutôt solide (Léa Drucker, Alex Lutz), mais je suis ressorti de cette séance sans grand émoi : une oeuvre cinématographique certes sommairement enrichissante, mais finalement moyenne et malheureusement vite oubliable ! Site CINEMADOURG.free.fr
tout est survolé rien n'est fouillé. c'est long c'est sans intérêt. la stagiaire menteuse professionnelle on ne sait pas pourquoi, le commissaire-priseur le commissaire-priseurhautain et alcoolique on ne sait pas pourquoi, ils sont toujours potes avec sa femme on ne sait pas pourquoi, bref rien n'est clait
entre une mythomane (et on sait pas pourquoi elle ment tout le temps), un prétentieux , une ex et un timide le scénario tourne autour d’eux pour pas grand chose à part une certaine société huppée autour des galeries d’art.
Gentillet, gnangnan. Manque de rythme et de vraisemblance mais plutôt bien joué. Le cinéma français me fait un peu penser aux figures imposées du patinage artistique: un double axel , un couple homosexuel, deux boucles piquées, une représentante de la diversité… C’est lassant. Ici nous échappons aux scènes de lit, et aux expositions de nudités. Ouf! C’est rafraîchissant.
Un milieu assez inhabituel (celui des salles de vente aux enchères) sert de décor au scenario improbable. Tout est bancal ! Les dialogues en particuliers sonnent faux bien trop souvent ... des répliques qui viennent de l'espace qui font tomber de la chaise ! L'histoire d'une escroquerie qui entraine un suspense assez suffoquant ... et qui est découverte … on ne sait comment ! Une petite touche d'homosexualité qui ne sert à rien, mais cela doit être vendeur ? Putassier ? La vente d’un tableau qui ne sera jamais expertisé, Dieu seul sait pourquoi. Sinon, les acteurs sont irréprochables ...
Une bonne idée qui hélas se fond dans des histoires parallèles sans aucun intérêt. Le film se laisse voir car l’histoire du tableau est amusante mais le scénariste qui ne parvient pas à developper l’histoire la charge de « gras » superflu sans doute pour tenir la durée imposée Donc on perd un peu le fil et on s’égare dans ces meandres dont certains sont franchement grotesques ( l amante de l ex femme du commissaire priseur) Dommage car en plus tonique on tenait un bon film …Beaucoup de spectateurs iront sans doute vérifier s ils n’ont pas un tableau mirobolant au grenier ou à la cave.
Alors qu'il travaille comme commissaire-priseur dans une salle de ventes parisienne où il est mis sous pression, André est interpellé par une avocate à Mulhouse. Un tableau extrêmement précieux et perdu depuis des décennies aurait été retrouvé chez un particulier. André fait appel à son ex-femme avec qui il a gardé des liens professionnels forts pour l'aider dans son expertise de l'oeuvre. En salle le 1e mai.
spoiler: "Le tableau volé" a quelques bons points à faire valoir. Les acteurs sont crédibles et on prend Plaisir à découvrir le binôme Lutz-Drucker qui crève l'écran. Malheureusement, j'ai trouvé l'intrigue plutôt confuse, probablement à cause de coupes brutales lors du montage. Certains personnages ont des révélations ou des comportements qui m'ont parus rapides, quand ce n'est pas tout bonnement inexpliqué. De plus, les scènes humoristiques sont basées sur le décalage paris - province, ce qui est un peu lourd à la longue. On remarquera une apologie de l'art dans sa forme la plus capitalistique et snob, où seule la valeur marchande compte.
Le film est si décevant. Les dialogues sont tartes même si les acteurs ne sont pas mauvais. La mise en scène tristement fade. Le montage lourd : on ouvre et on ferme une porte à chaque séquence. Ça masque peut-être le fond du film qui est assez vide. Si peu à dire sur le monde. A part une petite morale de fin digne d’une dissertation de 3 eme.
Film vu en avant-première en présence du réalisateur, Pascal Bonitzer ; Pascal Bonitzer, célèbre critique puis réalisateur, nous projette ici l'étude d'un milieu, trop peu souvent étudié, des commissaires-priseurs, mais également celui de l'art plus généralement. Ce monde nous est décortiqué par l'intermédiaire d'une histoire vraie, une spoliation d'œuvre d'Egon Schiele par les Nazis, retrouvé à Mulhouse des années plus tard. Tirée d'un fait divers, Bonitzer jongle parfaitement entre le suivi réaliste de l'histoire, donnant du fond et le coté fictionnelle pour donner de la forme, mais aussi dénoncer ce milieu empli de mensonge. L’ambiance est constamment palpable et stressante sur l’acquisition de ce tableau jusqu’à en devenir étouffante parfois. Le malheur des personnes ressort de toutes les façons, les travers de ce milieu angoissant. Alex Lutz est remarquable tout comme Arcadi Radeff, qui avec son personnage, est le point d'orgue de cette œuvre, clairement le rôle et l'interprétation la plus notoire de ce métrage. Cependant, le film est assez lent, ne montrant pas toujours l’essentiel et l’on a parfois du mal à bien rentrer dans le film
Bon jeu d’acteur d’Alex Lutz et Lea Drucker. Je m’attendais à un film dont l’intrigue reposerait sur “Le Tableau Volé”, c’est en réalité une caricature sociale dans laquelle est opposé vulgairement prolétariat et élite culturelle. Martin, est si vertueux qu’il en devient niais, Aurore est sans intérêt voire irritante Il y a trop d’intrigues inintéressantes et trop peu de focus sur LE TABLEAU et sa vente qui mériteraient bien plus de développements. Les coulisses du marché de l’art ne sont qu’abordées en surface. Trop tôt dans le film, le doute est levé sur l’authenticité du tableau et ce qu’il en adviendra.
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2,5
Publiée le 17 mai 2024
« Je ne veux pas de ce tableau, je ne veux pas avoir de sang sur les mains ! » Le ton est donnè! il ne manque plus que Alex Lutz pour incarner le commissaire-priseur [...] Histoire vraie d'un tableau retrouvè (Les fameux « Tournesols fanès » disparu durant la guerre et rèapparu comme par miracle dans les annèes 2000) avec des personnages plus ou moins isolès dans leurs certitudes! Qui d'autre que Pascal Bonitzer pouvait mettre en scène cette enquête dans le monde secret de l'art ? Ce dernier traite le sujet avec intelligence et goût en exposant un monde de richesse où il y a très peu d'argent! On ne rèclame pas forcèment un chef d'oeuvre de sa part mais il manque cependant une saveur à ce « tableau volè » dont la destinèe est assez incroyable! Reste l'interprètation des acteurs, en particulier le très convaincant Alex Lutz et la très fantasque Louise Chevillotte en stagiaire! On peut souligner ègalement la prèsence de Alain Chamfort (touchant) qui tient le rôle du père! Une oeuvre à rèèvaluer...
Très déçue par ce film, qui est bien interprété mais qui manque de rythme, bourré de bons sentiments et assez faible au scénario. Des séquences qui tombent comme un cheveu sur la soupe, des conflits de personnages obscurs. Et tout le monde ou presque prononce "Chil" le nom du peintre, je pense que quand on bosse dans le monde de l'art, on sait qu'on prononce "Schieleu".