Votre avis sur Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan ?
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Ce film sonne juste, émouvant, attachant, touchant, réaliste , on s’attend à une comédie légère et pourtant il n’en est rien. J’ai versé quelques larmes…. À voir
D’une grande tendresse. Celle d’une mère pour son fils. Celle d’une femme qui ne perdra jamais la foi. Elle n’abandonnera jamais son fils et tiendra sa promesse initiale : celle de lui offrir - à n’importe quel prix - une vie heureuse. Défile à travers le film une époque et son histoire rendant le récit encore plus touchant. Le livre et maintenant ce film rendent à cette femme le plus bel hommage qui soit. Un immense chapeau à Leila Bekhti.
Très jolie histoire vraie où tous les acteurs sont à leur place et donnent dynamisme et bonne humeur à cette comédie rétro.
Leïla Bekhti était exceptionnelle durant l'intégralité du film. C'était très touchant du début jusqu'à la fin. Une mère qui est présente jusqu'au bout pour son fils.
Jonathan Cohen était parfait dans un rôle qui était sérieux (je l'ai toujours vu dans une comédie).
Pour les fans de Sylvie Vartan, je pense qu'ils seront ravis. À part sur un point dans une scène où c'est un peu mal fait.
Jonathan Cohen était parfait dans un rôle qui était sérieux (je l'ai toujours vu dans une comédie).
Pour les fans de Sylvie Vartan, je pense qu'ils seront ravis. À part sur un point dans une scène où c'est un peu mal fait.
Émouvant sincère et le combat de cette maman avez ses défauts et ses qualités qui donne au film toute son auththicite. Ps : allez j’appelle ma maman.
Un film tendre et drôle...qui ne vous laissera pas indifferent. L'histoire de ces mères possessives prêtent à tous pour vous sauver et qui prennent tellement de place qu'elles peuvent vous détruire. Mais que préférerons nous une mère absente ou une mère trop présente. Ce film est une histoire d'amour familiale ! Magnifiquement interprété par son casting 5étoiles!
Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est un vrai feel-good movie, qui nous emporte grâce à la performance exceptionnelle de Leïla Bekhti, mère juive excessive en amour, en dévotion, en superstition, en manipulation pour refuser le handicap de son petit dernier et lui garantir un destin hors normes. Une vraie mère courage, possessive, envahissante, insupportable mais aussi vraiment touchante…. Touché, on l’est aussi par le plaisir contagieux que diffuse la bande-son du film. Et Ken Scott nous rappelle, certes avec beaucoup de « guimauve », mais avec rythme, tendresse et humour que les chansons populaires sont des machines à souvenirs et à émotions, qui façonnent notre imaginaire au fil du temps et des rencontres, Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan n’est probablement pas un grand film, mais une agréable comédie enchantée comme un bon tube de variétés.
Vu en avant première, ce film est merveilleux, tendresse humour, émotions et quelle interprétation de Leïla Bekthi!!!
J'irai le revoir à sa sortie avec ma mère elle risque de se reconnaître un peu😂
Seul point noir: l'horrible deepfake dans la scène de l'interview.
J'irai le revoir à sa sortie avec ma mère elle risque de se reconnaître un peu😂
Seul point noir: l'horrible deepfake dans la scène de l'interview.
Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan est un film de Ken Scott sorti en 2025.
Ce long métrage, inspiré d'une histoire vraie, est porté avec maestria par Leïla Bekhti, à la fois drôle et touchante dans le rôle de cette mère courage prête à tout pour qu'un miracle vienne frapper à sa porte pour aider son fils Roland. Elle touche à plusieurs registres, passant du drame à la comédie avec une aisance qui n'est plus à prouver. Elle est magnifiquement secondé par Jonathan Cohen qui sort un peu de son personnage pour livrer une prestation nuancée, l'homme étant tiraillé entre la volonté de faire sa vie et l'amour inconsidéré que lui porte sa mère.
Le film est également touchant en ce qu'il montre à quel point la variété française des années 60, par le prisme de Sylvie Vartan, a marqué l'inconscient collectif. Les reconstitutions historiques sont, à cet égard, réussies dans le film, en particulier la première partie qui sent bon les sixties. Certains seconds rôles sont vraiment bien pensés (Jeanne Balibar en tête), d'autres aspects du film auraient mérités d'être plus développés (Joséphine Japy touchante mais sous-exploitée) mais l'ensemble est bien équilibré et fonctionne bien.
