Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
La petite musique de Bonitzer est particulièrement réussie par sa science des dialogues, de la répartie, du rythme et des contre-temps. Pour les servir, il a mitonné sa distribution, avec une équipe en grande forme.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Bonitzer expose avec finesse le cynisme spéculatif, soulève des questions fondamentales sur la valeur de l'art, la moralité de ses transactions et les répercussions de l'histoire sur le présent.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Un scénario bien ficelé sur un sujet inattendu, des dialogues savoureux, une mise en scène classique, mais efficace, et un beau casting font de ce dernier film de Pascal Bonitzer un moment à la fois instructif et divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Est Républicain
par N.C
Pascal Bonitzer peint un portrait sans merci du marché de l’art dans une comédie acide, mettant en scène une maison de vente aux enchères avide, intéressée d’abord par la valeur monétaire d’un tableau de Schiele.
La critique complète est disponible sur le site L'Est Républicain
L'Obs
par Sophie Grassin
On retrouve les dialogues en forme de douche écossaise chers au cinéaste, notamment dans la scène d’ouverture, un modèle du genre. Et puis il y a cette galerie de personnages – ex-femme, avocate… –, dont Bonitzer ne divulgue pas tous les secrets mais qui, chacun à leur manière, servent le film et en majorent l’intérêt.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Pascal Bonitzer s’empare d’une histoire vraie pour dépeindre le monde du marché de l’art dans un film passionnant servi par une distribution impeccable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Tribune
par Aurélien Cabrol
À la fin du film, tout s'éclaire, chaque personnage occupe sa place, chaque élément disparate fait sens, toutes les parties de l'histoire s'assemblent à la façon d'un puzzle. Pour nous raconter l'histoire passionnante de ce tableau volé, Pascal Bonitzer a pris soin, en conteur avisé, de nous prendre par la main et de nous conduire à travers des chemins plus ou moins escarpés vers une résolution presque apaisée.
La critique complète est disponible sur le site La Tribune
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Bonitzer expose avec finesse le cynisme spéculatif, soulève des questions fondamentales sur la valeur de l'art, la moralité de ses transactions et les répercussions de l'histoire sur le présent.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Si on mettait ce Tableau volé aux enchères, les mains n'arrêteraient pas de se lever dans la salle. Bonitzer une fois, Bonitzer deux fois, Bonitzer trois fois? Adjugé. L'acheteur n'aura pas à regretter son geste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Son élégant récit captive et amuse tout à la fois malgré ses détours, brillant par son écriture, tant dans les dialogues ciselés que dans la caractérisation des personnages campés par des acteurs épatants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Julien Desneuf
Inspiré d’une histoire vraie, le film parle moins d’art que des intérêts qui y sont liés. Le tout avec finesse et humour, sans jamais grossir le trait.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Servi par une belle distribution, ce film permet de découvrir Nora Hamzawi dans un registre inattendu. Elle est tout bonnement irrésistible en avocate de province gauche. Il confirme les talents de Louise Chevillotte, merveilleuse mythomane, et d'Arcadi Radeff, bouleversant en ouvrier dépassé par les événements.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le Soir
par Fabienne Bradfer
Ce tableau singulier (des tournesols) s'est révélé être une œuvre spoliée par les nazis. Le cinéaste français part de là pour imaginer une intrigue et nous immerger dans le monde de l'art et la valeur marchande des œuvres. C'est fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Le Soir
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un film fluide et élégant, porté tout en ambiguïtés par Alex Lutz en redoutable commissaire-priseur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le monde de la vente d’objets d’art est décrit avec une mine d’informations fort précises et tout à fait passionnantes, et chaque personnage porte sa part de romanesque, de secret, de folie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Raphaël Sergeant
Un bel hommage au rôle réconciliateur de l’art dans une œuvre qui commençait comme du Lubitsch et qui se conclue comme chez Capra.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Ce jeu de piste élégant et piquant vaut surtout pour sa description du microcosme du commerce de l'art.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le réalisateur parvient (...) à concilier précision du trait, efficacité narrative (...) et ampleur romanesque. Avec toujours un goût affirmé pour l’humour piquant, mais, aussi, une émotion davantage assumée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Adaptant l’histoire vraie d’un tableau spolié retrouvé à Mulhouse et de son périple dans le monde des enchères, Bonitzer reconstitue un micromilieu aveugle où l’œuvre, que personne ne regarde pour elle-même, révèle impitoyablement les valeurs symboliques, les ethos et surtout les hiérarchies qui gouvernent les personnages.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par G.To
Un film original, rythmé comme un thriller, au dialogue émaillé de fulgurances cinglantes.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans cette comédie farfelue, Pascal Bonitzer dirige des acteurs motivés (en tête de liste, Alex Lutz et Léa Drucker) qui contribuent à la réussite mineure mais réelle de ce petit film qui en vaut bien des grands.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Inspirée d'une histoire vraie, cette comédie romanesque sur le petit monde des experts en peinture est portée par un casting impeccable.
