Avis sur Ma Mère, Dieu et Sylvie Vartan

Encore ébranlé, et émerveillé par l'adaptation du roman autobiographique de Roland Perez, par le canadien Ken Scott. Cette réalisation qui brosse le portrait de ce garçon depuis sa naissance dans les années "60" avec toutes les reconstitutions de décors intérieurs et extérieurs, à nos jours. Littéralement subjugué par le personnage de sa maman, magistralement interprétée par Leila Bekthi, une mère juive, généreuse, un petit peu envahissante, entièrement dévouée à sa famille et particulièrement au jeune Roland d' abord interprété par Gabriel Hyvernaud, puis Naïm Naji, puis Noé Schecroun, et enfin Jonathan Cohen. Cette maman promet plusieurs fois à son fils un avenir "fabuleux", une épouse "fabuleuse", et elle réussit à concrétiser ses prédictions avec une tendresse, une certaine ligne de conduite "non négociable", un amour indescriptible et débordant. L Bekhti mérite sans aucun doute une récompense à venir ! Apparition sympathique de Sylvie Vartan jouant son propre rôle, en toute humilité, et presque sans chansons... Ce film nous fait traverser des années, pas toujours faciles, mais avec le plus grand bonheur, une émotion poignante, notamment sur la dernière partie. La musique accompagne judicieusement les grands moments de la vie de Roland, avec une photographie superbe et fidèle. Ce film est exceptionnel, une pépite 2025 assurément, à ne pas manquer..... Juste exceptionnel ....!!**

Ce long métrage de Ken Scott est adapté d’un roman auto biographique du même nom écrit par Roland Perez. Roland est né avec un pied bot dans les années 1960. Sa mère Esther, jouée par Leila Bekhti, va tout faire et se battre contre tout le monde pour arriver à faire marcher son fils sans appareillage. Cette maman n’acceptera jamais que son fils ai l’air et soit pris pour un handicapé. De ce combat elle liera une relation fusionnelle avec son fils et lui aura pour réconfort et aide psychologique la musique de Sylvie Vartan.
Dans ce long métrage, c’est surtout la relation mère/fils qui est retranscrite et le spectateur va alors passer par différentes émotions : le rire, les larmes , la révolte. Soit on se reconnaîtra en Roland, soit en Esther. Le réalisateur, malgré une réalisation très classique choisit de retranscrire un cercle familiale en évolution constante et non une succession d’époque, et c’est très largement réussi. Il s’est même appliqué à faire vieillir ses personnages de façon réaliste en engageant de très bon maquilleurs. Le travail de vieillissement est vraiment bien fait et contribue ainsi à la réussite.
Enfin la grande réussite de ce long métrage ce sont ses acteurs notamment Leila Bekhti et Jonathan Cohen. Ce dernier que l’on connaît plutôt dans des comédies montre et développe un jeu d’une grande justesse et d’une grande émotion. Mais c’est Leila Bekhti qui ici crève l’écran, elle est magistrale dans le rôle de cette maman combattante, aimante, possessive, fusionnelle mais aussi intrusive.
Un vrai chef d’œuvre.

C’est bluffant, admirable, émouvant et tellement drôle. Le réalisateur réussit à déployer à l’écran une flopée d’émotions rares. Leila Bekhti figure incontestablement parmi les meilleures actrices françaises et ici l’émotion qu’elle parvient à retransmettre du début à la fin du film atteint un niveau paroxystique. Leila Bekhti alias Esther emporte donc tous les personnages très attachants de cette histoire par la magie du jeu des regards, des attitudes, des paroles des uns et des autres, des sourires et des larmes. Les échanges de dialogues sont toujours simples mais savoureux. Jonathan Cohen est très bon. Ce film est un bijou.

Wow j'en ai une migraine tellement j'ai chialé sans exagérer tout le long du film, cette histoire est tellement bouleversante et puissante émotionnellement

Vu en avant première je salue la prestation de Leila Bekhti elle incarne parfaitement son rôle cette actrice a beaucoup de talent on est touché par sa prestation et même ému, l'acteur Jonathan Cohen est talentueux également les autres acteurs jouent bien aussi si vous voulez passer un bon moment allez y je vous le conseille.

