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Esmithus
5 critiques
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2,5
Publiée le 7 décembre 2024
on ne sait pas trop si c'est une fiction ou un documentaire, par contre, ce qu'on sait, c'est que ce film de 1h10 semble très long plutôt sympathique mais manque cruellement de rythme
Premier Long Métrage de l’artiste Éléonore Saintagnan , qui n'avait pas été diffusé sur Strasbourg lors de sa sortie en salle , original et décalé qui a un côté poétique à travers ce conte à lisière de la légende du Loch Ness !
Un peu dégoûté j'ai payé 5 eur sur VOD pour un film d'auteur sans fond, sans intrigue, long mais qui se présente à l'affiche comme divertissant avec une pointe de suspens. Je suis désolé mais de la longueur et de la simplicité dans les scènes ce n'est pas "poétique"
Un joli petit OVNI. Pas trop identifié au cinéma classique (il est l'oeuvre d'une artiste plasticienne, Éléonore Saintagnan, drôle d'objet, qui peut voler si haut qu'il semble par moments un peu 'perché'. Mais dans sa modestie et sa candeur, traversé par un drôle d'humour, il charrie de beaux moments, spoiler: tels ce 'monstre' de silure géant ou cette magnifique chanson interprétée par un chanteur de country bluesy américain et sa fille . Qu'est-ce qui a été mis en scène ou pris sur le vif, qui joue l'acteur ou incarne son rôle, qu'est-ce qui a été organisé et pensé ou filmé au hasard des rencontres, c'est la question. Et ça n'en rend ce film que plus beau: un bijou, un travail d'orfèvre, patient et attentif.
On suite la narratrice dès le début du film et on débarque au milieu d'une Bretagne mystique dans un camping qui semble perdu au milieu de nulle part. Camping du Lac dresse une galerie de portraits à la fois réalistes et insolites. Film très proche du docu-fiction. Pas incontournable mais on passe un moment tout doux.
Elle voulait voir la mer, elle devra se contenter d'un lac... Après une panne de voiture, Éléonore, qui avait pris la route sur un coup de tête, débarque dans un camping le temps des réparations. Un lieu que certains n'ont jamais pu quitter et que la jeune femme découvre à travers des histoires sur les gens qui l'habitent à l'année ou sur la région. Un conte entre réalité et fiction avec un peu de folklore et de fantastique dans un cadre rural. Une sorte de docufiction bizarre qui intrigue par cette potentielle présence du loch Ness breton et la légende du poisson, mais le reste donne juste l'impression de voir un vlog barbant d'une personne. J'ai eu beaucoup de mal à m'intéresser aux personnages et à leurs petites anecdotes... Bref, un film ennuyeux malgré sa très courte durée.
La réalisatrice Eléonore Saintagnan part vers la mer sur un coup de tête. Une panne automobile l’oblige à interrompre son voyage et à s’installer dans un camping, au bord d’un lac, en Bretagne. Une légende liée au saint-patron du coin, Corentin, y circule autour d’un mystérieux poisson qui hanterait les fonds du lac. Avec sa caméra et son micro, Eléonore Saintagnan filme ce qui l’entoure : un vieil Américain, chanteur de country, à la recherche de sa fille, une mère de famille qui élève quelques poules, un tatoueur, un couple de vieux retraités…
Fiction ou documentaire ? "Camping du lac" revendique la fiction, mais louche plutôt du côté du documentaire. Il se déroule sur les bords du plus grand lac de Bretagne, le lac de Guerlédan dans les monts d’Armor, qui, ainsi filmés, ont des airs de Jura ou de Vosges.
Le prétexte en est inoffensif. S’agit-il d’une reconstitution historique de la vie de Saint Corentin comme ses dix premières minutes pourraient le laisser croire ? une enquête sociologique sur la France des campings ? ou encore, lorsque [attention spoiler] on découvre enfin le mystérieux poisson du lac, un conte onirique et écologique ? Le film peine à trouver sa voie et à prendre son envol. Y eût-il réussi, il s’arrête au bout de soixante-dix minutes à peine, victime de sa propre modestie.
Sur la route des vacances, Éléonore tombe en panne et se retrouve dans un camping improbable qui va connaître un destin étonnant. Une intrigue captivante sous forme de parodie de notre monde moderne, assoiffé par le buzz et la surconsommation. C’est brillant.
Le camping du lac, un beau film doux et sans prétention, très humain, je vous le recommande. tourné au lac de Guerledan. vu hier en séance spéciale à l'espace 1789 à Saint-Ouen , suivi d'un concert de Rosemary Stanley et son père, tous deux acteurs dans ce film.
En route vers la mer une femme seule se retrouve dans un camping suite à une panne. Un endroit coupé de tout ou une petite communauté hétérogène vit tranquillement auprès d’un lac abritant le Nessy breton. On y croise un américain joueur de folk, des retraités apprentis phytothérapeutes, un trans qui égorge des poulets. Un microcosme étrange pour une œuvre qui l’est tout autant. Mais la sauce ne prend jamais vraiment et malgré ses 70 minutes le film paraît long.
Je vais être gentil, on s’ennuie Pas bien filmé, narratrice monocorde, scénario vide Images pas jolies Bref quel est l’intérêt de ce film C’est même pas un bon docu, on ne sait rien des protagonistes, juste un vague résumé J’ai mis 2 à cause de Rosemary qui chante à la fin