Première
par Thomas Baurez
La mise en scène joue constamment du trompe-l’œil, son réalisme supposé se lovant dans une sorte de torpeur inquiète qui invite à reconfigurer les êtres et les lieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
Le Tableau volé entremêle l’art, l’Histoire et le commerce.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Ce film se regarde sans déplaisir, non pas grâce à sa mise en scène qui n’a rien d’exceptionnel, mais plutôt par la qualité de ses dialogues et de son interprétation. Les échanges vifs et caustiques virevoltent entre les différents protagonistes et dissèquent avec une délectation communicative les coups bas, rivalités et faux-semblants du marché de l’art.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Propos intelligent pour un film qui va à rebours des attentes, mais manque d’une approche marquée et reste dans une tonalité neutre. Ni une fantaisie jubilatoire ni un drame s’attachant au caractère incandescent d’une telle découverte.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par Clément Colliaux
Pascal Bonitzer tente une satire du marché de l’art, mais le propos social reste superficiel et le film vire au théâtre de boulevard.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par C.C
Difficile de se laisser prendre au jeu par cette intrigue peu palpitante. Le mépris de classe des habitués des salles de ventes face à la famille de Martin est même désagréable.
Bande à part
La petite musique de Bonitzer est particulièrement réussie par sa science des dialogues, de la répartie, du rythme et des contre-temps. Pour les servir, il a mitonné sa distribution, avec une équipe en grande forme.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Bonitzer expose avec finesse le cynisme spéculatif, soulève des questions fondamentales sur la valeur de l'art, la moralité de ses transactions et les répercussions de l'histoire sur le présent.
Franceinfo Culture
Un scénario bien ficelé sur un sujet inattendu, des dialogues savoureux, une mise en scène classique, mais efficace, et un beau casting font de ce dernier film de Pascal Bonitzer un moment à la fois instructif et divertissant.
L'Est Républicain
Pascal Bonitzer peint un portrait sans merci du marché de l’art dans une comédie acide, mettant en scène une maison de vente aux enchères avide, intéressée d’abord par la valeur monétaire d’un tableau de Schiele.
L'Obs
On retrouve les dialogues en forme de douche écossaise chers au cinéaste, notamment dans la scène d’ouverture, un modèle du genre. Et puis il y a cette galerie de personnages – ex-femme, avocate… –, dont Bonitzer ne divulgue pas tous les secrets mais qui, chacun à leur manière, servent le film et en majorent l’intérêt.
La Croix
Pascal Bonitzer s’empare d’une histoire vraie pour dépeindre le monde du marché de l’art dans un film passionnant servi par une distribution impeccable.
La Tribune
À la fin du film, tout s'éclaire, chaque personnage occupe sa place, chaque élément disparate fait sens, toutes les parties de l'histoire s'assemblent à la façon d'un puzzle. Pour nous raconter l'histoire passionnante de ce tableau volé, Pascal Bonitzer a pris soin, en conteur avisé, de nous prendre par la main et de nous conduire à travers des chemins plus ou moins escarpés vers une résolution presque apaisée.
Le Dauphiné Libéré
Bonitzer expose avec finesse le cynisme spéculatif, soulève des questions fondamentales sur la valeur de l'art, la moralité de ses transactions et les répercussions de l'histoire sur le présent.