Et dire que j’ai hésité à aller voir ce chef-d’œuvre car je savais qu’on ne voyait pas beaucoup Sylvie dedans dans son propre rôle de nos jours ! J’ai été emporté par le film du début à la fin....
Je collectionne tout Vartan depuis les années 1989 = Articles de presse, livres que je dois tous avoir, programmes de concert, DVD dont toutes les émissions que je prends sur des DVD maison j’en ai des centaines ! Disques vinyles et CD mais aussi la poupée Raynal 1978 j’en ai 2 en boites, toutes les tenues de rechange sauf 1 ou 2 que je ne trouve pas et une dizaine de poupées en loose avec tenues différentes....
Roland Perez me touche énormément. J’ai ses 3 romans dont le 3éme trouvé à ma FNAC LYON la semaine dernière et j’avais un peu échangé avec lui en privé sur FB et Insta lors du premier roman.
Tout d’abord j’ai été époustouflé par la reconstitution d’époque incroyablement soignée. J’ai revu de nombreux meubles qu’on avait, les mêmes casseroles qu’avaient maman même la couscoussiere mais surtout la tapisserie de l’appart de Perez qui comporte un bouquet de fleur reproduit à l’infini c’était la tapisserie qu’avait fait installé dans notre maison mes parents à la fin des années 70 !
Lorsque Roland devient ado je vois à l’écran le même cartable Tann’s que m’avait acheté maman et le même blouson de cuir noir court cintré !
Dans la chambre de Roland on voit la poupée Vartan en boite que j’ai, une tenue de rechange en blister que j’ai, une poupée en loose en salopette; Par contre le buste années 60 je ne l’ai pas il est hors de prix sur les sites marchands et pas hyper ressemblant...

Moi aussi je suis né avec un handicap qui m’a pourrit la vie comme à Roland dans le film et encore actuellement que je porterai et subirai jusqu’à ma mort qui m’a même interdit d’avoir des enfants car il y a un fort pourcentage de handicap transmis. Le mépris l’incompréhension que subit Roland enfant dans le film je l’ai vécu toute ma vie et encore actuellement sur ma chaine YouTube où je récolte certains commentaires d’insultes, moqueries, donneurs de leçons et totalement débiles....

Comme souligné par les critiques Leila Behkti est absolument sidérante, poignante et magistrale ! J’ai mal supporté et éclaté en larmes à la dernière partie du film où Roland est appelé comme quoi sa maman dont il s’était éloigné ne supportant plus ses ingérences dans sa vie est hospitalisée et n’en a plus pour longtemps.
J’ai revécu les 6 derniers mois de maman en hôpitaux, Ehpad constamment alitée ou en chaise roulante mais contrairement à La famille Perez qui a une tombe maman avait donné son corps à la science et j’ai respecté le jour J immédiatement cela malgré que l’Association m’annonce qu’il fallait rajouter 600euros étant donné qu’elle était dissoute alors que maman avait tout payé depuis 2010 ! Je n’ai donc aucun endroit pour me recueillir.
Moi aussi j’ai eu la même maman poule fusionnelle possessive qui se mêlait de tout et écoutait aux portes. A des moments je confirme que c’était très pénible et étouffant qu’on se sent prisonnier.
J’ai compris seulement les 8 dernières années de sa vie quand elle s’est retrouvée à habiter seule après la mort de mon père qu’elle faisait tout ça par inquiétude et attention depuis ma naissance où elle a essayé de me protéger de toute agression et souci cherchant constamment comme Madame Perez le faisait à faire que je me sente mieux ou soulagé ou tout simplement bien dans ma vie.

Roland bien qu’il dise à sa mort se retrouver tout seul après aussi la mort de son épouse Lizzie a quand même fait de magnifiques enfants. Moi je n’en aurais jamais ...

Sylvie est époustouflante et très touchante jouant avec tellement de naturel ce qu’elle a vécu avec la famille de Roland Perez !
Ce film est une œuvre d’art absolument bouleversante qu’on soit fan de Sylvie ou pas... pour moi il est passé en 15mn tellement j’étais accroché !

Leïla Bekhti était exceptionnelle durant l'intégralité du film. C'était très touchant du début jusqu'à la fin. Une mère qui est présente jusqu'au bout pour son fils.
Jonathan Cohen était parfait dans un rôle qui était sérieux (je l'ai toujours vu dans une comédie).
Pour les fans de Sylvie Vartan, je pense qu'ils seront ravis. À part sur un point dans une scène où c'est un peu mal fait.

