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Votre avis sur La Nuit d'Orion ?
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Dessin animé très sympa et surtout très original... bon on a l'impression de voir tout le temps un peu la même chose depuis que Vice Versa a exploité le créneau des sentiments car ici on assiste à la réunion de la nuit, du jour, du sommeil, de l'insomnie... et c'est sympa mais ça commence à devenir de la boucle ! Et puis honnêtement est ce que ça fait rêver les enfants ? Mais bon ça c'est un autre problème... en attendant, moi, j'ai bien aimé ça car Dark est adorable et l'histoire de ce petit garçon angoissé par la nuit est vraiment plaisante à suivre mais les anciens dessins animés plein de magie et de féerie me manquent quand même !
Un film qui nous perd assez vite dans quelque chose d'assez cheap. Le message passe à peu près mais on n'est que très peu emballé.
Tu prends une animation sans grande originalité graphique, tu y mets une histoire avec un enfant et un personnage magique et rigolo tout droit sortie du génie d'aladdin. Tu y ajoutes des acolytes qui representent des émotions de la nuit (tiens tiens mais ne serait-ce pas pompé sur un fameux pixar...) et tu obtiens donc un film sans âme sans particularité et donc d'un grand ennui...
Un film original et plutôt bon dans son ensemble, peut être un peut pointilleux pour les plus jeune qui ne comprendront pas tout malheureusement. La fin est bâclée je trouve et le chois de certaines entités mal réalisées.
J’étais assez intrigué par La Nuit d’Orion, même si malheureusement avec sa sortie Netflix, le film a été aussi vite oublié qu’il n’est sorti. Dreamworks oscille toujours entre le très bon et le médiocre mais avec Charlie Kaufman au scénario, j’avais quelques espérances… qui ont vite été rattrapées par la réalité. La nuit d’Orion a un concept de base intéressant avec ce personnage toujours flipper qui doit apprendre à faire face à ses peurs, malheureusement c’est fait avec un ton beaucoup trop enfantin qui fait que l’émotion du film ne décolle jamais vraiment, et on reste sur une sorte de « Vice Versa » du pauvre. En plus, l’animation est très jolie à l’exception du design des personnages que je trouve très oubliables. Bref, sinon ça reste sympa ça se laisse regarder et c’est plutôt divertissant mais bon, c’est plutôt une déception de mon côté.
La belle surprise de cette année 2024, nous vient de chez Dreamworks avec ce film ! Un magnifique film avec une narration simple mais au combien maitrisé ! D'une justesse absolu, dégageant une émotion particulière. J'espère qu'à l'avenir on reparlera de ce Dreamworks comme un de leurs meilleurs films (oui c est mon avis personnel). Magnifique
Cinéphiles 44
Scénarisé par Charlie Kaufman, « La nuit d’Orion » est l’adaptation du livre pour enfant « L’enfant qui avait peur du noir » en film d’animation. Alors que le petit Orion panique de tout ce qui se rapproche de l’obscurité, l’incarnation même du noir va l’entraîner dans un monde fantastique pour lui prouver qu’il n’a rien à craindre de la nuit. Sur le papier, le scénario séduit, sur l’écran, le film est assez bancal et les personnages peinent à transmettre la moindre commotion. Un produit Netflix anecdotique qui ne réussit pas à matérialiser l’abstrait comme l’aurait fait Pixar avec « Vice Versa ».