Cette comédie dramatique réussit son pari : être une adaptation fidèle de la vie de Roland Perez à la fois drôle et émouvante, un magnifique hommage à sa mère. Une belle réussite portée par d'excellents acteurs.
Ce long métrage, inspiré d'une histoire vraie, est porté avec maestria par Leïla Bekhti, à la fois drôle et touchante dans le rôle de cette mère courage prête à tout pour qu'un miracle vienne frapper à sa porte pour aider son fils Roland. Elle touche à plusieurs registres, passant du drame à la comédie avec une aisance qui n'est plus à prouver. Elle est magnifiquement secondé par Jonathan Cohen qui sort un peu de son personnage pour livrer une prestation nuancée, l'homme étant tiraillé entre la volonté de faire sa vie et l'amour inconsidéré que lui porte sa mère.
Le film est également touchant en ce qu'il montre à quel point la variété française des années 60, par le prisme de Sylvie Vartan, a marqué l'inconscient collectif. Les reconstitutions historiques sont, à cet égard, réussies dans le film, en particulier la première partie qui sent bon les sixties. Certains seconds rôles sont vraiment bien pensés (Jeanne Balibar en tête), d'autres aspects du film auraient mérités d'être plus développés (Joséphine Japy touchante mais sous-exploitée) mais l'ensemble est bien équilibré et fonctionne bien.
Cette comédie dramatique réussit son pari : être une adaptation fidèle de la vie de Roland Perez à la fois drôle et émouvante, un magnifique hommage à sa mère. Une belle réussite portée par d'excellents acteurs.
Il y a beaucoup à dire sur Ma mère, dieu et Sylvie Vartan. On peut reconnaître la qualité de la réalisation, de la production, de la reconstitution du Paris de l'après-guerre et après-colonisation, de la plongée ethnico-historico-documentaire chez les sépharades des quartiers modestes, l'apparition de Sylvie Vartan avant et après, des effets spéciaux plutôt réussis, la figuration amusante d'Ariane Massenet venue nous rappeller en souriant ce bon vieux temps du Grand Journal, mais rien ne permet de décrire l'interprétation de Leïla Bekhti. Tous les superlatifs n'y suffiraient pas.
Leïla Bekhti investit son rôle, un personnage de mère abusive qui a la réputation méritée, d'ailleurs c'est montré dans le film, de fournir une large part de la clientèle des cabinets de psychanalyste, avec une fougue qui dépasse l'entendement. Je n'y ai pas échappé, il paraît impossible de garder l'œil sec pendant toute la durée de ce film à voir absolument. D'ailleurs, après avoir vu le film à l'UGC des Halles, je suis par hasard tombé sur Leïla Bekhti devant un cinéma à la sortie d'une probable présentation du film en public dans le 14 ème arrondissement, et encore sous le choc, je lui ai fait une déclaration. On ne peut maintenant qu'attendre son couronnement à la cérémonie des César.
Leïla Bekhti investit son rôle, un personnage de mère abusive qui a la réputation méritée, d'ailleurs c'est montré dans le film, de fournir une large part de la clientèle des cabinets de psychanalyste, avec une fougue qui dépasse l'entendement. Je n'y ai pas échappé, il paraît impossible de garder l'œil sec pendant toute la durée de ce film à voir absolument. D'ailleurs, après avoir vu le film à l'UGC des Halles, je suis par hasard tombé sur Leïla Bekhti devant un cinéma à la sortie d'une probable présentation du film en public dans le 14 ème arrondissement, et encore sous le choc, je lui ai fait une déclaration. On ne peut maintenant qu'attendre son couronnement à la cérémonie des César.
vu en avant-première CGR, une belle histoire, portée essentiellement par une très drôle et poignante Leila Bekhti. de beaux moments.
Belle performance de Jonathan Cohen ainsi que celle de Leila Bekhti, une histoire qui mérite d’être racontée. Malgré ça, un début un peu long et répétitif sur son enfance ainsi que le moment de l’interview de Sylvie Vartan qui sort un peu du film tant le deep fake de la version jeune de la chanteuse est mal fait. Cependant, j’en ressors agréablement surpris de la qualité générale du film.
Cette chronique d'une jeunesse allemande en résistance face à la machine de mort nazie, peu filmée jusqu'à présent au cinéma je crois, vaut surtout par son interprétation, avec l'excellente Liv Lisa Fries, et par l'intelligence de son montage qui mêle le présent narratif et des flash-back à rebour du temps.
Pas un cinéma très facile mais une belle leçon d'histoire qui peut facilement devenir intemporelle.