Une Leïla Bekhti magique, magnifique, somptueuse, charismatique, charmante, bouleversante, magistrale ...
Il n'y a pas assez de mot pour la décrire.
Une mère possessive et étouffante suite à la maladie de son fils.
Tantôt adorable, tantôt détestable mais toujours courageuse.
Le film est extraordinaire, avec énormément d'émotions.
Jonathan Cohen joue très bien et essaye de se sortir tant bien que mal de la spirale d'amour de sa mère.
Leïlla Bekhti est parfaite dans ce rôle et apporte une touche personnelle (lorsqu'elle touche le visage de son enfant et dit : "ça c'est à moi, ça c'est à moi, ça c'est à moi", cette scène n'était pas prévue au scénario mais Leïla le fait avec ses vrais enfants et l'a reproduit instinctivement dans le film).
Tous les traits de son visage, ses rires, ses pleurs, on vit tout cela avec elle.
C'est une relation très extrême et parfois toxique entre sa mère et son fils malade mais on retrouve quand même beaucoup d'humour, de sincérité, d'amour, de passion.
A voir d'urgence

Je m'attendais à un biopic sur Sylvie Vartan, j'ai fini par découvrir l'histoire du maître Roland Perez, de sa mère Esther et l'influence de Sylvie Vartan dans leur vie.

Ce n'est pas la Méthode Williams, mais là Méthode Esther dont on parle ici : son fils, né handicapé avec un pied bot ("pas beau") est selon les médecins condamné à vivre appareillé. Sa mère refuse toute fatalité et prie plusieurs fois par jour en espérant que sa foi produise un miracle. Jusqu'au jour où une rencontre change leur vie.

On parle d'handicap, de la maladie, de l'amour maternel aussi nourrissant qu'envahissant, des conflits culturels, du judaisme et de la vénération de la chanteuse des années 60 avec qui Roland a appris à lire avec les paroles de ses chansons. Plein de sincérité, d'amour, d'affection, d'espoir, ce film ne laisse personne indifférent.

"Un écrivain anglais a dit : dieu ne peut pas être partout, il a alors créé les mères"

Un beau film émouvant une histoire hors du commun très bien interprétée par Leïla Berri, Jonathan Cohen,

Film extrêmement émouvant de bout en bout. L’histoire d’une mère juive qui se dévoue corps et âme pour son fils, ayant décidé que le handicap avec lequel il est né ne pouvait pas être un handicap. Cette femme naturellement combative est tout à tour émouvante, amusante , exaspérante et vous tire des larmes…. Elle et son fils forment un duo attachant et plus que ça! Les scènes sont vivantes, on s’y croirait, et l’évolution vers l’âge adulte de ce fils toujours en interaction avec cette mère vieillissante est passionnante .
Une magnifique performance de Leïla Bekhti, dont j’espère vivement qu’elle sera récompensée.
Humour et humanité dans ce bijou qui offre une belle réflexion sur la vie .

vu en avant première, excellent film, excellents acteurs, Jonathan Cohen et leila bekti sont drôles, émouvants. j'ai pleuré, j'ai ri... je le recommande vivement, un petit bijou, tiré d'une histoire vraie ❤️❤️❤️

Allez voir ce film exceptionnel de vérité et de tendresse.

Exactement ce dont le monde a besoin: une mère faiseuse de miracle et Dieu en action à travers elle !

Ce film vous redonnera la foi en l'humain et ce que nous sommes tous venus faire sur terre. Et il nous en montre toutes les facettes, même le péché d'orgueil, sans pour autant pouvoir dire que c'est mal.

Par contre prévoyez les mouchoirs parceque vous passerez par un florilège d'émotions telles, qu'une fois sortis de la salle, vous ne pourrez pas sortir du film.

Voilà pour moi le marqueur d'un film de grande facture, comme ça faisait longtemps que je n'en avais vu au cinéma, un film d'une précieuse qualité.

Il y aurait donc parfois des films OVNI, un de ceux qui nous bouffent en dedans, un qui nous fait rire et chialer, dégainer à suivre des mouchoirs pour les rires et les pleurs et inversement.
Peut-être que certains trouveront l’histoire comme une redite déjà racontée mais qu’importe, Le couple Leïla Bekhti Jonathan Cohen au firmament de l’étoile la plus lumineuse.
Courrez voir ce film et peut-être que vous atteindrez aussi le rayon de lumière à la sortie du cinéma.

« Dieu ne pouvait être partout, alors il a créé la mère »
Quelle pépite. Frissons, larmes et rires assurés, il faut absolument voir ce film ne serait-ce que pour l’histoire (vraie) qui est tout simplement incroyable. Leïla Bekhti est terriblement convaincante en mère juive marocaine. Un bel hommage aux mères, à Dieu et à Sylvie Vartan