"La Nuit d'Orion" était un petit film que j'attendais malgré tout. Cette coproduction entre Netflix et DreamWorks semblait avoir du potentiel et il fut donc assez facile pour moi de lancer le visionnage. Et globalement, les premières minutes furent assez prometteuses. Très rapidement, je découvre tout le potentiel du film, que ce soit au niveau de ces visuels ou dans son scénario. Esthétiquement, l'animation est assez fluide, sans être extraordinaire pour autant. Et au niveau de l'idée de base du projet, je comprends rapidement où tout cela veut en venir. Le long-métrage semble emprunter une sorte de concept à la Pixar, avec cette personnification du monde de la nuit. Donc même si cette façon de faire n'a rien d'innovante, je me dis que si c'est bien utilisé, je devrais passer un bon moment. Malheureusement, toute la suite du film ne sera qu'une immense déception. Déjà, car le film fait l'erreur classique des mauvais Pixar, avec un univers qui est au service d'une thématique assez banale. Vouloir traiter de la peur et faire en sorte que notre héros se surpasse, c'est quelque chose que l'on a déjà trop vu. Et le problème est que ce projet ne donne pas vraiment de plus-value à ce thème, il reste bien en surface. Dotant plus que les éléments dont il est englobé seront bien trop bancales. Et je veux bien évidemment parler du scénario, qui ne semble pas avoir envie de nous raconter une véritable histoire. Ce long-métrage fait l'erreur de nous proposer une histoire dans l'histoire, avec un personnage qui raconte à un autre ce que nous voyons. Sauf que ce genre de procédé fait perdre toute tension à notre intrigue, car à tout moment, le personnage qui raconte peut choisir de modifier ce que nous voyons en fonction des réactions de son interlocuteur. Rien ne semble avoir d'importance, tout est modifiable et il est donc compliqué de se sentir embarqué dans ce scénario. Sachant également que celui-ci remplit vraiment sa fonction de manière très académique. Si j'aime bien l'introduction, il faut aussi dire qu'elle est très rapide et elle va donc bien trop enchaîner les informations pour nous faire comprendre de quoi le film va parler. Par la suite, toute la première partie n'est qu'une présentation de l'univers, et c'est tout. On ne développe rien de particulier, on se contente de présenter les personnages et de voir leurs spécificités, mais ce sera pendant bien trop longtemps (presque 30 minutes). Dans la deuxième partie, nous aurons enfin un peu de développement, mais ce sera bien trop raté pour fonctionner. L'appréhension que j'avais par rapport à cette histoire du personnage qui raconte va atteindre son paroxysme, avec le film qui envoie ses propres règles à la poubelle
spoiler:
en intégrant le personnage qui écoute l'histoire à l'histoire en elle-même.
Par conséquent, ce long-métrage est une vraie déception. Il a des qualités, mais son potentiel était clairement bien plus intéressant que le résultat qu'il a laissé. Pour conclure, un film d'animation bien décevant.
Par conséquent, ce long-métrage est une vraie déception. Il a des qualités, mais son potentiel était clairement bien plus intéressant que le résultat qu'il a laissé. Pour conclure, un film d'animation bien décevant.
LA NUIT D’ORION : 18,5/20
« La nuit ne se résume pas qu’à l’obscurité » - Orion
Quelle bouffée d’air frais ce petit nouveau des studios Dreamworks.
Une pluie d’inventivités qui vient dessiner une merveilleuse constellation terriblement agréable à regarder 💫
Orion, 11 ans, est terrifié de tout. Il a peur des abeilles, de l’océan et surtout du noir.
Ça tombe bien, car Noir, l’entité suprême de l’obscurité, va tout faire pour que toutes ses horribles nuits d’angoisses ne soient plus qu’un mauvais souvenir.
Une pépite d’animation !
La patte graphique est novatrice et tout en contraste. Comparé à certaines productions à gros budget, c’est le jour et la nuit, même si la technique n’est pas parfaite.
Des idées novatrices et supers originales font de ce film une explosion de couleurs et d’émerveillements à chaque instant. Tout est dans la subtilité et le voyage dans la nuit d’Orion nous transporte dans ce monde onirique aux personnages tous plus loufoques et singuliers, dotés de personnalités terriblement attachantes (avec leurs yeux collés là 😍)
Le scénario est riche et bien ficelé, au point qu’on se demande si tout cet afflux d’idées farfelues va tenir la route sur la durée. Et oui, ça tient la route et même plus encore !
Le genre de film que les parents pourraient en conter l’histoire pour rassurer leurs enfants apeurés au moment de faire dodo.
Une ode à la nuit qui nous rendrait quotidiennement nostalgique au levé du jour.
Plus de notes sur insta : 22sur20
« La nuit ne se résume pas qu’à l’obscurité » - Orion
Quelle bouffée d’air frais ce petit nouveau des studios Dreamworks.
Une pluie d’inventivités qui vient dessiner une merveilleuse constellation terriblement agréable à regarder 💫
Orion, 11 ans, est terrifié de tout. Il a peur des abeilles, de l’océan et surtout du noir.
Ça tombe bien, car Noir, l’entité suprême de l’obscurité, va tout faire pour que toutes ses horribles nuits d’angoisses ne soient plus qu’un mauvais souvenir.
Une pépite d’animation !
La patte graphique est novatrice et tout en contraste. Comparé à certaines productions à gros budget, c’est le jour et la nuit, même si la technique n’est pas parfaite.
Des idées novatrices et supers originales font de ce film une explosion de couleurs et d’émerveillements à chaque instant. Tout est dans la subtilité et le voyage dans la nuit d’Orion nous transporte dans ce monde onirique aux personnages tous plus loufoques et singuliers, dotés de personnalités terriblement attachantes (avec leurs yeux collés là 😍)
Le scénario est riche et bien ficelé, au point qu’on se demande si tout cet afflux d’idées farfelues va tenir la route sur la durée. Et oui, ça tient la route et même plus encore !