Pas un cinéma très facile mais une belle leçon d'histoire qui peut facilement devenir intemporelle.
Quelle fabuleuse histoire ! J'ai été vraiment enchanté par ce petit bijou de délicatesse, miracle (c'est le cas de le dire) de drôlerie et d'émotion. Si la première partie du film qui conte l'enfance de Roland, la détermination de sa mère à faire de lui un enfant "comme les autres" et la découverte de l'icône Sylvie Vartan s'avère nettement plus drôle et palpitante que la seconde, plus dramatique, c'est en grande partie grâce au jeu extraordinaire de Leïla Bekhti, absolument irrésistible en mère courage au tempérament de feu. Elle porte le film sur ses épaules et fait des étincelles, de bout en bout. La reconstitution soignée des années 60 et l'esthétique rétro dans laquelle on aime se lover participent également à l'enchantement visuel du film. Aux côtés de Leïla Bekhti, tous les acteurs sont convaincants, notamment Jeanne Balibar, délicieusement détestable. Jonathan Cohen est quant à lui très juste, mais peut-être moins épatant que ses camarades de jeu et surtout trop vieux pour interpréter un jeune étudiant... Si elle n'est finalement pas le sujet central, on a beaucoup de plaisir à entendre
spoiler:
(puis voir)
la grande Sylvie Vartan dont la musique régale et berce le spectateur au rythme de ses plus grands succès. spoiler: Il est cependant dommage de ne pas conclure le film par un dernier refrain de "La Maritza", chanson dont l'émotion aurait sans doute touché davantage à ce moment précis.
Dans un esprit proche de "La promesse de l'aube", roman autobiographique de Romain Gary qui narre l'amour et l'emprise d'une mère sur son fils, "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" évoque avec justesse le sentiment maternel et rend hommage à toutes les femmes, celles qui nous aiment et celles qu'on aime, pour leur courage à toute épreuve et pour l'amour, un jour, toujours. Une réussite.
la grande Sylvie Vartan dont la musique régale et berce le spectateur au rythme de ses plus grands succès. spoiler: Il est cependant dommage de ne pas conclure le film par un dernier refrain de "La Maritza", chanson dont l'émotion aurait sans doute touché davantage à ce moment précis.
Dans un esprit proche de "La promesse de l'aube", roman autobiographique de Romain Gary qui narre l'amour et l'emprise d'une mère sur son fils, "Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan" évoque avec justesse le sentiment maternel et rend hommage à toutes les femmes, celles qui nous aiment et celles qu'on aime, pour leur courage à toute épreuve et pour l'amour, un jour, toujours. Une réussite.
Vu le film en avant-première dans le cadre du Label UGC.
Une comédie dramatique menée tambour battant, qui célèbre un personnage de mère déterminée, qui ne vacille jamais dans sa foi en la "guérison" de son fils et dans sa capacité à être un enfant "comme les autres". Un postulat de départ qui peut interroger, mais s'inscrit dans le contexte des années 60. Cette mère quelque peu étouffante est très bien jouée à différents âges par Leïla Bekti, qui est toujours excellente tant dans les moments de comédie que d'émotions. Cet équilibre entre comédie et drame est cependant moins réussi à l'échelle du film, beaucoup de sujets, beaucoup d'évènements à raconter, ce qui fait que tout est un peu lissé. Dommage également que les personnages secondaires n'existent quasiment pas, tout tourne autour de cette mère et de son fils. Il manque un petit quelque chose qui aurait pu en faire un grand film, mais cela reste à voir pour passer un très bon moment et pourquoi pas raviver la nostalgie de la période yéyé.
Une comédie dramatique menée tambour battant, qui célèbre un personnage de mère déterminée, qui ne vacille jamais dans sa foi en la "guérison" de son fils et dans sa capacité à être un enfant "comme les autres". Un postulat de départ qui peut interroger, mais s'inscrit dans le contexte des années 60. Cette mère quelque peu étouffante est très bien jouée à différents âges par Leïla Bekti, qui est toujours excellente tant dans les moments de comédie que d'émotions. Cet équilibre entre comédie et drame est cependant moins réussi à l'échelle du film, beaucoup de sujets, beaucoup d'évènements à raconter, ce qui fait que tout est un peu lissé. Dommage également que les personnages secondaires n'existent quasiment pas, tout tourne autour de cette mère et de son fils. Il manque un petit quelque chose qui aurait pu en faire un grand film, mais cela reste à voir pour passer un très bon moment et pourquoi pas raviver la nostalgie de la période yéyé.