Le Figaro
Si on mettait ce Tableau volé aux enchères, les mains n'arrêteraient pas de se lever dans la salle. Bonitzer une fois, Bonitzer deux fois, Bonitzer trois fois? Adjugé. L'acheteur n'aura pas à regretter son geste.
Le Journal du Dimanche
Son élégant récit captive et amuse tout à la fois malgré ses détours, brillant par son écriture, tant dans les dialogues ciselés que dans la caractérisation des personnages campés par des acteurs épatants.
Le Parisien
Inspiré d’une histoire vraie, le film parle moins d’art que des intérêts qui y sont liés. Le tout avec finesse et humour, sans jamais grossir le trait.
Le Point
Servi par une belle distribution, ce film permet de découvrir Nora Hamzawi dans un registre inattendu. Elle est tout bonnement irrésistible en avocate de province gauche. Il confirme les talents de Louise Chevillotte, merveilleuse mythomane, et d'Arcadi Radeff, bouleversant en ouvrier dépassé par les événements.
Le Soir
Ce tableau singulier (des tournesols) s'est révélé être une œuvre spoliée par les nazis. Le cinéaste français part de là pour imaginer une intrigue et nous immerger dans le monde de l'art et la valeur marchande des œuvres. C'est fascinant.
Les Echos
Un film fluide et élégant, porté tout en ambiguïtés par Alex Lutz en redoutable commissaire-priseur.
Les Inrockuptibles
Le monde de la vente d’objets d’art est décrit avec une mine d’informations fort précises et tout à fait passionnantes, et chaque personnage porte sa part de romanesque, de secret, de folie.
Positif
Un bel hommage au rôle réconciliateur de l’art dans une œuvre qui commençait comme du Lubitsch et qui se conclue comme chez Capra.
Sud Ouest
Ce jeu de piste élégant et piquant vaut surtout pour sa description du microcosme du commerce de l'art.
Télérama
Le réalisateur parvient (...) à concilier précision du trait, efficacité narrative (...) et ampleur romanesque. Avec toujours un goût affirmé pour l’humour piquant, mais, aussi, une émotion davantage assumée.
Cahiers du Cinéma
Adaptant l’histoire vraie d’un tableau spolié retrouvé à Mulhouse et de son périple dans le monde des enchères, Bonitzer reconstitue un micromilieu aveugle où l’œuvre, que personne ne regarde pour elle-même, révèle impitoyablement les valeurs symboliques, les ethos et surtout les hiérarchies qui gouvernent les personnages.
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Un film original, rythmé comme un thriller, au dialogue émaillé de fulgurances cinglantes.
Marianne
Dans cette comédie farfelue, Pascal Bonitzer dirige des acteurs motivés (en tête de liste, Alex Lutz et Léa Drucker) qui contribuent à la réussite mineure mais réelle de ce petit film qui en vaut bien des grands.
Ouest France
Inspirée d'une histoire vraie, cette comédie romanesque sur le petit monde des experts en peinture est portée par un casting impeccable.
Première
La mise en scène joue constamment du trompe-l’œil, son réalisme supposé se lovant dans une sorte de torpeur inquiète qui invite à reconfigurer les êtres et les lieux.
Transfuge
Le Tableau volé entremêle l’art, l’Histoire et le commerce.
aVoir-aLire.com
Ce film se regarde sans déplaisir, non pas grâce à sa mise en scène qui n’a rien d’exceptionnel, mais plutôt par la qualité de ses dialogues et de son interprétation. Les échanges vifs et caustiques virevoltent entre les différents protagonistes et dissèquent avec une délectation communicative les coups bas, rivalités et faux-semblants du marché de l’art.
La Voix du Nord
Propos intelligent pour un film qui va à rebours des attentes, mais manque d’une approche marquée et reste dans une tonalité neutre. Ni une fantaisie jubilatoire ni un drame s’attachant au caractère incandescent d’une telle découverte.
Libération
Pascal Bonitzer tente une satire du marché de l’art, mais le propos social reste superficiel et le film vire au théâtre de boulevard.
Télé Loisirs
Difficile de se laisser prendre au jeu par cette intrigue peu palpitante. Le mépris de classe des habitués des salles de ventes face à la famille de Martin est même désagréable.