Le genre de film que les parents pourraient en conter l’histoire pour rassurer leurs enfants apeurés au moment de faire dodo.
Une ode à la nuit qui nous rendrait quotidiennement nostalgique au levé du jour.
Plus de notes sur insta : 22sur20
Je regrette d'avoir laissé mes enfants voir ce film, ils n'ont pas pu dormir dans leurs lits le soir même.. film perturbant et angoissant vraiment une drôle d'idée cette histoire pour des enfants.
spoiler: Pour endormir les gens, il les étouffe avec un oreiller, les euthanasie avec un produit et on le voit même prêt à donner un coup de marteau à un bébé !! Et je vous passe les détails sur le reste de l'histoire...
Un second degré que les enfants ne peuvent pas encore comprendre, et qui peut donc les choquer.
spoiler: Pour endormir les gens, il les étouffe avec un oreiller, les euthanasie avec un produit et on le voit même prêt à donner un coup de marteau à un bébé !! Et je vous passe les détails sur le reste de l'histoire...
Un second degré que les enfants ne peuvent pas encore comprendre, et qui peut donc les choquer.
Très déçue de ce film qui s’annonçait pourtant prometteur par le concept de base. Malheureusement tout part dans tous les sens, la fin est complètement farfelue et les sauts dans le futur n’apportent rien à l’histoire.
Le nouveau Dreamworks est bien sympas, j’ai aimé les thématiques abordées dans le film et la façon dont le récit est raconté, c’était un bon moment.
Par la magie de l'animation, Charlie Kaufman matérialise la nuit pour explorer les méandres de l'identité et des peurs enfantines, interrogeant notre lien à la conscience. Pourtant, une subtile réserve s'installe, comme si l'essence même de son sujet était à peine effleurée. De même, la nature de la narration retient le spectateur, l'empêchant de plonger entièrement dans l'étreinte du récit.
Difficile de ne pas faire ici un parallèle avec Vice versa suite au visionnage de ce La nuit d'Orion. Et malheureusement pour ma part, les personnages sont ici moins bien travaillés et ont une complémentarité qui fonctionne moins bien que dans le film du studio Pixar.
J'ai trouvé que certaines entités étaient trop peu exploitées ou bien venaient entrer en contradiction les unes avec les autres. Pour certaines, je n'ai pas trop compris leur intérêt. C'est le cas de Bruit bizarre et Insomnie qui entrent en conflit avec Sommeil et Quiétude. Tous ces personnages secondaires ne servent assez peu le récit, surtout bruit bizarre qui reste assez en retrait.
L'idée de personnifier les éléments de la nuit reste pourtant une idée intéressante, mais bien que certains personnages donnent lieu à une scène drôle bien trouvée, ils n'auront qu'assez peu d'utilité par la suite de l'aventure.
On a droit au fil de la progression à quelques retournements de situation inattendu [Spoiler] comme le fait que l'histoire soit en fait raconté par Orion devenu adulte, à sa fille. Puis l'ajout d'un autre saut dans le temps avec la version adulte de sa fille Hypatia et lui devenu grand-père [Spoiler].
Les décors offrent de jolis visuels avec une représentation de la nuit réussie et qui émerveille à quelques reprises. Mais les personnages sont par contre assez décevants au niveau des graphismes et des expressions, après un chat potté 2 de toute beauté dans son animation, je n'ai pas trop accroché à la pâte graphique des personnages. La musique en revanche colle bien au thème de la nuit et de la rêverie.
J'ai trouvé que certaines entités étaient trop peu exploitées ou bien venaient entrer en contradiction les unes avec les autres. Pour certaines, je n'ai pas trop compris leur intérêt. C'est le cas de Bruit bizarre et Insomnie qui entrent en conflit avec Sommeil et Quiétude. Tous ces personnages secondaires ne servent assez peu le récit, surtout bruit bizarre qui reste assez en retrait.
L'idée de personnifier les éléments de la nuit reste pourtant une idée intéressante, mais bien que certains personnages donnent lieu à une scène drôle bien trouvée, ils n'auront qu'assez peu d'utilité par la suite de l'aventure.
On a droit au fil de la progression à quelques retournements de situation inattendu [Spoiler] comme le fait que l'histoire soit en fait raconté par Orion devenu adulte, à sa fille. Puis l'ajout d'un autre saut dans le temps avec la version adulte de sa fille Hypatia et lui devenu grand-père [Spoiler].
Les décors offrent de jolis visuels avec une représentation de la nuit réussie et qui émerveille à quelques reprises. Mais les personnages sont par contre assez décevants au niveau des graphismes et des expressions, après un chat potté 2 de toute beauté dans son animation, je n'ai pas trop accroché à la pâte graphique des personnages. La musique en revanche colle bien au thème de la nuit et de la rêverie.
Même Netflix se met au film d’animation depuis 2018 en ayant créé sa propre structure. La plupart du temps la plateforme au N rouge s’associe avec des partenaires tels que Sony ou de plus petites structures pour réaliser l’animation. Pas encore au niveau de Pixar (enfin surtout l’ancien Pixar) ou d’Illumination, on a tout de même eu droit à quelques pépites comme « Mitchell VS Machines » ou le « Pinocchio » de Guillermo del Toro. Ici, pour « La nuit d’Orion », c’est avec Dreamworks que Netflix s’allie. Un studio qu’on aurait tendance à oublier alors que c’était le plus sérieux concurrent de Pixar au début des années 2000 avec des sagas comme « Shrek » ou « Dragons ». Et, plus étonnant, on retrouve à la plume de ce film d’animation Charlie Kaufman l’auteur des scripts de « Dans la peau de John Malkovich » ou encore « Eternal Sunshine of the Spotless Mind ».
Alors que donne cette production aux origines si singulières? Et bien, au final, un animé plus que correct mais loin d’être aussi détonnant et original que sa gestation et les personnes y ayant participé le laisseraient penser. Du côté de l’animation, c’est un style de graphisme plutôt original, avec un parti pris relativement différent de ce qu’on a l’habitude de voir. Ce n’est pas à proprement parlé subjuguant de beauté mais c’est plutôt probant. Il manque en revanche d’occasions de rire voire de sourire et tout cela reste un peu trop premier degré. On aurait aimé un second niveau de lecture plus mature et un ensemble moins enfantin. Le concept de la nuit et du noir n’est pas traité comme dans un film d’animation adulte tel qu’un spectateur plus âgé l’aurait sans doute préféré. Un peu comme dans des productions animées plus sombres tels que les excellents « Numéro 9 » ou même « Monster House ». C’est dommage, mais les enfants y trouveront leur compte.
En effet, les valeurs édictées ici tout comme la morale conviennent parfaitement à un public davantage familial voire enfantin. Surmonter ses peurs et raconter des histoires dans le but de les transmettre sont au cœur du récit et c’est admirablement mené. Le tout est dynamique et passe vite et même si le dernier quart d’heure dénote totalement du reste, il a le bon goût de retomber intelligemment sur ses pattes. On reprochera tout de même une forte influence des studios Pixar et surtout de « Vice-Versa » dans la manière dont « La nuit d’Orion » représente des idées abstraites. Ici, des concepts nocturnes remplacent les émotions mais c’est quelque peu copier-coller. En somme on passe un bon moment même si ce n’est pas le film d’animation de l’année.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Alors que donne cette production aux origines si singulières? Et bien, au final, un animé plus que correct mais loin d’être aussi détonnant et original que sa gestation et les personnes y ayant participé le laisseraient penser. Du côté de l’animation, c’est un style de graphisme plutôt original, avec un parti pris relativement différent de ce qu’on a l’habitude de voir. Ce n’est pas à proprement parlé subjuguant de beauté mais c’est plutôt probant. Il manque en revanche d’occasions de rire voire de sourire et tout cela reste un peu trop premier degré. On aurait aimé un second niveau de lecture plus mature et un ensemble moins enfantin. Le concept de la nuit et du noir n’est pas traité comme dans un film d’animation adulte tel qu’un spectateur plus âgé l’aurait sans doute préféré. Un peu comme dans des productions animées plus sombres tels que les excellents « Numéro 9 » ou même « Monster House ». C’est dommage, mais les enfants y trouveront leur compte.
En effet, les valeurs édictées ici tout comme la morale conviennent parfaitement à un public davantage familial voire enfantin. Surmonter ses peurs et raconter des histoires dans le but de les transmettre sont au cœur du récit et c’est admirablement mené. Le tout est dynamique et passe vite et même si le dernier quart d’heure dénote totalement du reste, il a le bon goût de retomber intelligemment sur ses pattes. On reprochera tout de même une forte influence des studios Pixar et surtout de « Vice-Versa » dans la manière dont « La nuit d’Orion » représente des idées abstraites. Ici, des concepts nocturnes remplacent les émotions mais c’est quelque peu copier-coller. En somme on passe un bon moment même si ce n’est pas le film d’animation de l’année.
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